Pour se sentir belle !

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Voilà une nouvelle journée qui commençait pour June Stewart. Bien que se fut le week-end et que par conséquent elle ne travaillait pas, la jolie était dans la totale impression d'avoir prit sa journée. Elle s'était réveillée aux alentours de onze heures et demi car la veille, elle avait travaillé jusque tard dans la nuit. Puis, elle avait fait tout ces gestes du matins, gymnastique, yoga, footing... Oui bone n fait ça n'était pas du cela, s'était plutôt douche, perte de temps devant une amoire bourré de fringues mais pourtant elle ne savait pas quoi mettre, ensuite brunch avec son amoureux (a) et pour finir coup de fil à sa meilleure amie. Mais bien vite,elle avait commencer à s'ennuyer.

Pour s'occuper de la journée, ou plus particulièrement de son après-midi, June se décida à faire de sa journée sienne. Elle allait d'abord se rendre au salon de beauté pour justement s'en refaire une toute neuve, parce que ces derniers temps, bonjour la peau terne ! Ensuite elle allait sûrement faire un peu de shopping, juste pour le plaisir et en souvenir du bon vieux temps ! C'est donc avec un programme chargé, que la jeune femme sortit de chez elle.

Lorsqu'elle arriva au salon de beauté, du quartier Ouest bien entendu celui des Ferguson, elle n'avait pas trop le coeur à s'aventurer vers le centre et tout. Elle avait ses habitudes au salond e coiffure, tout de suite elle demanda un un soin complet, un magazine et un verre de vin. Elle partit se changer pour se vêtir du peignoir de la maison. Une fois prête, elle s'assit dans le grand fauteuil, et deux employés commencèrent à la chouchouter. Elle était super bien, d'ailleurs parce qu'il n'y avait presque personne. Enfin cétait ce qu'elle pensait, juste avant qu'elle entende quelqu'un lui parler.

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Une jolie journée commençait ce samedi pour Léa. Elle se réveilla lentement vers 10 heures. Elle prit une douche d’une demi-heure, en s’ appliquant un soin pour la peau qu’elle laissa poser pendant sa douche

Une fois sortie, elle se contempla dans le miroir, l’épilation de ses sourcils commençait à disparaître, ses cheveux étaient fades, il était temps qu’elle refasse son balayage. Elle s’entoura d’une grande serviette et décrocha le téléphone pour appeler le salon de beauté, pour prévenir qu’elle passerait dans l’après, vers environ quinze heures. Elle reposa le téléphone et se dirigea dans sa chambre. Elle ouvrit sa penderie, dans laquelle une multitude de tenues, pantalons, jeans, jupes, chemisiers, maillots à manche courtes, manteaux, blazers et chaussures s’offraient à elle. Elle choisit d’abord finement sa lingerie, puis elle enfila un jean slim, une chemise blanche et un blazer noir. Elle enfila des spartiates à talons noir. Elle se dirigea vers son maquillage et sa boite à bijoux. Elle ne se maquilla que très légèrement avec un peu de fond de teint. Elle enfila sa montre et quelques bagues.

Elle regarda l’heure, il était midi. Hum. Léa avait décidé que cette journée serait uniquement pour elle. Ce qui voulait dire qu’elle ne ferait pas à manger aujourd’hui. Elle prit son sac et sortit de l’appartement. Elle se dirigea vers la brasserie chic au bout de la rue à laquelle elle était habituée et connue de tous, elle y avait même sa table réservée. Elle prit un repas léger et après avoir parlé un bon moment vers la patronne, elle repartie vers une heure et demie. Elle alla faire quelques magasins, qu’elle avait repéré la veille et s’acheta un collier en or blanc. Il était presque 15 heures. Elle prit alors la route vers le salon de beauté.

Elle y entra et fut accueillie par une nouvelle employée très agréable. Elle alla se changer au vestiaire et l’employé l’accompagna à son siège préféré à côté d’une jeune femme. La toute jeune employé commença à s’occuper de ses cheveux, et pour faire passer le temps, elle commença à discuter à la jeune femme d’à côté à qui l’on faisait exactement la même chose. Elle lui dit tout en souriant :

« Vous aussi vous prenez du bon temps ici ? »

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L'état de June Amanda Stewart, devait être catastrophique, du moins c'était son avis. Elle était toujours à se demander, comment elle pouvait encore plaire à Tyler Ferguson avec une peu toute flagada, des cheveux ternes et une coupe pour le moin totatelement informe, des ongles carrément immonde (oui bon on abuse) et surtout des cernes pas possible accompagnées d'énormes poches sous ses yeux, pourtant si beaux. Il était vraiment temps, qu'elle remette tout cela en ordre et qu'elle se sente de nouveau bien dans sa peau. Déjà qu'à présent ses relations étaient beaucoup plus stables qu'autrefois, il en fallait de même pour son apparence. Et puis, il faut l'admettre, June adorait prendre soin d'elle, que l'on s'occupe d'elle plus précisément. Si vous saviez ! Après une séance telle que celle, elle était genre revigorée, toute refaite et de nouveau en pleine forme !

Pour le moment, la jeune femme, se tenait à moitié allongée, dans ou sur un gigantesque fauteuil tout moelleux. Exactement ce qu'il lui fallait. On lui faisait sa manicure, ainsi que sa pédicure, car effectivment deux employées pour elle toute seule, cela n'était pas de trop. Lorsqu'elle entendit Léa lui parler, bien qu'elle n'avait pas reconnu la voix au premier abord, elle avait reconnue Léa Nickson.

- Oh ! Oui, j'en avais bien besoin. Je suis genre affreuse !

Elle ouvrit de gros yeux en disant cela, elle avait aussi émit un petit rire. Bien que ce n'était pas dans ses haitudes de se dénigrer, mais dans le cas présent, c'était la vérité et June se montrait toujours très franche, et disait vraiment tout ce qui lui passait par la tête.

- Comment ça va ? Léa.. c'est cela, non ?!

June n'était pas très sûr. Pourtant son visage lui disait queque chose. Après une ultra mini réflexion, June parvint à se rappeller de la jeune femme. C'était il lui semblait la cousine d'Amber, et elle l'avait déjà vu plusieurs fois avec Jared, son petit frère de coeur. June lui sourit, maintenant qu'elle se rappelait d'elle s'était beaucoup plus facile !

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La dernière fois que Léa était allée au salon c’était il y a au moins deux moins. L’état physique de Léa était encore potable, mais plus assez pour elle. Mais si grâce à une nouvelle crème haut de gamme sa peau était sublimée, il n’existait aucun moyen, jusqu’à maintenant, d’empêcher les sourcils de repousser et les cheveux de s’abimer et de perdre leur couleur. Après peut-être qu’uniquement pour son bien être Léa demanderait un massage et une manucure, il fallait voir le temps qu’il lui restait. Et oui, Léa avait un emploi du temps chargé.Il fallait qu'elle prenne l'avion ce soir et une chambre d'hotel à Los Angeles. Demain c'est le mariage d’une arrière cousine qui vit là-bas où Léa était invitée, il fallait qu’elle soit parfaite. Et pour cela, elle avait besoin de se sentir « neuve ».

L’employée était en train de laver les cheveux de Léa tout en prenant soin de lui masser le cuir chevelu. Léa n’avait pas vraiment fait attention à la personne à laquelle elle s’adressait. Léa parlait à tout le monde et n’importe qui, du moment que cette personne semblait respectable. Mais quand celle-ci se retourna, elle reconnut June. Une très gentille femme, une Ferguson aussi, évidemment. En la voyant se retourner elle lui fit un petit sourire, étonnée de la voir ici, mais pas vraiment, c’est une femme elle aussi, et une femme aime prendre soin d’elle.

« Affreuse ?! Peut-être pas tout à fait ! Et je suis certaine que je ne suis pas vraiment mieux. »

Léa rit discrètement à son tour , à l’exception de sa peau nickel, le reste laissait à désirer. Mais il valait mieux en rire qu’en pleurer.

« Oui c’est Léa, June si je me souviens bien ? Je vais bien, enfin ça ira encore mieux quand je serai sortie ! Et vous ? »

Léa n’avait rencontré June que très brièvement, mais le peu qu’elle lui avait parlé, elle l’avait beaucoup apprécié, l’avait trouvé très franche et peu superficielle. Et aujourd’hui était l’occasion pour apprendre à se connaitre un peu mieux, car quand on entre dans un institut de beauté, on n’en ressort pas avant quelques heures; bien que ces heures soit plutôt agréables …

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Si l'on essayait de retrouver la dernière fois où June avait mit les pieds dans un institut de de beauté... franchement on pourrait remonter à des années, des décénies voirs des siècles. Bon, j'abuse sûrement, cela doit faire trois ou quatre mois, qu'elle se trimballe avec sa tête de zombie. Donc comptons à peu près six mois d'absence dans le salon de beauté. Avant, c'est-à-dire il y a environs quatre ans, June Stewart ne pourrait pas supporter qu'une seule petite chose ailles de travers dans son apparence. C'était genre la fille, qui se rendait toute les deux semaines chez le coiffeur, ou l'esthéticienne. Qui si se trouvait affreuse, prenait un rendez-vous d'urgence hez le meilleur dermatologue de la ville. Enfin on voit bien le genre, c'est dur à admettre pour elle mais, avant elle le faisait grave dans le genre pouffe !

Léa Nickson, faisait bien évidement partit des Ferguson, parce que si elle appartenait au clan Atwood il y aurait un sérieux problème, si l'on prenait le fait que sa cousine, Amber, était le leader du clan de l'ouest de la ville, celui des Ferguson. De plus, si l'on voyait un Atwood en plein milieu du quartier Ferguson, June ne donnerait pas cher de sa peau. Cela la fit repenser aux année où elle était à fond dans le conflit, bien qu'elle y soit toujours mais bien moins qu'avant. Elle prenait à chaque fois un malin plaisir à s'imaginer des scénarios qui lui ferait venger l'honneur de son clan ou autres idées complètement débiles et farfelues que celles-ci. Encore une fois quand elle y repensait elle était bien contente d'être devennu comme elle l'est à présent.

- Tu plaisante ?! Ta peau est sublime ! La mienne est d'un terne, c'est à peine croyable !

June n'en revenait pas d'avoir laissé un tel désastre se produire sur son apparence... C'était décidé, à partir de maintenant elle se faisait la promesse de mieux entretenir tout ça. D'un bref mouvement de tête elle scella sa nouvelle promesse, et se pencha pour attrapper un magazine d sa main droit, car l'employée venait de la terminer.

- Exactement, c'est bien moi ! Ouai, je crois que je suis dans le même cas que toi ! Une fois que je serais de nouveau acceptable, je crois bien que mon morale remontra en flèche !

Elle sourit à la jeune fille. C'est drôle comment on est soudé dans un clan, mais à quel point parfois on ne se connaissait pas. June en prenait conscience, car elle avait devant elle-même un exemple.

- Oh et je t'en prie tutoie moi, sinon je me sens vieille à côté de toi !

Ajouta-t-elle en riant.

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Léa venait toujours régulièrement prendre soin d’elle dans cet institut chic dans la ville. Elle y avait ses petites habitudes et ses assistantes préférées. Léa prenait toujours un rendez-vous le jeudi après-midi, souvent une fois par moi et parfois deux, passer des après-midi ici et dépenser des sommes astronomique en soin lui plaisait bien, peut-être une seconde passion après le must shopping. . Mais ces temps-ci, Léa avait été plus que surmenée et archi débordée. Ca faisait 3 mois qu’elle n’y avait pas mis les pieds. Et comme le célèbre dicton le laisse entendre à qui veut le croire, avoir une bonne hygiène de vie n’est pas le secret d’une belle peau.

Léa a la mentalité d’une petite anglaise pure sang : Aucun faux pas, très ordonnée, avoir raison, fan de culture et boutiques chic, ce qui y ajoutait, un corps « so perfect ! » .

« C’est sûr que ta peau n’est plus au top de sa forme, mais mettons tout cela sur la population élevée de la ville. Sinon le débat n’en finira jamais. »

Elle rigola légèrement, Léa ne pouvait s’empêcher de toujours défendre ses arguments, et aujourd’hui, June et Léa avait toutes les deux raisons, donc aucunes d’elles avaient tort, donc la discussion pourrait être interminable.

« Evidemment, on ne se trouve jamais assez bien. »

Léa lui sourit à son tour. Et Léa avait raison. Surtout dans le clan Ferguson, l’apparence est une chose plus qu’importante. Malgré le clan soudé, Léa ne connaissait pas tellement les gens, bien que sa cousine soit très populaire. Elle connaissait beaucoup d’étudiants et jeunes personnes, mais elle connaissait peu de personnes plus âgées.

« Oh, pardonnes-moi, je ne m’en étais moi-même pas rendue compte. »

Elle rigola, c’était un tique chez elle de tutoyer les personnes plus vieilles, même si June ne dépassait apparemment pas la trentaine.