Il est vrai que d'ordinaire je ne l'aurais jamais laissé entrer de la sorte mais en ce merveilleux mercredi, alors que je ne savais que faire jusque là si ce n'est lire, il ve vint alors l'idée subite de me divertir de sa présence. Pour être honnête nos échanges sont toujours très acerbe. Quoi de plus pour pimenter une journée des plus monotomne ? C'est très peu intelligent de ma part me direz-vous, mais je vous rassure nous sommes deux à jouer le jeux et il faut l'avouer. Pawel est un adversaire de taille. Et voilà que je me rend compte trop tard de la perche tendue. Il fallait s'attendre à une de ses répliques dont ila le secret mais qu'il se rassure je ne le laisserais pas en reste. A ce que je vois tu es toujours aussi bien élévé. Pour changer ! Fais attention ça finiraiss par presque devenir une habitude chez toi. Ah ironnie quand tu nous tiens. Qu'il est jouissif de voir cette moue s'afficher sur son visage. Je vois à présent ses yeux s'attarder sur l'ouvrage que je lisais il y a encore quelques minutes de cela. Je ne pouvais m'attendre qu'à une critique de celui-ci. Et bien au moins pour une fois tu te coucheras moins bête que tu ne l'es déjà ce soir. J'allais très bien avant que tu ne viennes m'importuner dez ta présence et toi ? Il est vrai que notre relation était très particulière. Bien que nous nousenvoyons des piques à longeur de temps cela ne nous empêchait pas d'être particulièrement polie l'un envers l'autre. Il n'était pas une personne que je détestais à proprement parlé. Je n'appréciais seulement pas le double jeu qu'il jouait avec Lucille. Un jour gentleman et l'autre non. Il fallait choisir. De plus son sans gêne avait l'air d'être contagieux.Sans plus de cérémonie j'attrapais l'un des deux cappucino posés sur la table. Merci mais la prochaine fois tu vérifiras à ce qu'il y ai du sucre dedans. Qui sait peut-être que ce jour là tu cesseras de faire les choses à motié. Rajouttant un peu de sucre, je portais à mes lêvres le liquide noir, brulant afin d'en boire quelques gorgées. Par la même occasion je rangeais au passage mon livre dans ma commode, celle justee à côté de mon lit ou l'on pouvait voir divers livre et manuel scolaire traitant sur le droit et diverses choses s'en rapprochant. Je m'assayais à présent sur mon lit et à ce même moment il allumait une cigarette. Il savait pertinement que je détestais l'odeur et le faisais donc exprès. Il en profitait d'ailleurs pour me souffler et me faire hinnaler toute la fumer en plein visage. Je le laissais, ne disant rien, ça ne serait que trop lui donner de l'importance ainsi que des munitions à son sarcasme car comme l'un pour l'autre, toutes les choses énervant l'autre étaient bonnes à prendre. Alors qu'est ce qui t'a déicdé à venir prendre tin temps, et le mien, en ma compagnie ? Oui, notre jeux est des plus malsain. Je lui donne ce qu'il veut ou espère mais il faut bien alimenter cette passion dévorante que celle du sarcasme. Alors de temps à autres ils nous arrivaient de faire ce genre de choses, ce qui restait bien sur exceptionnel.