| | | It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% |  |
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 | | Sujet: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Ven 9 Avr - 22:54 | |
| __& DONOVAN MICHAEL FRANKLIN HENRY Feat. Orlando Bloom;
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Nom : Donovan.
Prénoms : Michael, Franklin, Henry.
Age : 25 ans
Date & lieu de naissance : 28.04.1984 à Manchester, Angleterre, UK.
Origines : Anglo-irlando-américaine.
Groupe : Their fight, not our.
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Sa Famille :
Les Donovan, une famille respectée et sans histoires à Manchester. Ils y sont depuis au moins trois générations et, très vite, ils sont devenus incontournables sur l'île de Sa Majesté. Ma mère, une femme exemplaire, était une avocate. Jusque là, une famille à l'apparence parfaite, mais voilà, il y avait plein de discordes au sein de cett famille. Ce qui vint ternir cette image aux yeux de la ville mancunienne fut le mariage avec mon géniteur, un Irlandais de pure souche, ne cachant pas son attrait et son goût pour l'alcool et les femmes. Et c'était bien la le problème, il aimait bien trop sa vie et lorsque ma mère tomba enceinte de moi, il partit, tout simplement, le jour le de ma naissance. Inutile de préciser qu'il s'était servi dans les économies de ma mère. Nous avons toujours été proches et, avec mon oncle, nous formions une sorte de famille assez...insolite ? Cela en choquait presque certaines personnes, mais bon, cela ne nous a et ne nous préoccupa jamais. Puis, il y a eu la phase où mon oncle est partit aux Etats-Unis, nous nous étions complètement perdus de vue et l'autre phase "beau-père". Elle eut pour effet de détériorer ou du moins de changer les relations que j'entretenais jusque là avec ma mère. Je partais d'un principe simple, puisque je n'avais jamais eu de père, autant prétendre ne pas en vouloir, au moins je me préserverais de la déception.
Durant mon adolescence, je fis la connaissance de l'homme qui avait aidé à ma mise au monde, dans un tribunal. Oui, c'était devenu un criminel et donc, voilà.
Depuis que je suis arrivé aux Etats-Unis, je n'ai pas repris contact avec ma famille en Angleterre et ce n'est pas la fermeture des frontières qui arrangera tout cela.
Ses Amis & ses ennemis :
ici depuis peu, je n'ai pas -encore- d'ennemis et pas vraiment d'amis. Juste quelques relations, qui peuvent être plus ou moins fortes mais bon, je me concentre avant tout sur mon travail, à savoir celui de professeur à l'université de Volusia. Cette histoire de guerre des clans me perturbe un peu, je dois avouer que je suis perdu, ce qui explique ma neutralité. Tant que je ne serais pas renseigné sur ce sujet correctement, je ne donnerais pas mon avis, même si je trouve cette guerre...stupide ? Comme toutes les guerres quoi. Je ne cherche pas à savoir le camp des personnes que je cottoie, cela peut en énerver plusieurs, que je reste "indécis". La neutralité alors, que ferais-je sans elle. Certainement pas grand chose. Je m'entends assez bien avec mes élèves, mais il y a tout de même des sujets à ne pas aborder, malgré notre complicité naissante. Le prof qui prend la défense de ses élèves, qu'importe le milieu d'où ils viennent, c'est moi, et même si cela m'attire des ennuis. Comme le dirait ma professeur de géo de lycée, "je vis avec mes tripes, vous êtes mes enfants et si je vous balancerais la bouée pour vous sauver et non pas vous noyer". Bizarre cette prof, parce qu'à partir de cette phrase, elle pouvait partir encore pour une heure. Enfin, tout cela pour dire que ce n'est pas cette histoire de clan qui me fait peur. Peut-être parce que je viens d'arriver et je n'ai pas encore vus de quoi était capable la population de Volusia.
Ses histoires de coeur :
Les amis, c'est comme une seconde famille, mais à la différence de la première, c'est celle que l'on choisi. Pour moi, mes amis sont aussi, voire plus, important que les membres de ma propre famille. Je me fais plus facilement d'amis que d'amour et la plupart des filles me considèrent comme un bon ami en général, sauf une. C'était à Bordeaux, en France, lorsqueje venais étudier dans ce pays, afin de maitriser la langue de Molière. Mais notre histoire n'a pas duré longtemps étant donné que je suis partie. Nous avons décidé de garder contact mais, avec le décalage horaire et nos vies respectives, cela n'est pas facile et, finalement, nous sommes devenus de bons amis ce qui fait que, niveau coeur, c'est plus un désert que meetic. Maintenant, je me dis que, finalement, l'amour, j'ai vécu sans jusque là alors pourquoi en faire une priorité ? Non, si cela m'arrive tant mieux et si ce n'est pas le cas ben je me dis...malheureux en amour, heureux au jeu non ? Et même; il vaut mieux être seul et mal accompagné, même s'il s'avère qu'avec le temps, cette phrase devienne plus une excuse qu'autre chose.
Son histoire :
Nous sommes à Manchester, une ville située à l'ouest de l'Angleterre, le 28 avril 1984. Ce jour là, naquit un jeune garçon nommé Michael Franklin Henry Donovan, en l'honneur de son grand-père d'origine américaine, mort, il y a peu, d'une crise cardiaque, d'une mère Anglaise et d'un père Irlandais.
Je grandis aux côtés de ma mère et de mon oncle. Ils étaient mes repères, et c'est grâce à eux que je suis la personne que je suis, avec mes valeurs, mes défauts et quelques qualités, je l'avoue. En dehors de mon oncle, je n'ai jamais eu de présence masculine, et, par conséquent, je mis du temps avant de m'affirmer réellement. Je passais le plus clair de mon temps avec lui d'ailleurs. Il m'est très important et nous avons toujours eu une grande complicité. C'est grâce à lui que j'ai trouvé le goût pour la musique. Il m'a appris à jouer de la basse et du piano. Formation que j'ai fini par compléter par quelques notions de guitare et de chant. Le père que j'avais toujours rêvé d'avoir et moi nous perdimes de vue, à cause du mariage de ma mère. Et ce fut elle qui me poussait vers le théatre, et le cinéma en m'inscrivant aux ateliers de mes diverses écoles. Cela ne plaisait pas beaucoup à mon beau-père, mais comme le préfixe 'beau' insiste bien, ce n'est pas mon père. Je n'en ai jamais eu et je ne veux pas en avoir. Si une telle rancoeur existe, c'est tout simplement parce que mon géniteur nous a abandonné, ma mère et moi, le jour même de ma naissance. Comme je ne l'ai jamais connu et que je n'ai jamais cherché à le connaître, ce n'est qu'un simple inconnu. A vrai dire, j'aimerais ne jamais l'avoir connu. En effet, j'ai pris conscience de son existance à l'age de sept ans, lors de la procédure de divorce et cela se passa plus ou moins mal puisque je finis par aller voir une psycologue, pour aller mieux en renfermant cette souffrance entre des parenthèses.
Ces fameuses parenthèses furent brisées à l'age de treize ans, par une convocation au commissariat qui atterit dans la boite aux lettre de ma mère. Je la charriais en disant qu'elle avait du jouer les révolutionnaires ou les chauffardes, mais en faite pas du tout. C'était le retour du père prodigue, en quelques sortes. Il était accusé de viols et tentative de viol sur mineurs. D'après ma mère, c'était un lâche doublé d'un idiot et lorsqu'elle me dit le pourquoi de cette convocation, je n'avais d'autre choix que de la croire. Je m'en étais toujours plus ou moins douté mais là, c'était évident. J'avais du mal à accepter d'avoir du sang de violeur en moi. Cela me rendait honteux, et très très mal. Mais je prenais sur moi, pour ne pas inquiéter ma mère et troubler l'idylle qu'elle vivait avec mes histoires d'adolescent torturé. Je me noyais complètement dans la musique et les arts dramatiques. Ce sont mes passions qui me préservèrent, sans compter que mon oncle me manquait terriblement. Ce qui "m'acheva", ce fut le verdict du procès de mon géniteur, il avait été reconnu coupable. Personne n'essayait de me comprendre, réellement. Mon entourage me disait qu'ils me comprenaient, mais c'était des paroles en l'air, dans le vent. Je le savais et c'était cela qui me rendait malade. Personne n'essayait de me comprendre vraiment. J'étais tellement perdu que je tentai de mettre fin à mes jours, enfin non. Je voulais substituer une douleur morale, mentale pour une douleur physique. A l'adolescence, nous faisons toujours des mauvais choix, et ce sont souvent les plus faciles. Bien conscient d'avoir fait une erreur, personne ne fut au courant et lorsque l'on me pose des questions sur ma cicatrice au poignet droit, je prétends que c'est mon chat qui m'a griffé, quand j'étais petit.
Même si j'aimais beaucoup Manchester et l'Angleterre, par leur musiciens, leur équipe de football et la gentillesse des habitants, j'éprouvais le besoin de changer d'air, de voit de nouveaux horizons et si un incident se produisait, j'étais quasiment certain que tout le monde serait mis au courant. Avec mes rêves de grandeur, je pensais aux Etats-Unis... Pourquoi ne pas aller du côté de la grandeur et du rêve américain ? Parce qu'à Manchester, il ne fait pas très beau et encore moins très chaud... Et c'est ainsi que, cette même année, que j'obtins une bourse pour aller étudier à Harvard, dans la ville de Cambridge. Cela tombait même plutôt bien, car mon beau-père avait une résidence à Boston, ce qui n'est pas très loin. Il en avait un peu partout, en France, en Australie, à San Diego mais celle de Boston était la 'principale'. Ma mère pensait que m'éloigner de Manchester, du royaume de Sa Majesté et donc de cette histoire, me ferait le plus grand bien. Mais elle se trompait, elle avait tort à un point... Là bas, je ne faisais que tenir la chandelle entre les deux tourteraux et voilà pourquoi je me concentrais sur mes études mais cela ne m'empêchais pas de passer le plus clair de mon temps dehors, avec mes nouveaux amis, ils me charriaient à cause de mon accent anglais prononcé mais je rigolais bien quand eux, ils parlaient avec leur accent américain bien particulier. Et ce fut à mes dix-neuf ans que, j'arrivais à avoir plus que quelques notions de français et c'était, du coup, je partis pour six mois en France, dans la ville de Bordeaux. Ce fut là je tombai amoureux d'une fille. C'était un sentiment si singulier et vraiment agréable qui fut de courte durée car, je repartis aux Etats-Unis, les six mois étaient passés vraiment très vite. De retour aux Etats-Unis, je repris contact avec mon oncle, et je partis à Miami, là où il vivait. Il s'agissait des vacances d'été et cela m'arrangeait, à cause de la relation que j'entretenais avec mon beau-père qui se faisait pesante, et au fur et à mesure, il s'est avéré que ma relation avec ma mère se soit dégradée.
Bref, après être revenu à Harvard et avoir renoué avec mon oncle, il ne me restait qu'environ deux ans avant la fin de mes études. Cela se passa relativement bien puisque j'eu mon diplôme et j'intégrai fièrement une sorte d'école pour les futurs professeurs car, si j'en étais là, c'était grâce à mon acharnement mais, peut-être aussi, indirectement, grâce à mon beau-père. Je plongeais mon nez dans les livres, de peur de voir quelque chose d'un peu trop..affreux, horrible, traumatisant ? Cela doit être tout cela à la fois. D'ailleurs, les seules fois où j'ai des nouvelles des deux amoureux, c'est soit à Noël, aux anniversaires ou parfois pour les vacances d'été où ils me demandent de venir les voir mais je n'y passe même pas une semaine, prétextant des occupations très prenantes comme des sorties avec des amis et ma charge de travail, qui se fait de plus en plus présente et lourde. Cela paya, mais comme j'étais un "bleu" et un des plus voire le plus jeune de ma promotion. J'avais besoin d'un break, de m'endurcir. Je me dirigeais vers...l'armée américaine, enfin la NAVY. Après trois ans de service, je décidais de me remettre dans l'enseignement. J'étais plus calme, et peut être même plus mature, légèrement plus pédagogue. Ma première affectation, en guise de "test" fut Volusia, en Floride. C'était rassurant car Miami n'était pas loin, et par ce fait, mon oncle aussi. Je voyais mes plans chambouler par une guerre des clans et par, surtout, la fermeture des frontières de la ville. Oui, le Gouvernement pensait que voir un membre de sa famille n'était pas une excuse valable pour obtenir un laisser passer.
Son caractére :
Tout d'abord, commençons par le plus simple, les qualités et les défauts. Enfin, même si mes qualités, je ne saurais les dire. Peut être qu'en apprenant à me connaitre, vous pourrez les découvrir, s'il y en a, bien sûr -parce que personne n'est parfait. Derrière ma façade de grand brun rebelle, timide, distant, froid, manquant de tacte, intimidant et idiot, se cache quelqu'un de calme, assez avenant et très diplomate. C'était tout un apprentissage et lorsque l'on est un gaffeur né, on le reste toute sa vie, je pense. Mais, j'essaie de peser le poids de mes propos pour ne pas blesser ou offenser certaines personnes. Mais rien ne m'empêche d'être taquin ou gaffeur car l'erreur est humaine, et oui, la preuve, j'en suis une. Comme il est vraiment très difficile de le remarquer, je "souffre" d'une assez grande remise en question et d'un énorme manque de confiance en moi. Il m'arrive d'être en doute perpétuel, et dans ces périodes, je suis très renfermé, et un rien me trahit. Alors je fume, pas beaucoup parce que l'odeur n'est pas très agréable, mais, par moment, cela me relaxe et me permet d'oublier mes doutes et mon insécurité incertaine pour un moment donné. Et puis, le plus souvent, je me réfugie dans la musique ou la lecture mais, pour le plus souvent, c'est la musique qui l'emporte. Je ne peux pas vivre sans, c'est ma dépendance avec un grand "D". Autrement, lorsque je ne suis pas pensif ou dans mes périodes de doutes, je suis quelqu'un qui sourit autant qu'il le peut, même aux inconnus. J'ai un sourire accroché à mes lèvres, et je ne sais pas si quelqu'un pourra me l'enlever. J'ai parfois l'air idiot mais je m'en fiche à vrai dire. J'ai toujours pensé qu'il était plus agréable d'avoir quelqu'un qui sourit trop que quelqu'un qui boude à longueur de journée. Bon il y a un juste milieu, c'est vrai mais je ne le suis pas. Tant pis ! Parce que je vascille d'un extrème à l'autre. Je peux très bien être souriant, jusqu'à excès mais je peux aussi être celui qui plombera l'ambiance dans un groupe, ce qui explique mon isolement dans ces cas là -et je suis souvent seul, allez savoir comment cela se fait. Voilà pourquoi, en tant que 'décor', je passe pour quelqu'un de solitaire ou d'idiot voire d'associable alors que ce n'est pas du tout le cas. Dès que les gens apprendront à me connaître, ils sauront que je rigole pour un rien, que l'on peut parler de tout et de rien avec moi et aussi que je suis vraiment bête. En effet, à la moindre blague pourrie, nulle ou idiote, je serais sûr de rire ou, à la limite, de sourire... Voilà qui peut se montrer bien déroutant. En faite, je suis un paradoxe à moi tout seul. En effet, je me contredis assez souvent et mon apparence me montre froid, plutôt méchant et distant alors que ce n'est pas tout à fait le cas. J'ai toujours été là pour mes amis -parce que j'ai (eu) des amis- ils peuvent compter sur moi et il le savent. Personne ne s'est plaint de mon sens de l'amitié, jusque là. Je suis quelqu'un de protecteur, la souffrance que l'on peut faire à mes proches me déplait énormément et je ne suis pas du genre à voir mes amis souffrir sans rien faire. Je n'ai jamais hésité à les aider, quitte à me mettre dans une situation désagréable. Je ne cherche pas mon profit mais l'épanouissement de mon entourage, ce qui est explique ma sur-protection, au risque de paraître trop lourd. Mais bon, dans la plupart des cas, il vaut mieux en avoir trop que pas assez, non ?
Enfin, beaucoup me décrive comme quelqu'un de naïf mais voilà, de mon point de vue, le commandement "aime ton prochain" fonctionne, mais avec certaines personnes, seulement. Je joue, parfois, le rôle du crétin pour pouvoir me faire mes dents et savoir comment sont réellement les gens car ils ne se méfie pas du petit crétin, l'idiot de base.
Prénom/ Pseudo : Michael F. Donovan.
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| Ta fiche est très bien, très complète & j'aime ta façon d'écrire
Je te valide
Bienvenue parmi nous
& merci pour ton inscription 
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| | | | Invité
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Sam 10 Avr - 12:43 | |
| Merci beaucoup ^^ Y'a pas de quoi, pourvu qu'il dure  |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Sam 10 Avr - 13:57 | |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Sam 10 Avr - 15:20 | |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Sam 10 Avr - 16:24 | |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Sam 10 Avr - 16:33 | |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Mar 13 Avr - 19:54 | |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% Mer 14 Avr - 21:52 | |
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| | Sujet: Re: It's a new door, a new day, a new life. || Michael F. Donovan ; 100% | |
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