La jeune femme a l’habitude d’être toute seule alors maintenant ça ne la dérange plus, c’est vrai que quand son mari les a quitté elle cru devenir folle de rester seule. En plus quand elle est toute seule elle pense souvent au passé ce qui n’est pas forcement bon. Mais maintenant ça va mieux elle a apprit a être seule même si des fois la solitude c’est pesant elle s’occupe comme elle peut. C’est vrai qu’elle est quand même bien contente de voir Amber rentrer le soir. Mais bon la elle lui avait dit qu’elle la laissait avec ses amies c’est normal. Elle ne va pas s’ennuyer avec sa mère tout le temps de rester ici. Emma espérait quand même que ça ne dur pas trop longtemps parce que rester enfermé comme ça sans rien faire elle va finir par s’énerver. C’est une jeune femme très active alors rester assise c’est difficile mais elle a dit a sa fille qu’elle ne bougerait pas.

Quand Ryan commença a lui dire « je ne sais pas » la jeune femme allait dire quelque chose parce que elle, elle savait et Kristin avait besoin de lui tout comme elle aurait aimait avoir son mari prêt d’elle. Mais elle n’eut le temps de rien dire qu’un homme en costume noir arriva prêt de Ryan les interrompant. Il lui parla prêt de l’oreille du coup Emma n’entendait pas ce qu’il lui disait, dommage. La petite blonde est une petite commère. Ryan se retourna vers elle pour lui dire qu’il avait une affaires a régler ça aurait été étonnant du contraire. La jeune femme lui sourit et le laissa s’éloigner elle le regarda mais le perdit vite de vue. Elle reposa un peu son regard sur toutes les personnes qu’elle connaissait et surtout sa fille pour voir si elle allait bien. Puis elle posa ses bras sur ses genoux avant de mettre sa tête entre ses bras.

Bon stop c’est bon la.

Chad ne voulait pas continuer sur cette lancée parce que ce n’est pas du tout le moment ni le lieu pour entamer une dispute. Et puis en même temps avec Ashley dans ces moments la il fait toujours lui parler comme une gamine parce qu’elle régit toujours comme une enfant. Amber a déjà dit a Chad pleins de fois qu’il protégeait trop Ashley que ce n’était pas une enfant mais en même temps quand on voit comment elle réagit la c’est pire que les enfants. C’est vrai que soit il adopte cette solution ou alors il est plus méchant pour qu’elle se taise, en général la deuxième solution marche bien mais elle engendre pas mal de disputes au sein du couple quand même.

Bien sur que tu dramatise tout le temps les choses, enfin ce n’est pas demain la veille que tu reconnaîtras tes tords comme d’habitude. J’assume tout a fait ce que j’ai dit et si tu ne te calme pas je n’hésiterais pas a employé les grands moyens. La paix ? Mais n’importe quoi toi vraiment, si je voulais la paix je ne serais pas a tes coté mais avec les autres alors arrête avec tes déduction…Oui prendre sur toi, tu respires, t’inspires et tu penses a autre chose tu verras que ça ira beaucoup mieux.

Pour une fois Chad ne s’énervait pas et il essayait d’expliquer les choses a sa femme pour qu’elle comprenne et qu’elle ne se sente pas rejeter par lui mais bon ce n’est pas facile surtout quand il a à faire a cette Ashley borner et qui n’essai même pas de réfléchir ni faire d’efforts. Enfin ce n’est pas pour ça qu’il va la laisser, elle ne va pas bien il est quand même la pour elle. Il ne pourrait pas la laisser toute seule de toute façon. Il venait de la ramener contre lui, il passa une main dans ses cheveux lui caressant doucement la tête pour essayer de la calmer.

N’essaye même pas de faire ça parce que je ne te le pardonnerais jamais. Hors de question que son mari lui fasse avalé un caché, elle n’avait pas besoin d’être drogué mais de sortir chose impossible mais ça Ashley avait du mal à le comprendre comme toujours. Tu ne m’aimes plus Chad…

Ça c’était tout Ashley et encore une fois elle en faisait toute une histoire alors que jamais son mari ne lui avait dit qu’il ne l’aimait pas. Mais voilà il avait eu le malheur de lui dire qu’il voulait lui donner un cachet pour la calmer et pour elle c’était un réel drame. Ashley ne sur jouait pas du tout, ses larmes n’étaient pas fausses ni son angoisse mais à son âge elle pourrait prendre sur elle. Seulement la jeune femme était incapable de prendre sur elle, depuis toute petite c’était ainsi et malheureusement elle n’allait pas changer à son âge. Bon parfois c’était trop, comme là elle pleurait alors que bon ce n’était pas trop le lieu surtout devant leurs amis ça faisait bien. Une chance qu’ils ne soient pas au milieu de tout le monde sinon vive les rumeurs. Mais une fois qu’elle était contre son mari et que ce dernier prenait le temps de la rassurer, Ashley commençait à se calmer tout doucement, elle ferma les yeux quelques instants essayant de prendre sur elle. La jeune femme inspirait et expirait doucement, elle essayait de se dire que ce n’était rien que la pièce était grande, qu’elle avait de la place et que rien n’allait lui arriver. Ashley ouvrit ses yeux redressant sa tête pour voir son mari.

Tu crois que la villa va tenir ?

Arrête Ashley de dire n’importe quoi parce que je crois que je ne vais pas rester calme longtemps.

Le jeune homme prenait une nouvelle fois sur lui parce qu’il y a du monde autour de lui, mais pensait bien que si il n’avait était qu’avec Ashley il se serait déjà énervé. Quand elle ne dramatise pas les choses elle se met a dire des choses insensé et elle pense des trucs complément faux. Comme si il ne l’aimait plus c’est n’importe quoi vraiment. Il ne l’aimerait plus il ne serait pas auprès d’elle au contraire, il lui aurait dit. Ce n’est pas le genre de Chad de ne pas dire ce qu’il pense et de se forcer à faire les choses. Enfin en tout cas dans ses moments la il a envie de claquer Ashley pour lui remettre un peu les idées en place parce que bon, il faut qu’elle arrive a prendre sur elle un peu. Parce que bon Chad voyait bien les regards des gens sur eux, même si il sont dans un petit coin il y a toujours du monde qui voit tout. Et de voir Ashley pleurer ça doit être un bon moyen de se distraire. Quand Ashley se redressa vers lui il lui essuya les dernières larmes qui étaient resté sur ses joues.

Je ne sais pas du tout, je ne sais même pas ou est l’ouragan. Je sais juste que le salon de jardin sera à refaire.

Déjà quand Chad était dehors tout à l’heure il avait pu constater que certaine chose commençait à s’envoler comme les salons de jardins et toutes les choses qui traînent dehors. Mais après il ne peut pas dire si la villa sera assez solide pour tenir, pour l’instant il peut dire oui parce que la force de vent n’est pas assez importante pour la faire tomber mais il ne sait pas comment ça va évoluer si l’ouragan passera dans Volusia ou juste a coté. Seule le temps leur dira.

Te fou pas de moi longtemps Kristin. Tu es allé du côté des Attwood, si tu cherches à faire une connerie tu la feras toute seule.

Ryan ne plaisantait pas du tout, c’était vrai que devant tout le monde il ne lèverait pas la main sur elle puisque ne l’oublions pas Ryan Ferguson est parfait. Mais si il fallait la secouer un peu pour lui remette les idées en place il le ferait sans problème. Pour Ryan c’était bien simple, sa femme essayait d’attirer les ennuis pour qu’il s’occupe d’elle. Si elle avait besoin d’une nourrice il fallait s’adresser ailleurs car il n’avait pas le temps et encore moins l’envie pour ça. Sans ses vigiles personnels Ryan n’aurait jamais su que sa femme était partit du mauvais côté, après qu’elle aille se rafraîchir n’était pas un problème mais qu’elle reste dans la bonne zone. Enfin comme à chaque fois Kristin ne comprenait rien.

Prend tes affaires tu me suis.

C’était un ordre et elle n’avait pas intérêt à lui dire qu’elle restait ici parce qu’il la traînerait qu’elle le veuille ou non. Hors de question de laisser sa femme toute seule, comme il ne pouvait pas rester tout le temps avec elle et que de toute façon ça ne servait à rien puisqu’ils n’arrivaient pas à parler calmement Ryan la laisserait avec d’autres personnes de confiance. Il avait pensé à son fils mais bon il ne voulait pas que Kristin réveille ses petits enfants, bien sur elle était capable de le savoir elle-même et de bien se tenir, ce n’était pas une enfant mais ça Ryan l’oubliait par moment.

Face aux paroles de son mari vous vous doutez bien qu’Ashley ne reprit pas la parole, elle connaissait très bien Chad et savait parfaitement qu’il avait ses limites. En plus la jeune femme savait bien que ce qu’elle avait dit était complètement faux, si son mari ne l’aimait pas il ne serait plus avec elle depuis longtemps. Ce qu’il lui avait dit n’était pas méchant mais Ashley dans ces moments là interprétait tout très mal, il voulait lui donner un calmant vu son angoisse et elle aussitôt s’imaginait qu’il faisait ça pour être tranquille. Enfin une fois contre son mari la jeune femme commença à se calmer, doucement mais sûrement. Elle essayait de penser à autre chose et non de se concentrer sur le fait qu’elle était enfermée. Une fois qu’elle avait un peu reprit ses esprits la jeune femme releva la tête vers son mari, il fallait qu’elle parle de n’importe quoi mais au moins que ça l’occupe un peu parce que sinon elle recommencerait avec ses angoisses.

Si ce n’est que ça ce n’est pas très grave. Je n’ai pas envie de perdre tout nos souvenirs.

Un salon de jardin ça se remplace facilement, même si il était très beau ce n’était pas ce qui inquiétait le plus la jeune femme. Elle n’avait pas envie de voir sa maison en ruine, de perdre des objets qui avaient une chaleur sentimentale pour elle ou même de perdre des choses comme des photos, des souvenirs. Si tout était détruit les enfants seraient également très triste, à leur âge on se plaint facilement pour un oui et un non, alors si ils n’avaient plus leur jouet et que leurs chambres étaient abîmés ça ne serait pas facile. De toute façon ce n’était facile pour personne de perdre sa maison et ses biens, riches ou pauvres même si c’était vrai qu’ils pourraient reconstruire et tout acheter facilement.

Tu vas encore dire que je me plains, mais j’aimerais beaucoup que ça se termine bientôt parce que j’en aie marre la.

Encore heureux que tu ne le fasses pas exprès. Si tu veux te défendre trouve des choses valables car là j’ai l’impression d’entendre une enfant.

Ryan était exaspéré par l’attitude de sa femme, ça se voyait qu’elle n’y connaissait rien à l’histoire des clans et qu’elle ne savait pas ce qui pouvait se passer. Pour elle c’était normal de se balader tranquillement à côté des Attwood, même si personne ne voulait déclencher de bagarre quelqu’un pouvait très bien devenir violent ou s’en prendre à quelqu’un. Kristin oubliait tout ceci, elle était en plus de ça la femme d’un Ferguson donc une proie facile et s’en prendre à quelqu’un de la famille c’était forcement mieux.

Il venait de proposer ou plutôt d’obliger sa femme à le suivre, mais celle-ci une nouvelle fois fit son intéressante. Quand il l’entendait et la voyait faire il avait vraiment l’impression qu’elle n’était pas mûre pour son âge, elle faisait tout un cinéma de tout et donnait vraiment l’impression d’être une gamine pourri gâtée. En la voyant s’asseoir par terre Ryan ne put se contenir bien longtemps, il reprit sa femme par le bras mais cette fois il n’y allait pas doucement. Il la releva la poussant contre le mur qui était derrière elle serrant de sa main son bras qu’il tenait toujours.

Tu me suis maintenant et arrête ta petite comédie. Tu n’es pas le centre du monde ici.

T’inquiète pas on ne perdra rien.

Chad préférait lui dire ça plutôt que de lui dire que c’était un risque de tout perdre. Parce que bon si il lui disait ça maintenant il n’allait pas réussir a la calmer et vous pouvez être sur que ça sera deux fois pire après et qu’elle voudra sortir d’ici pour sauver ses souvenirs. C’est vrai que pour Chad aussi ce n’est pas facile, lui aussi aurait du mal a tout perdre a cause de cet ouragan, mais il a des réactions complètement différente d’Ashley et lui préfère garder ça pour lui et être présent pour sa femme a la place. Ashley en plus avait l’air de se calmer ce qui était un bon point. Si elle pouvait se reposer un peu aussi ça aiderait beaucoup. Chad posa un peu son regard sur la pièce pour voir si tout se passait toujours bien ou pas. Tout avait l’air de bien se passer les gens ont l’air assez calme pour le moment mais pour combien de temps encore. En entendant sa femme il baissa la tête pour la regarder.

Oui mais tout le monde en a marre d’être la tu n’es pas la seule, faut attendre c’est tout, on n’a pas le choix. Personne ne sait combien de temps ça va durer. Tu devrais te reposer un peu en attendant.

Chad aussi en a marre d’être enfermé ici mais il n’a pas le choix, comme tous les gens autour d’eux. Et puis c’est mieux qu’ils soient tous ici à l’abri plutôt que dehors au péril de leur vie. Au moins ici tout le monde est en sécurité et Chad a toute sa famille qui est la ainsi que ses amis c’est le principal. Après c’est vrai que lui aussi n’est pas très patient et rester ici a ne rien faire entourer d’Attwood est très difficile, mais d’être avec sa femme ça le calme beaucoup.

Logiquement en entendant sa femme lui dire qu’il lui faisait mal Ryan aurait du lui lâcher le bras ou au moins se calmer, mais pas du tout au contraire il la maintenait toujours et il ne comptait pas la lâcher avant d’en avoir décidé lui-même. Dans ces moments là il ne regrettait pas d’avoir demandé le divorce parce que plus les années passaient et moins il supportait sa femme. Il avait ses tords et il les acceptait mais Kristin était quelqu’un de pas tout les jours facile. Elle faisait tout le temps sa malheureuse, c’était bien simple tout les malheurs du monde n’était rien comparé aux siens et comme par hasard c’était toujours la faute de Ryan. Elle était également têtue, à croire parfois qu’elle ne comprenait pas que s’il ne voulait pas qu’elle aille au centre c’était pour la protéger. Mais bien sur madame sortait quand même et après elle se plaignait de se faire agresser. Une vraie tête à claque par moment !

Etre le chef de Volusia me suffit amplement. Tu crois que tu peux m’empêcher de faire quelque chose ?

Diriger le clan était déjà une grosse responsabilité et beaucoup de boulot, alors il laissait le monde à tous ces politiciens qui pensaient faire mieux que tout le monde. Ryan n’avait pas demandé à être chef des Ferguson, il était né pour ça et que ça lui plaise ou non c’était la même chose. On l’avait mit au monde pour qu’il devienne un héritier digne de ce nom, qu’il soit aussi brave que ces ancêtres et qu’il leur fasse honneur.

Ecoute moi bien une dernière fois, après je te laisse tranquille tu pourras te faire agresser ou même te faire le mec que tu veux ça ne me regarde plus. Les gens sont inquiet, ils ont besoin de nous pour les aider parce que pour eux notre nom fait en sorte qu’on va toujours bien, qu’on sait toujours tout et qu’on a jamais peur… alors plains toi autant que tu veux, fais moi tout les reproches du monde mais dis toi bien que tu n’as aucunes raisons de te plaindre comparé à certains !

Il relâcha la main secouant légèrement la tête la regardant comme ci elle le décevait, il la regardait comme si elle n’était rien. Il se tourna partant un peu dans la foule pour penser à autre chose et surtout pour ne pas l’entendre. Ryan se dirigea vers les tables où se trouvait de quoi boire et manger. Il n’avait pas faim et était là pour avoir un verre d’eau car il commençait à faire chaud au milieu de cette foule.

Le temps semblait long dans l’abri où s’était réfugié une bonne partie de la ville, les habitants avaient été coupés en deux et jusqu’à la fin de l’alerte les deux abris ne pouvaient pas communiquer. Ils n’étaient pas loin de l’autre donc logiquement si il arrivait quelque chose à l’un des abris l’autre serait forcement touché. Par contre si c’était quelque chose d’interne, comme une bagarre là aucun des deux abris ne pouvait le savoir. Dans celui-ci tout semblait calme pour le moment. Après le discours de l’adjoint au maire les gens commençaient à tous se poser dans un coin de l’abri. En un seul coup d’œil on distinguait trois clans bien différents, les habitants du centre étaient surtout vers l’entrée de l’abri. C’était eux les plus discrets, ils donnaient même l’impression d’avoir peur. Ils redoutaient certainement une altercation. Les Ferguson et Attwood c’était partagé naturellement les deux côtés de l’abri. Ils ne semblaient pas se mélanger ni se chercher.

Si tout se passait bien à l’intérieur c’était une autre histoire à l’extérieur, l’ouragan approchait de Volusia et les premiers dégâts apparaissaient. En effet l’ouragan qui avait prit sa forme au milieu de l’océan provoqué des vagues géantes sur les côtes de la Floride. Quelques villes étaient déjà touchés et certaines n’avaient plus de plage pour le moment tellement l’eau était montée. A Volusia l’eau commençait à monter de plus en plus sur le long du sable, les vagues se faisaient de plus en plus grandes et l’eau commençait à arriver sur les routes. Tout les arbres penchaient de plus en plus sous le vent, certains commençaient déjà à tomber et notamment les palmiers qui ne tenaient pas beaucoup. Tout ce qui n’avait pas été ramassé dans les rues ou dans les jardins volaient dans les rues désertes. Plus l’ouragan approchait plus le vent soufflait fort, les premiers toits qui n’étaient pas très solides commencèrent à se soulever et des voitures plus légères se déplaçaient un peu.

A l’abri les habitants allaient vite se rappeler pourquoi ils étaient ici puisque les lumières commençaient à avoir des baisses de tension, pour le moment rien ne se coupait mais quelques employés de mairie se dirigèrent vers le tableau électrique pour voir ce qui se passait. Comme si ça ne suffisait pas les climatiseurs se coupèrent, il fallait espérer que ça ne soit pas trop long sinon ils finiraient tous par étouffer de chaleur. Les employés de mairie essayait de réparer tout ça tandis que d’autres rassuraient certains qui paniquaient déjà. A présent malgré l’épaisseur de l’abri il pouvait entendre de façon assez légère le vent soufflait. Comme ça on aurait presque l’impression que c’était normal, une légère brise mais vu l’épaisseur des murs il fallait se douter que dehors c’était bien pire.

Tu dis ça pour pas que je m’inquiète.

La jeune femme adressa un petit sourire à son mari qui comme toujours la protégeait. Sans Chad elle ne serait pas grand-chose, bien sur son mari lui dirait que si elle est forte et qu’elle se sous estime tout le temps. C’était vrai que la jeune femme se prenait toujours pour quelqu’un de faible, à l’entendre par moment elle donnait l’impression d’avoir toujours besoin de quelqu’un. Pourtant Ashley faisait plein de chose toute seule et prouvait bien souvent qu’elle s’en sortait très bien. Mais bon c’était une personne qui avait toujours besoin de beaucoup d’attention, là par exemple elle était dans les bras de son mari qui prenait soin d’elle et c’était la femme la plus heureuse au monde.

Je sais bien… je n’aie pas envie, je n’y arriverais pas de toute façon.

Ashley ne pouvait pas dormir dans de telles circonstances, déjà il y avait les enfants à surveiller même si ils dormaient et qu’il y avait Chad la jeune femme ne voulait pas dormir si il se passait quelque chose. De plus il y avait pleins de monde et du bruit, rien de bon pour dormir. La jeune femme restait contre son mari profitant un peu de lui, d’ailleurs ce n’était pas du tout le moment mais ça donnait des envies à la jeune femme ! Ashley releva la tête vers son mari.

Chad ! J’ai… Ashley s’apprêtait à dire à son mari qu’elle avait envie de lui-même si elle savait que ça ne changerait rien puisque ce n’était pas ici qu’ils le feraient. Mais elle n’eut pas le temps de finir puisqu’elle leva les yeux pour regarder les lumières qui avaient des baisse de tension, elle avait peur de se retrouver dans le noir. Elle entendit également un autre bruit mais ne se doutait pas que la climatisation était arrêté, elle savait même pas qu’il y en avait. Chad faut que tu me parles là !

C’est vrai mais ça marche.

Chad n’allait pas cacher a Ashley qu’il faisait ça pour pas qu’elle s’inquiète. De toute façon elle n’est pas bête elle le sait et puis elle connaît son mari, toujours en train de la protéger pour être la pour elle si elle a besoin. Toujours a l’aider si il le faut. Enfin il est souvent derrière la jeune femme comme si c’était une enfant et qu’elle ne savait pas se débrouiller alors qu’il sait parfaitement qu’elle est capable de se débrouiller sans lui. D’ailleurs Amber lui répète souvent qu’il prend trop Ashley pour une gamine. Mais bon c’est dans sa nature de protéger les gens il fait ça avec tout le monde et encore plus quand c’est sa famille. Et puis malgré ce que montre Chad de lui vis-à-vis des autres un homme fort, un homme avec un cœur d epierre, c’est tout le contraire. Lui aussi a besoin de beaucoup d’attention et dés qu’il est loin de sa femme il se sent pas bien il a toujours besoin de la sentir contre lui, prêt de lui. Si il est dans la même pièce il ne pourra pas rester éloigné d’elle bien longtemps même avec les années de mariages et de vie commune. La d’avoir Ashley contre lui le calmer et l’apaiser beaucoup. En la voyant lever la tête il baissa la sienne pour la voir mais Ashley ne fini pas sa phrase. Il se demandait ce qu’elle allait lui dire, mais lui aussi fut couper par ce qui était en train de se passer dans la pièce. Dés que les lumière commencèrent a baisser Chad posa immédiatement son regard vers ses enfants en même temps il vit sa mère revenir vers eux, il la regarda faire et il pensait qu’elle était fatiguer et non qu’elle pleurait sinon il aurait été la voir. Il reposa son regard sur sa femme en l’entendant. Il passa une main sur sa joue avant de lui déposer un baiser.

C’est rien c’est normal, ça risque de recommencer plusieurs fois. Tiens dit moi ce que tu voulais me dire.

Chad voulait bien parler avec sa femme mais il n’avait pas de sujet de conversation la immédiatement tout de suite, du coup comme Ashley n’avait pas fini sa phrase juste avant autant qu’elle la finisse et puis Chad est curieux il voulait connaître la fin c’est normal. On va se décaler un peu par contre. Chad voulait qu’Ashley se colle au lit de leur enfant parce qu’il avait peur que la lumière ne tienne pas bien longtemps et si jamais elle se coupait il serait prêt de tout le monde et ainsi il pourra les protéger quitte a réveiller ses enfants ce n’est pas grave, de toute façon il les réveillera parce que jamais il les laissera dans le lit, il les planquera contre le mur. Enfin Chad pense a tout dans ses moments la. Il attendit que sa femme se décale pour se remettre contre elle.

Les choses avaient l’air de s’être calmé coté Ferguson, même si je voyais encore quelques petites crises ci et là, tous restait à peu près normale et calme. Cela faisait maintenant quelques petites heures que nous étions enfermés dans cet abris et que nous n’avions aucunes informations concernant les avancés de la tempête et sur ce qu’il se passait dehors. Nous n’avions même aucunes informations concernant le deuxième abri qui était cependant à quelques mètres du notre. J’avais pensé qu’il y aurait pu y avoir au moins un système de communication pour relier les deux abris, mais non.
En même temps, qu’elle système capable de résister à l’assaut d’une telle tempête aurait pu être mis en place ? Un système par satellite peut-être ? C’est ce qui semblait le plus plausible mais bon, il fallait les moyens à la ville pour installer un tel système et surtout il fallait que ça serve. Avec le peu d’attaque naturelle que Volusia avait servit, installer ce genre de technologie n’aurait sans doute pas était rentabilisé. Cependant, plus nous avancions dans le temps, et plus les choses avaient l’air de se dégrader. La Terre changeait et de plus en plus de catastrophe naturelle avaient l’air d’arriver. Selon les scientifiques, il nous fallait changer nos habitudes et trouver de nouvelles technologies pour empêcher à la Terre de tomber dans le chaos et de signer notre fin à tous. Je savais que toute manière, je ne serai plus de ce monde pour voir sa fin, si jamais cela devait se produire, mais bon. Ce n’était pas une solution pour faire comme si rien ne se passait.

Je n’avais pas fait attention au temps que j’avais passé dans mes réflexion jusqu’au moment où le bruit aiguës du vent se fit entendre dans l’enceinte de l’abri, arrêtant toutes discussion et créant un silence digne d’un cimetière. A ce moment je relevais la tête vers l’endroit où nous était apparut se bruit et vit devant moi l’un des épais murs de béton armé qui nous enfermait. Je compris alors qu’aucune bourrasque de vent ne s’était introduite ici et que ce que nous entendions n’était rien d’autre que le vent à la surface qui foulait le sol de Volusia. La vérité sauta à la figure de tous lorsque nous comprîmes à quel point la tempête devait être violente pour que l’on puisse l’entendre d’ici, sous terre, entourés par des murs de béton armés de plusieurs mètres d’épaisseurs.
Je n’osais imaginer ce que cela devait être en haut. Un véritable enfer. Rien ne pouvait y résister. Je commençais à avoir peur pour mon avenir, pour notre avenir. Comment allait-on retrouver notre maison ? Ma salle de sport ? Tous les commerces, les rues, les écoles ? J’espérais avec force que la tempête ne décide pas de passer par la ville, qu’elle s’en irait loin et qu’elle nous épargnerait. La plupart des gens de cette ville avaient tellement galéré toutes leurs vies, ils ne méritaient pas de subir une telle chose. Même si les Ferguson avaient les moyens de reconstruire leurs Villas à grand coup de millions de dollars, je ne leur souhaitais pas de subir ça. Les dégâts matériels ne leur coûtaient peut-être rien comparé à nous, cependant ils perdraient sans nul doute beaucoup de souvenir.

« Tous vas bien se passer »

Murmurais-je à peine à moi-même alors que Serena se posa à mes cotés, la tête sur mon épaule, me tenant la main.
La lumière commençait à s’éteindre et se rallumer, signalant des baisses de tensions qui commençaient à avoir lieu en ville, et les climatiseurs se coupèrent. De toute évidence, la tempête ne devait plus être très loin. Les technologies et systèmes électriques commençaient à se détraquer. La plupart des personnes présentent priaient pour que Dieu les épargne et ne leur fasse pas subir cela. Sur le coup, j’avais envie de les insulter, de leur demander quel Dieu priaient-ils ? Un Dieu capable de faire subir tant de dommage et de souffrance dans le monde ? Ce Dieu ? Pour moi, il n’y en avait pas et n’en aurais jamais. Il n’y avait que les faibles qui étaient capables de se retourner de confier sa vie à un être mystique. Cependant je ne fis rien. Je n’adhérais pas à leur croyance, mais ce n’était pas pour autant que je devais imposer la mienne. Et puis de toute façon, je n’en avais rien à faire d’eux. Ce qui comptait pour moi était ma famille et mes amis, et la force et la conviction que je pouvais mettre pour les protéger et les aimer.

Ashley avait horreur de se retrouver dans le noir et ça c’était depuis toujours. Quand elle était petite Ashley dormait avec une lumière sinon c’était la crise assurée, elle dormait même avec son père par moment. Bien sur c’était une mauvaise habitude mais à cette époque son père lui aurait tout donné et tout fait pour elle. Avec l’âge la jeune femme avait moins peur du noir mais elle n’était jamais dans une pièce plongé dans le noir, par exemple dans sa chambre il y avait un peu de lumière grâce au réveil. Enfin bon si la pièce se plongeait dans le noir elle ne se mettrait pas à hurler, elle aurait certainement très peur mais Ashley avait son portable dans une de ses poches donc elle pourrait toujours le prendre pour éclairer un peu. Et puis le plus important n’était pas elle mais les enfants. La jeune femme posa son regard sur son mari lorsqu’il prit la parole, c’était mieux de ne pas fixer les lumières et d’angoisser pour rien. Ashley espérait que son mari avait raison et que ce n’était rien, si ce n’était que ça tant mieux parce que s’ils se retrouvaient d’un coup sans lumière ça serait la panique pour tout le monde. La jeune femme fronça légèrement les sourcils lorsque son mari lui demanda de lui raconter ce qu’elle voulait lui dire juste avant. Avec tout ça elle avait un peu oublié, mais elle ne mit pas bien longtemps à s’en rappeler. En même temps comment oublier. Ashley ouvrit la bouche prête à parler mais Chad lui demandait de se décaler. C’était mauvais signe, ils étaient bien là donc si Chad voulait se rapprocher des enfants c’était au cas où donc il allait bien se passer quelque chose. Enfin Ashley prit une bonne inspiration tout en se décalant vers le lit des enfants. La jeune femme en se décalant prit la bouteille avec elle la posant entre elle et le lit, regardant ses enfants qui dormaient tout les deux. Elle remonta ses jambes contre sa poitrine et parla moins fort surtout que ce qu’elle allait dire ne regardait que eux deux.

Ne ris pas mais… j’ai envie de toi !Je sais que ce n’est pas le bon moment et que je ne devrais pas penser ça.

Le temps dehors commençait a devenir inquiétant, et Chad commençait a se demander de plus en plus si leur villa aller tenir, si la boite de nuit aller tenir également et puis il avait un autre projet sur un bar en centre ville et cet ouragan pourrait tout bien changer. Il arrivait à entendre le vent souffler même avec l’abri. Il se doutait que si il l’entendant a l’intérieur la a l’extérieur ça devait être une catastrophe. Voyant les lumières de la pièce se baisser comme ça il préféra se reprocher de ses enfants avec sa femme au cas ou ils se retrouveraient dans le noir. Chose qu’il n’espérait pas parce que ça risque d’être le chaos total. Sa femme se décala sans rien dire et tant mieux parce que si elle commençait à lui poser pleins de questions ça risquerait d’être dur de rester calme. Il se doutait bien qu’elle comprenait pourquoi il faisait ça mais il n’avait pas envie d’entendre des questions et tout comme Ashley il voulait parler de n’importe quoi histoire de se changer les idées. En entendant sa femme le jeune homme sourit et posa sa main sur la bouche d’Ashley pour qu’elle se taise.

Ta pas le droit de me dire ça la maintenant. Depuis le temps que j’attends que tu me dise ça, toi tu me le dis quand on est pas tout seul, c’est vraiment pas humain ce que tu fais.

Le jeune homme sourit et embrassa sa femme. Ashley ne pouvait pas lui dire ça maintenant pas quand ils ne sont pas que tous les deux. Ca faisait déjà un petit moment que Chad n’avait pas entendu ça sortir de la bouche de sa femme et autant dire que l’entendre lui donnait aussi envie, mais il ne pouvait rien faire et ça c’est frustrant. Enfin vaut mieux qu’ils changent tous les deux de sujets parce que sinon ça va devenir dur de résister a Ashley ça reste un mec.

Ma mère n’a pas l’air bien.

Alors qu’un ouragan menaçait Volusia, qu’ils étaient enfermés dans un abri et qu’ils n’avaient aucunes idées de comment tout ceci allait finir Ashley avait des envies. D’un sens c’était pas mal parce qu’au moins la jeune femme oubliait sa petite angoisse tout à l’heure mais aussi le problème des lumières. Bon le problème c’était qu’elle ne devait pas trop penser à ceci, parce qu’en général quand elle a envie c’est plutôt dur de lui dire non, un peu comme tout le monde. Son mari apprit cette bonne nouvelle, puisque tout de même le couple avec quelques problèmes de ce côté-là depuis l’agression de la jeune femme, donc c’était forcement une bonne nouvelle. Il posa sa main sur la bouche de sa femme ce qui voulait clairement dire qu’elle ne devait pas en dire d’avantage. La jeune femme répondit bien sur à son baiser et une fois interrompus elle ne put s’empêcher de dire quelque chose.

Pour moi non plus ce n’est pas facile je te ferais dire. Dis toi que dans quelques minutes ou dans quelques heures je suis toute à toi !

La jeune femme sourit contente de ce qu’elle venait de dire, pauvre Chad si seulement elle parlait moins. Enfin maintenant restait plus qu’à savoir si ils rentraient bientôt ou non, enfin quoi qu’il en soit vous pouviez être sur qu’Ashley ne laisserait pas son mari se coucher. A moins qu’ils restent là jusqu’à demain matin ce serait embêtant. En entendant son mari la jeune femme chercha des yeux Kristin qui finalement n’était pas très loin d’eux.

Va la voir, elle a sûrement besoin de toi.

Chad avait préféré demander a sa femme de se taire parce que bon ce n’est vraiment pas l’endroit ni le moment de lui dire ça. C’est un homme qui n’a pas eu de rapport depuis un petit moment avec sa femme alors forcement quand celle-ci lui sort un truc comme ça, ça ne le laisse pas indifférent mais alors pas du tout. Le jeune homme prenait sur lui pour ne pas lui sauté dessus maintenant, ce n’est surtout pas l’envie qui manque pour le faire. Donc il avait préféré que sa femme n’aille pas plus loin dans ses propos parce que ça aller devenir dur de gérer ça après. Il l’embrassa pour qu’elle se taise mais aussi parce qu’il en avait envie, mais une fois leur baiser interromput Ashley en remit une couche. Chad grimaça tout en souriant.

Tais toi mon cœur, tais toi. T’as pas le droit de me dire ça maintenant. C’est pas dans quelque heure que je te veux c’est …Tout de suite.

Si Chad ne pensait pas a ça tout a l’heure Ashely avait réussi a lui donné envie rien qu’avec ses paroles. Elle aurait pu garder ça pour elle et attendre qu’ils soient tous sortis pour lui dire mais il a fallut qu’elle choisisse un moment ou rien n’est possible. Maintenant Chad voulait Ashley tout de suite et pas dans quelque heure, il avait même envie de sortir d’ici mais c’est impossible. Le jeune homme se mit a califourchon sur sa femme et il l’embrassa une nouvelle fois passant l’une de ses mains sur la taille de la jeune femme tout en la caressant doucement. Il interrompit son baiser quelque instant pour lui répondre.

Toi aussi tu as besoin de moi.

Je me tais, je ne dis plus rien. Mais je dis ça pour… te torturer, elle sourit, moi aussi je te veux tout de suite et maintenant, d’ailleurs j’ai pleins d’idées qui me vienne là… mais ce n’est pas possible malheureusement.

Ashley haussa les épaules sachant très bien que son mari n’avait qu’une envie c’était qu’elle se taise. La jeune femme allait bien se taire au bout d’un moment parce que mine de rien à la force de jouer ainsi elle se donnait également envie et ça risquait de devenir dur au bout d’un moment. Enfin ça amusait Ashley tout ça, ne restait plus qu’à prier pour eux deux que l’ouragan ne fasse pas trop de dégâts et qu’ils puissent rentrer chez eux et passer une agréable nuit ensemble. En voyant faire son mari la jeune femme sourit avant de répondre à son baiser, Ashley savait qu’il ne fallait pas trop en donner à Chad maintenant parce que ça serait du te le contrôler. Et puis ils n’étaient pas seuls malheureusement, en plus ce n’était pas vraiment le moment approprié avec tout ce qu’il se passait. D’ailleurs Chad reprit la parole et la jeune femme tourna la tête vers sa belle mère qui n’avait pas l’air d’aller très bien. Ashley reposa son regard sur son mari reprenant la parole.

Mon cœur moi je vais bien, même très bien… va la voir pour savoir ce qui se passe. Moi je ne bouge pas je reste là près des enfants, et en plus tu ne seras pas bien loin.

La jeune femme ne voulait surtout pas forcer Chad mais bon si il voulait aller voir sa mère pour savoir ce qui se passait et lui remonter le moral il n’y avait pas du tout de problème. Ashley se demandait ce qu’avait Kristin tout de même, peut être que tout ceci l’angoissait en plus elle était toute seule apparemment Ryan n’était pas décidé à passer du temps avec elle en même temps Ashley pensait que c’était mieux. Etre loin de cet homme c’était le paradis.

Ca j’avais bien comprit que c’est pour me torturer. Le jeune homme sourit à son tour. Tais toi, tais toi. T’as pas le droit.

La jeune femme continuait sur sa lancée et elle donnait de plus en plus envie a Chad avec ses paroles. Le jeune homme voulait maintenant savoir c’était quoi les idées d’Ashley, et puis de savoir que elle aussi en avait envie maintenant tout de suite ne l’aidait pas du tout. Le jeune homme se leva de sa place pour se mettre a califourchon sur sa copine et pour partager un baiser. Sa femme prolongea ce baiser pendant que Chad commençait à passer sa main sous le haut de la jeune femme restant à lui caresser la taille pour le moment. Quand Chad commence comme ça après même lui a du mal à s’arrêter tout seul. Heureusement qu’Ashley ne répondait pas vraiment a ses avances parce que la on aurait vraiment eu du mal a le retenir. Il sait bien qu’ici il ne peut rien se passer mais bon faut quand même qu’il essaie. Sa femme interrompit leur baiser et elle regarda en direction de la mère de Chad. En entendant Ashley Chad se lava de sur elle pour se remettre assis a coté d’elle.

T’as raison, j’arrive.

Le jeune homme fit de nouveau un bisou à sa femme avant de se lever du sol. Il remonta son pantalon avant de se diriger vers sa mère. C’est vrai qu’elle n’était pas vraiment loin d’eux et puis elle n’avait pas vraiment l’air d’aller bien donc bon il ne pouvait pas la laisser toute seule non plus. Arrivé prêt de sa mère Chad resta debout et lui tendit sa main pour qu’elle se lève.

Qu’est ce qui se passe ? Viens avec nous ne reste pas toute seule.