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 To have a part of you, makes me happy (Zac)

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Serena Swank

Serena Swank

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MessageSujet: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMar 8 Fév - 18:06

Serena & Zac ♥



Ce soir comme encore un soir parmis la semaine, elle avait eu des envies soudaine de choses et d'autres, et la flemme totale de cuisiner. L'envie de sortir était présente depuis la fin de cette guerre, des projets plein la tête, elle en avait encore plus que d'habitude. Notamment celui de partir un peu d'ici, un petit week-end ou bien quelques jours, voilà quelque chose auquel elle en mourrait d'envie. Elle en parlait quasiment tous les jours à son homme, lui disant qu'elle avait trouvé un autre endroit mieux que le précédant, pour leur petit week-end. Elle appréciait cette nouvelle liberté, et elle voulait l'exploiter un maximum, de peur que la trêve ne soit de courte durée. Et puis si ce soir elle avait à tout prix choisit un restaurant du quartier ouest, ça n'était pas pour rien vu qu'avant celui-ci appartenait fermement aux Ferguson. Sympathiser avec l'ancien clan ennemi se faisait petit à petit, et la jeune femme n'en avait aucune rancœur, même si son père avait quand même été tué par l'un d'eux. Attendant sagement le retour de son homme, elle avait prit le temps de faire un peu de ménage et puis d'ajouter quelques idées à son book de mariage. Elle en avait eu l'idée auprès de la suggestion d'une amie, celle de faire un classeur avec tout ce qu'elle aimerait pour ce jour là. Serena s'était au départ contenter d'une simple boite où elle y déposait tous les morceaux de papier qu'elle avait pu découper d'un magazine ou d'une publicité.

Elle avait que cela en tête en ce moment, son mariage avec l'homme qu'elle aime, leur mariage. Le fait de porter le nom de Zac, c'était pour elle comme une marque d'amour que celui-ci lui offrait. Comme la sécurité d'un bonheur, d'une fidélité sans faille et même si ça fait vieux jeu tout ça, elle aimait croire en ces choses là, qu'est le mariage. Bien sûr qu'elle ne s'imaginait pas, des idées extravagantes, au contraire tout était beau mais simple, et puis elle demandait toujours l'avis de son homme, et tous les deux du coup se concoctaient, la journée et la nuit de leur rêve. Elle bossait dure pour faire des heures supplémentaires et gagner du coup plus d'argent, car ils ne pouvaient compter que sur eux, et puis la jeune femme a toujours aimer, tout avoir par elle-même. A peine Zac sortit de la douche qu'elle en refermait son classeur et le glissait sous le canapé, car elle savait que si elle se mettait à lire ce qu'il contenait, ils ne sortiraient jamais de la maison. Prenant le chemin en direction du restaurant, ils auraient pu se faire livrer, mais quitter leur petit cocon n'était pas tellement un mal, au contraire. Assise au bord d'une vitre, l'ambiance était tout à fait celle d'un restaurant chinois, et y'avait tellement de couples qu'elle se serait cru à la soirée de la saint valentin.

« Je ne sais pas trop pourquoi ... ce soir c'était le chinois »

dit-elle en éclatant de rire, car en ce moment elle aimait changé de nourriture assez souvent, et surtout de cultures mais le coté oriental ressortait beaucoup ce soir. Tripotant la bague qu'elle portait toujours autour de son doigt, c'était devenue une habitude que de jouer avec ou de vérifier qu'elle était bel et bien là. Elle l'avait déjà perdue une fois, et elle avait retourné à la fois toute la maison, sa voiture et puis le salon de soin. Alors que finalement c'était Zac qui l'avait prise, car il l'avait vu trainer sur le rebord du lavabo de la salle de bain.

« Tu sais que ça me fait étrange d'avoir des nouvelles clientes ... Ferguson et qu'elles ne font plus aucune réflexion ... je ne sais pas si tu as du coup des Ferguson comme sportif mais ... c'est un plus pour notre mariage ... car mon salaire a explosé ce mois-ci ... »

Un sourire à ses lèvres, le fait de voir que son compte en banque se remplissait un peu plus, ça lui retirait un peu des soucis car elle se demandait toujours s'ils auraient vraiment tout ce qu'ils affectionnent pour leur mariage. Ils ne roulent pas sur l'or bien sûr, et bien que ça ne dérange pas la jeune femme, disons qu'un petit plus chaque mois, c'est forcément réjouissant à obtenir, et ce pacte rendait plutôt quelques services de plus, à toute la ville. Posant sa main sur celle de son homme, elle croisait ses doigts dans les siens, et ne le quittait quasiment pas des yeux.
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Zac Winston

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•• LOISIRS : Aimer est un verbe qui se conjugue à tous les temps... Mais il n'est beau qu'au présent... Car au futur il fait rêver, Et au passé il fait pleurer...
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMer 9 Fév - 0:55

To have a part of you, makes me happy



feat Serena Swank




Les choses avaient grandement changé dans mon quotidien depuis quelques semaines maintenant. Je ne parlais pas de ma relation avec Serena, de ce que nous vivions et allions vivre dans quelques temps. Je parlais de tout ce qui concernait Volusia. Tous ce dont pourquoi cette ville avait été connue. Les clans, la guerre, les meurtres, les affrontements, les centaines et centaines de mort. Tout avait changé. Maintenant, je ne me levais plus avec comme réflexe de regardais autour de moi, de prendre le flingue que je gardais dans ma table de chevet et d’aller faire le tour des lieux. Bien sûr, toutes mes habitudes n’allaient pas disparaître du jour au lendemain parce qu’un traité de paix avait été trouvé. Loin de là même. Je faisais toujours attention à la sécurité de mon domicile mais je dois avouer que j’étais maintenant légèrement plus tranquille.
Aujourd’hui alors je me relevais de mon lit avec encore toute ses pensées concernant la guerre et le traité de paix. J’avais l’impression que ceci n’était qu’un simple rêve. Que nous n’y étions pas. Que tout ceci était impossible pour être vrai. Ryan était mort et Chad avait trouvé avec Riley un accord et signé la paix. Tous ces changements étaient bien trop utopiques et pourtant ils étaient là. Bel et bien là. Nous pouvions circuler librement dans toute la ville désormais, aller dans le quartier Ferguson comme si nous étions amis et les laisser venir chez nous. Les côtoyer dans les restaurants, bar, boire un verre avec eux, aller faire la fête en centre ville dans les Night Club… Tout était bien trop différent et je n’avais plus l’impression de vivre à Volusia. L’ancienne Volusia était bel et bien morte maintenant et la ville se reconstruisait. Elle ouvrait ses frontières et se portait vers l’extérieur, faisant tout pour faire oublier aux autres se sanglant passé.

Comme tous les autres jours, je partis à mon travail dans la salle de sport tout en pensant à ce que tous les changements qu’avait subis la ville pouvaient avoir comme conséquence sur mon activité. Allais-je avoir plus de client ? Allais-je en avoir moins ? Je pouvais en avoir plus en pensant que certains qui habitaient le quartier riche pouvaient venir à la salle. Donc une nouvelle clientèle. Mais je pouvais aussi en avoir moins car la guerre s’étant arrêtés, certains pouvaient donc juger qu’apprendre à se battre était désormais dérisoire. Tout ceci me faisait un peu peur et j’avais peur de devoir un jour à cause de ça mettre la clé sous la porte. Mais en même temps, je me disais que les clubs de sport, de combat et de fitness marchaient vraiment bien dans les autres villes où il n’existait aucune guerre. Pourquoi cela ne marcherait pas ici aussi ? C’est dans cet état d’esprit que je continuais donc d’aller travailler, accueillant mes nouveaux clients avec ma joie habituelle.
La journée se passa donc assez bien et je rentré chez moi avec le sourire. je n’avais pratiquement plus l’appréhension de me faire attaquer à la sortie de la salle par une bande ennemi. Tout ceci était fini, je devais m’y faire. Même si cela était dur. Me garant devant chez moi, je pénétrais rapidement dans ma maison et retrouva Serena au salon. L’embrassant tendrement je lui souris en lui parlant brièvement de ma journée avant de monter dans la douche pour me préparer. Dans l’après midi, elle m’avait appelé pour me dire que le soir même nous allions au restaurant. C’était un bon moyen de changer nos habitudes et de nous faire servir sans rien faire chez soit. J’avais accepté avec un grand sourire en lui laissant le privilège de choisir ce qu’elle désirait.

Après quelques minutes je sortis de la salle de bain, tout propre et m’habilla rapidement. Je rejoignis Serena qui était toujours aussi magnifique et l’entraîna dans la voiture où elle m’indiqua le nom et l’adresse du restaurant. Elle voulait changer et c’est pourquoi elle avait décidé d’aller dans le quartier Ouest. Je souriais car cette envie de découverte ne me dérangeait pas vraiment. Après tout, nous n’étions plus en guerre et nous devions tous faire des efforts désormais pour cohabiter de la plus belle des manières. Arrivant au restaurant, nous prîmes place près d’une grande vitre donnant sur l’extérieur et nous installâmes à la place qui nous était réservé. Je souriais à sa phrase me joignis à son rire.

« Ça change, ça fait du bien ma belle. Et puis, le restaurant est magnifique je dois dire. »

Annonçais-je en regardant autour de moi légèrement avant de reposer mon attention sur Serena et de l’écouter. Comme elle j’avais quelques nouveaux clients et certains étaient des Ferguson. Cela me faisais bizarre mais en même temps, ils n’avaient pas d’arrière pensée ou autre. Ils étaient même très sympathique et cela m’aidait grandement et me faire à la nouvelle situation de la ville. Je continuais de dévorer Serena du regard alors qu’elle croisait ses doigts avec les miens. Souriant, j’en fis de même et serra doucement sa main avant de reprendre la parole.

« Tant mieux alors chérie, je suis content pour toi. Pour ma part, j’ai eu quelques nouveaux clients mais pas quelque chose qui font en sorte que mon compte en banque explose. C’est un plus certes mais vraiment pas grand-chose. En tout cas j’attends de voir dans quelques semaines. A ce qu’il parait les Ferguson qui viennent à ma salle vont faire de la pub chez eux pour ma salle donc peut être aurais-je la surprise de voir un bon groupe arriver. On verra bien. »
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Serena Swank

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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMer 9 Fév - 13:55

Que fallait-il demander de plus que le bonheur, peut-être un petit plus qui en confirmerait celui-ci. Ils l'attendaient depuis déjà quelques semaines mais la jeune femme n'avait pour le moment pas vraiment fait attention à tout ça. Ces changements, voir ces bouleversements qui survenaient à Volusia, lui avait fait un peu oublier pas mal de choses, et puis le mariage qui inondait ses idées, sans cesse. Du coup ce qu'elle attendait le plus était peut-être déjà là, mais elle ne le savait pas encore. Une part de mystère qui n'était pas de refus, car la fin de la guerre, permettait de s'ouvrir aux rêves et de s'ouvrir à une vie plus saine. Mais elle pensait souvent à ces hommes qui avaient œuvré une part de leur vie à cette guerre, que faisaient-ils maintenant de leur journée. Ne deviennent-ils par fou à ne plus avoir tout ça, car après tout ça avait beau être dangereux, et surtout nuisible à tout le monde, ce côté d'adrénaline, n'était pas remplacé. Sans doute que certains en faisaient du sport, ou se comblaient autrement, mais elle avait conscience que ça ne devait pas être simple pour tout le monde. Pour son homme elle remarquait bien, que d'un côté sans doute il était réjouit de tout ça, mais ça devait bien lui manquer malgré tout, cette guerre. Avoir quelque chose en poids et ne plus l'avoir du jour au lendemain, cela fait forcément quelque chose à l'intérieur de chacun. Serena n'était pas touché directement, au contraire elle ne s'était jamais autant sentie revivre, qu'auparavant. Elle était née comme beaucoup avec cette guerre au sein de sa famille, mais ça lui avait apporté tant de souffrances, tant de mauvais souvenirs, qu'elle ne regrettait pas cette trêve de paix. Mais elle ne se réjouissait pas totalement, elle avait toujours cette peur que ça éclate à nouveau, car il suffisait sans doute d'un rien pour que tout reparte.

Elle appréciait ne plus avoir peur, bien sûr qu'à rentrer tard le soir elle avait une mince inquiétude mais ça c'était la proie de toute femme normale, du coup ça n'était pas tant malsain que ça. Le plaisir de pouvoir gambader sans non droit au sein de toute la ville. Y découvrir en plein jour les quartiers de luxe, et les magasins de grandes marques, et puis une partie de la ville non autorisé, attire toujours les convoitises à savoir ce qui s'y cache.

Un nouveau cap qui ne changeait pas sa vie de couple, dans le sens où chacun s'inquiétait de toute façon toujours pour l'autre. Ils s'appelaient toujours si l'un d'eux avait du retard ou pour simplement savoir si tout allait bien. Les épreuves ont renforcé indéniablement leur amour, et elle a une confiance en lui qu'elle en donnerait jamais sans doute à une autre personne, cela n'était pas descriptible, mais c'était fort. Elle ne se lassait pas des moments avec lui, même si ça se résumait à passer un moment sur le canapé, pour se raconter leur journée. Trois années en commun mais cinq de plus ensemble, cela n'était tout de même pas rien, et du coup avec cette paix, elle s'ouvrait un peu plus à l'avenir. Ayant des envies de partir un peu, ayant des envies de projets à deux, tout ça n'était pas qu'illusion mais ça pouvait maintenant être réalité. Ce changement elle le percevait pas que chez eux, mais sur toute la ville entière, car les clientes étaient maintenant moins à cheval, pour critiquer le clan opposé. Bien qu'elle n'avait jamais caché son appartenance aux Attwood, ça la soulageait grandement. D'ailleurs la première chose qu'elle avait fait en dehors, de fêter ça avec son homme, quand l'annonce de paix avait été faite, elle était partie au cimetière. Elle était allée voir son père, pour lui en dire deux mots et peut-être tourner la page avec lui et sa guerre, celle qui l'avait rendu fou et qui lui avait surtout prit la vie, comme à d'autres.

« Tu sais qu'on a toujours pas posé de date pour ... notre mariage. La dernière fois on m'a demandé quand est ce que ça se passait et j'ai réalisé qu'en fin de compte ... on prévoyait pas mal de choses sur ça mais ... on a un peu oublié la date ... est ce qu'il y en a une que tu préfères amour, une où il n'y aurait plus que toi qui t'appellerais Winston ... »

Elle en parlait très peu, de temps en temps quand elle avait une idée en tête, mais elle ne parlait pas beaucoup de ce mariage, de peur que Zac se lasse et qu'il y renonce. On referait pas Serena et ses doutes légendaires pour tout un tas de choses, de toute façon. Elle avait tellement eu peur jusqu'à maintenant que ça se produise pas, à cause de la guerre, que du coup par superstition elle en parlait que quand elle n'avait pas le choix. Écoutant son homme elle espérait qu'il ait du monde, des nouveaux client pour raffermir son club, car elle savait bien que c'était pas facile financièrement en ce moment, il en parlait pas souvent mais elle savait lire en lui. Elle ne voulait pas d'échec dans sa vie, car elle savait bien qu'il avait tout donné à cet endroit, et que c'était une grande partie de lui.

« Je vais tâcher de t'amener du monde ... te faire de la publicité mon amour, j'en faisais parfois quand l'occasion s'y prêtait mais sache que ... ça va aller d'accord ? ... S'il faut que je me mette en bikini devant ta rue, pour attirer du monde, je le ferais ... »

Elle en riait mais elle était peut-être sérieuse, elle aimait tellement cet homme qu'elle était prête à beaucoup pour le rendre heureux, et pour le satisfaire pleinement dans sa vie, dans cette vie qu'elle partageait à ses côtés. Passant commande, son ventre gargouillait déjà et du coup elle venait déjà de plonger sa main de libre dans un des biscuits de la chance. L'ouvrant en deux, elle pu en lire ce qui était écrit à l'intérieur :

« La destinée vous réserve quelque chose sous peu ... pour une fois que je tombe sur une phrase voulant dire quelque chose ... »
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptySam 12 Fév - 3:42

La guerre finie… j’avais encore du mal à y croire. Même si le temps continuait, que la vie ne s’arrêtait pas pour autant, passer ce cap était quelque chose d’assez difficile et douloureux. Mais je ne montrais rien. Je faisais avec devant les autres sans leur montrer ce que cela me faisait vraiment. Après toutes ses années de luttes. Après tous ses morts, tous ses attentats, toutes les vies d’innocents qui avaient pu être enlevés… après tout ça, voila que la guerre prenait subitement fin. Voila que tout changeait, que la ville évoluait et s’ouvrait aux autres, permettant à sa population d’aller et venir d’une part et d’autre de la ville sans que cela ne soit dangereux, sans que rien ne se passe. Comme si tout ceci n’avait jamais existé. Tout ceci était bizarre… je ne devais pas être le seul à le voir s’était impossible. Comment pouvions nous passer d’un état de guerre, de haine farouche entre deux clans à une paix et une vie en commun des plus calmes et paisibles ? Je trouvais cela impossible et irréel. Cela ne pouvait pas se finir comme ça. Cela ne pouvait pas se changer du jour au lendemain. On ne pouvait pas faire comme si rien ne s’était passé. Pour ma part je ne le pouvais pas… Cela reviendrait à dire qu’il nous fallait oublier les morts et tous ceux qu’on aimait qui ont perdu la vie à cause d’eux. Cela m’était impossible. Les être perdus vives à travers nos souvenirs, je ne peux me permettre de les oublier. Les oublier serait tracer un trait sur leur vie, sur ce qu’ils étaient, ce qu’ils faisaient et pourquoi ils ne sont plus. Impossible, inconcevable selon moi. Mais je ne pouvais aller à l’encontre des ordres et du traité de paix. Je me devais de vivre avec cela et de ne rien faire même si un jour je pouvais retrouver celui qui avait pressé la détente cette après midi de plage il y a plus de huit ans maintenant… Enfin… je ne sais pas comment je pourrais réagir si un jour je tombais dessus…

Arrivant au restaurant, je laissais Serena s’installer en face de moi avant de m’asseoir une seconde après et de poser mon regard sur la décoration intérieur des lieux. Le restaurant était situé quartier ouest de la ville. Quartier dans lequel j’allais avant pour mener à bien des opérations de sabotage ou des combats contre mes ennemis. Je souriais légèrement en repensant à cela. En voyant que la guerre ne m’avait pas quitté et que même si je vivais avec cette paix, même si j’arrivais à tisser de nouveaux liens avec les habitants de ce quartier, je n’arriverais jamais à oublier le passé. Rapidement, mon regard se posa dans les prunelles magnifiques de la jolie brune qui m’accompagnait, celle qui était dorénavant ma fiancée et ma future femme. Je lui souriais tout en pensant au fait qu’elle avait eu une merveilleuse idée que de choisir ce restaurant. D’une part parce qu’il se situé dans ce quartier et qu’il nous permettrait ensuite de le visiter au clair de lune, d’autre part, parce qu’il s’agissait d’un chinois et que cela changeait grandement nos habitudes.
Nous échangeâmes alors tranquillement les petits changements que nous trouvions au boulot, parlant du fait que les habitants ne parlaient plus de cette guerre, qu’ils changeaient et que des clients de tout horizon arrivaient au centre de soin de Serena. Cela me faisait sourire de savoir qu’elle avait de nouvelles personnes mais aussi que les femmes qui venaient la voir ne lui barbouillaient pas la tête avec les histoires de clans de guerre et tout ceci. Serena n’avait jamais été adepte de cette guerre alors venir lui en parler ne l’aidait pas à l’oublier. Mais heureusement, maintenant tout était fini et elle pouvait s’épanouir pleinement dans son travail, ce qui me rendait heureux. Je lui fis part aussi des petits changements survenus lors de cette fin de guerre mais ceci n’était, bien au contraire. Avec la fin des menaces et tout ceci, beaucoup de gens pensaient qu’un apprentissage des sports de combats n’était plus nécessaire et bénéfique pour eux. Je ne pouvais pas leur dire le contraire même si je le pensais. Les clients sont rois après tout. Mais cela perturbait un peu mon emploi du temps, mon planning mais aussi mon petit « business » si je pouvais dire ça. Car contrairement à avant, je rentrais un peu moins d’argent. Heureusement que nous n’étions pas très dépensier et que j’avais pu mettre de coté un peu d’argent. Sinon, je ne sais pas comment j’aurais pu faire.

Et puis, il y avait le mariage qui se profiler, le voyage de noce et tout ceci, et cela n’était pas donné. Je voulais quelque chose de beau pour Serena, pour qu’elle s’épanouisse pleinement. C’est pourquoi je mettais de coté et commençais maintenant à tout mettre en œuvre pour avoir un peu plus d’argent et faire que mon entreprise s’envole au lieu de s’écrouler. J’attendais donc pour cela la venue de quelques clients Ferguson qui pourraient maintenant parler de moi et m’amener une nouvelle clientèle en plus des nouvelles personnes qui venaient d’ailleurs pour s’installer en ville. Depuis la fin de la guerre, le Maire avait fait en sorte de développer la ville de façon à la rendre plus touristique et attractive pour une nouvelle population, accentuant sur le climat de la ville tout a fait incomparable je devais le reconnaître mais aussi sur notre domaine universitaire qui présentait pas mal d’option et de cursus. Je comptais donc sur cette nouvelle clientèle pour m’aider à faire exploser mon entreprise dans le coté positif du terme.
La vois de Serena vint à mes oreilles alors qu’elle me parlait du mariage. Il est vrai que nous n’avions encore pas parlé de date concernant celui-ci, même si tout le reste avait été source de discussion. Je lui souris et me mis à réfléchir à une date qui pouvait être la meilleure…

« Hum… je ne vois pas vraiment de date que je préfère… C’est vrai qu’on à déjà parlé de pas mal de chose mais la date nous ait passé sous le nez… Je n’ai pas vraiment de date ma puce et toi ? »

Lui répondis-je en lui retournant la question. Il est vrai que nous avions déjà parlé de tout, pas en détail certes et rien n’était encore bien fixé, mais une date aurait pu être pas mal pour commencer. Nous avions parlé des invités, des potentiels témoins et dames d’honneur, de l’endroit du menu etc… nous en avions rit et nous prenions du bon temps à chercher quoi mettre, quoi ajouter ou enlever. Mais rien n’était encore établi et nous avions le temps pour cela. Voila peut être pourquoi nous n’avions pas choisit de date car s’imposer une datte nous mènerait rapidement à faire des choix concret sans avoir le temps de bien voir ce qu’on veut.

« Je sais mon cœur, tout va s’arranger t’en fais pas. Je compte sur les nouveaux habitants de la ville et la clientèle de ce quartier ci pour pouvoir remonter un peu mes pertes. Ne t’en fais pas… »

Dis-je en souriant avant de porter sa main à mes lèvres pour y déposer un tendre baiser. L’un des serveurs arriva à notre table et nous passâmes rapidement commande. J’avais faim et de sentir toute cette nourriture dans le restaurant me donnait encore plus faim. Surtout en voyant les assiettes garnies des autres. Je souriais et me retenais de rire en entendant l’estomac de Serena crier famine et je la vis alors prendre un gâteau de la chance pour calmer ce dernier et lui donner de quoi attendre leurs assiettes.
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Serena Swank

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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyDim 13 Fév - 20:09


Un moment entre amoureux, ça n'en avait rien de gaga ou de trop rose, car ils n'étaient pas du genre mielleux et puis ils se fichaient bien si les gens les pensaient peut-être, un peu trop lié ou un peu trop attaché l'un à l'autre. Cela ne cours pas les rues, elle en était consciente car à en entendre ses clientes se plaindre, de leur mari ou de leur concubin, il faudrait en être surprit de voir, que Serena ne vit pas le tiers de ce que ses femmes disent vivre. D'ailleurs elle se demande un peu, comment elles faisaient pour rester avec une personne, avec laquelle elles ne se sentent pas si bien. Elle n'avait pas du tout à se plaindre, au contraire elle pourrait en faire baver pas mal d'entre elles, mais elle a toujours eu la pudeur de ne pas le dire à tout le monde. Elle n'aime pas du tout parler de sa vie, de peur d'en rendre triste des personnes qui aspirent peut-être à ça, et qui n'ont pas justement cette chance. Parfois elle se pinçait en se demandant si elle ne rêvait pas, car elle en avait eu des cas dans sa vie, et ils n'étaient pas de grands exemples, d'ailleurs moins elle parlait d'eux et mieux elle se portait. Au départ elle doutait un peu de l'amour qu'ils avaient ensembles, peur qu'une femme vienne lui prendre, l'homme parfait qu'elle venait d'acquérir dans son coeur. Mais Zac a toujours su trouver les mots justes, les gestes précis, pour lui ôter ça de la tête, et puis maintenant au bout de huit ans elle ne doutait plus de lui, juste des autres mais Serena a toujours été très méfiante de tout le monde.

« J'avais pensé au mois de juin ... peut-être le 11 ou le 18 ... il fait beau souvent à cette date et puis ... ça permet d'avoir du temps pour économiser, tout préparer et ... ne pas trop attendre non plus ... j'ai tellement peur que toute cette guerre reprenne, bêtement ... même si je sais qu'elle te manque ... tout ça prenait tellement de temps dans ta vie que, ça doit pas être facile pour toi chéri ... tu n'en parles pas mais je le lis dans ton regard, dans ton comportement ... »

Serena savait ce qu'elle voulait, ça avait toujours été le cas mais jamais elle n'avait songé au mariage d sa vie. Du coup maintenant que ça se présentait à elle, elle en devenait un peu perdue par moment, car elle n'y connaissait tellement rien. Quand elle regardait des films, elle se disait souvent que jamais ça serait pour elle, mais voilà que la demande surprise de son homme, avait tout fait basculé en une nuit romantique. Cette bague qu'elle portait, elle la touchait constamment, pour vérifier qu'elle était réelle, qu'elle la portait bel et bien, et elle savait que celle-ci avait tant de valeurs. Pas que de prix, mais surtout sentimentale, car si Zac en était venu à lui offrir cela, c'était pour tout l'amour qu'il avait pour elle, et l'amour vrai, on peut pas en douter une seule seconde. Concernant son homme, elle le savait un peu préoccupé, elle n'en disait rien du tout et la soirée au restaurant était justement l'occasion pour qu'ils parlent, pour qu'ils prennent le temps de discuter, de vider leur esprit et de repartir ensuite de bon pied. Leur dernière sortie, datait de quelques semaines, ensuite ils profitaient des heures ensembles pour justement renier le boulot et tous les soucis, préférant se faire du bien enlacer l'un avec l'autre, au sein de leur cocon.

« Si ça pouvait nous laisser neuf mois ... voir un peu plus ... tu sais avec tout ça, je n'ai encore rien vérifier ... peut-être qu'on est deux, ou peut-être déjà ... trois ..., je voulais t'en parler mais j'ai un peu oublié tout ça ... et j'ai pas eu le courage de faire ce qu'il faut ... pour savoir »

Serena rebondissait sur un autre sujet, qui lui tenait également à coeur, et qu'elle avait plutôt mit de côté jusqu'à la veille d'aujourd'hui. C'était en rangeant dans leur chambre, qu'elle était retombé sur une vieille boite à pilules, se souvenant qu'elle l'avait arrêté déjà depuis quelques semaines, voir un peu plus puisque ça datait du soir de la demande de Zac et du coup bien avant son agression. Et elle se souvenait même plus, si elle avait eu ses périodes ou pas, et impossible de réellement s'en souvenir, mais elle s'en fichait un peu, car si c'était pas pour maintenant, alors ça serait pour plus tard. Mais elle tenait à savoir si Zac se souvenait de tout ça, du fait qu'elle pouvait lui donner un enfant à tout moment, depuis quelques temps. Surtout qu'ils ne freinaient pas du tout, sur leurs petits moments ensembles, au contraire leur amour est tout aussi fort que leurs ébats. Ce n'est pas comme ces couples qui perdent l'appétit à mesure du temps ensemble, eux c'était plutôt l'inverse et ça n'était pas Serena qui regrettait ces instants là. Un bon petit-ami, un bon futur mari mais également un très bon amant, et puis ça la rassurait de savoir si le jeune homme n'avait pas changé d'avis, s'il était toujours prêt à ça, vu la situation changeante dans la ville.

« Tu te souviens de notre premier restaurant ... quand nous étions encore que des amis ... tu avais râlé parce que j'avais mangé plus dans ton assiette que dans la mienne ... tu sais je crois que les souvenirs que j'ai en tête ... ne t'appartienne qu'à toi et parfois j'y repense et ça me fait sourire ... on a traversé pas mal de choses ensembles ... et puis je t'aime »

Venir ici lui rappelait leur premier restaurant, alors que les sentiments n'étaient pas les mêmes, du moins elle n'en savait rien et peut-être qu'inconsciemment il y avait déjà quelque chose, comme une petite flamme qui ne demandait qu'à évoluer. Lui touchant sa main dont il ne se servait pas, elle avait toujours ce besoin de contact mais ça n'était pas du "pot de colle" car c'était qu'à partir du moment où ils étaient bien installés quelque part. Goûtant à son plant, autant dire qu'elle bénissait le cuisinier car c'était si bon, et puis elle avait eu si faim. Et puis en référence à ce qu'elle avait dit plus tôt et puis pour l'embêter un peu, elle se tournait vers l'assiette de son homme, d'un regard triste et séduisant à la fois, elle finie par lui dire :

« J'ai le droit de piquer l'un de tes croustillants ? »

Éclatant de rire, elle passait un bon moment, une bonne soirée pour le moment. Pas de peur quelconque, pourtant vu le quartier où ils étaient, ça pouvait paraitre surprenant mais l'aventure n'a jamais fait peur à Serena. D'ailleurs elle meurt tant d'envie de partir un week-end avec lui ...
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMer 16 Fév - 5:37

Passer un petit moment amoureux n’était pas pour me déplaire bien au contraire. Certes, nous avions toujours nos moments à nous cependant, avec la fin de la guerre et tout ce qui s’en suivit, les directives à mettre en place pour que plus rien ne reprenne, les ordres données aux membres du clan mais aussi, les premières visites du quartiers par les visiteurs et faire en sorte qu’il n’y ait plus traces des années d’affrontements. Pas facile du tout… tout ceci me pris donc un temps fou et de ce fait, m’empêchèrent de passer des moments simple et seul en tête à tête avec ma future femme. C’est pourquoi, ce genre de moment était assez sympa et nous permettait de souffler un peu tout en prenant du temps l’un pour l’autre. Le restaurant chinois dans le quartier riche de la ville était donc une bonne idée de la part de la jeune femme et je souriais depuis le début de notre soirée car cela me faisait vraiment du bien de me poser et de me détendre tranquillement en nous faisant tout deux servir. L’endroit était beau et accueillant et l’ambiance était à la détente et à l’intimité. Les tables n’étaient pas empilées les une sur les autres et nous avions assez d’espace autour de nous pour respirer mais aussi et surtout pouvoir parler sans être à l’écoute de nos voisins de diner.
Notre discussion sur les changements de la ville et l’arrêt de la guerre nous mena directement sur notre mariage qui était en cours de préparation. Tout doucement, nous ne nous pressions pas. Cependant il nous fallait choisir une date. Ce qui était logique mais je ne voulais pas presser la chose. en entendant Serena se dire qu’il ne fallait pas faire trop tarder, je souriais car ses intentions étaient bonnes et qu’elle avait en partie raison concernant ses peurs sur la guerre. Tout était encore frais dans la ville. Cette sois disant paix. Mais tout était aussi très fragile.

« C’est vrai que généralement il fait beau en cette période mais… on est à Volusia chérie. En Floride. Il fait beau pratiquement tout le temps. Et puis… je pense qu’on a le temps pour ça. Maintenant qu’on s’est ce qu’on veut, ça ne sert à rien de ce précipité. La guerre… mouais… Ce serait mentir que de dire qu’elle ne me manque pas. J’y étais tellement habitué que voila… »

Elle avait raison. Elle pouvait le voir dans mon regard ou mes gestes et je ne pouvais lui cacher que cette paix, malgré qu’elle me plaise, avait quand même eu un effet assez dévastateur sur moi. Elle était arrivée trop vite, tombée de nulle part. Sans que l’on soit prévenue. C’était trop pour moi mais je me pliais à ceci. Cependant, n’ayant rien vu venir je ne pouvais pas faire comme si tout ceci était normal. Je n’avais rien prévu, rien préparé pour un tel changement. Je devais simplement faire avec et continuer ma vie comme elle l’était. Faire comme si tout ça n’était jamais arrivé. Je soupirais doucement à cette pensée en espérant que j’arriverai à y faire face et à le surmonter.

« Je ne sais pas encore ce que je vais faire maintenant que la guerre n’est plus mais bon… je ne vais pas baisser les bras pour autant. J’ai grandi avec et vécu avec toute ma vie comme la plupart des gens de cette ville. C’est dur de faire comme si rien de tout ça n’avait existé et de tout lâcher du jour au lendemain. Bien sûr je ne vais pas aller attaquer ouvertement un ancien Ferguson, je ne l’ai jamais fait comme ça en plus mais bon. Tout ce qui tournait autour de la guerre s’est arrêté. Les patrouilles de sécurité, les réunions etc… ça va être dur de faire comme si Volusia était une ville normale… »

Avouais-je alors à Serena. Tout ceci était ce que je pensais. Elle devait sans douter selon mon comportement des derniers jours. Pas que j’avais changé quoi que se soit envers elle, bien au contraire. Mais ce changement si brutal m’avait profondément marqué.
Je laissais ces souvenirs de coté lorsqu’elle me parla alors de notre premier restaurant. Je m’en souvenais comme si c’était hier et pourtant cela remontait à quelques années maintenant. Je souriais à cette pensée tout en l’écoutant, me rappelant ce bon moment qui fut suivit par d’autres encore et encore.

« Je m’en souviens oui. Tu avais mangée les trois quart de mon assiette, me laissant juste de quoi gouter ce que j’avais commandé. J’ai du finir ton plat après en plus. Moi aussi… Je t’aime. »

Répondis-je avec le sourire aux lèvres tout en resserrant mes doigts autour de ceux de Serena, gardant sa main dans la mienne que je caressais d’un léger mouvement du pouce, très lentement. Elle me demanda par la suite si elle le droit de piquer un de mes croustillant. Je la regardais, en souriant, les yeux légèrement écarquillés avant de rire avec elle. La voir demander si elle pouvait piquer dans mon assiette n’était pas son habitude. A la normal elle arrivait et sans aucune gêne, tapait dans l’assiette. Sans rien dire, je poussais un peu le plat vers elle tout en lui indiquant d’un signe de tête qu’elle pouvait, si elle le désirait, en prendre.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMer 16 Fév - 22:34


La jeune femme avait le sourire, de toute façon elle ne jouait pas, soit elle le portait sincèrement ou alors il n'y avait pas de joie fausse sur son visage. Tout roulait dans sa vie, depuis son agression elle profitait bien plus des heures écoulées, qu'avant, et ne remettait jamais rien au lendemain, surtout pas de dire qu'elle aimait son homme. Il y avait foule dans son institut, à croire que les gens profitaient vite de ce bouleversement de vie, pour avoir du plaisir et combler leurs désirs, au maximum, au cas où. Cela ne la mécontentait pas, mais elle trouvait que c'était beaucoup trop exagéré, beaucoup trop soudain. Ce changement n'était pas très sain, et elle ne cesserait de le dire sans doute, car comment anéantir une habitude du jour au lendemain. C'est comme demander à un fumeur d'arrêter de fumer, ou à un drogué de ne plus se piquer. Y'a toujours des conséquences ou des répercussions à cela, moralement et puis physiquement. C'était ce qu'elle craignait pour son homme, elle le sentait pas à son aise comme avant, y'avait sans doute quelque chose qui le tracassait, et elle en était consciente. Elle savait parfaitement que pour les plus investis ça serait pas facile, qu'il faudrait du temps et que certains feraient peut-être tout pour que ça revienne. C'était cette raison qui la poussait, à vouloir que soit tout soit vraiment terminé, ou que ça revienne mais pas ce doute permanent qui pourrait devenir pesant, avec le temps. Partir d'ici, n'était pas envisageable car ils ont leur vie ici et qu'il faudrait tout reconstruire ailleurs, la salle de Zac et puis sa situation de masseuse, à refaire quelque part dans un institut. Faire avec cette nouvelle vie, tout recommencer ici, en quelque sorte, car finalement c'était une autre manière de vivre, depuis la trêve. Il n'y avait plus ces restrictions de sécurité, ou ces petits conseils que le clan donnait à ses membres, dès qu'une situation dangereuse ou nouvelle se présentait, comme une menace. Elle en parlait avec son homme qu'à partir du moment où ils n'étaient pas chez eux, mais une fois dans leur maison ils ne parlaient plus de la guerre, et c'était une manière de vivre qui leur avait toujours convenu. Maintenant il n'y avait plus à en tenir rigueur mais tout de même, Serena ne s'y faisait pas et pour cause vu qu'elle est née dans tout ça, comme un bon nombre des habitants de Volusia.

Soupirant légèrement elle était détendue, calme et en confiance avec lui, dans ce restaurant bondé vu l'heure, mais sans aucune altercation, alors que des Ferguson étaient autour et que d'autres Attwood également. Une phrase interpela Serena bien plus qu'elle ne l'avait pourtant écouté. Elle qui le pensait tant pressé de l'avoir comme femme, lui soulignait presque par agacement, qu'ils avaient le temps pour la date, en somme pour se marier tout court. Cela la dérangeait, et comme toujours, quand un truc n'était pas comprit par elle-même, la jeune femme en demandait des explications, le sourire toujours sur sa bouche :

« Et tu penses qu'on a le temps ? Okay alors ... tu sais si tu as plus envie de ce mariage, autant le dire de suite ... est ce que tu doutes de ton choix Zac ? De notre relation, ou bien même aspires-tu à y renoncer ? ... Je me trouve assez patiente, car je serais capable de partir à Las Vegas pour se marier sur le champs, si je m'écoutais ... car comme tu le dis, ici il fait toujours beau, alors pourquoi ne pas se marier demain, ou la semaine prochaine ? ... t'entendre dire qu'on a le temps, alors que ça concerne notre mariage ... ta demande en mariage Winston, on peut nous retirer ce temps, à tout moment, guerre ou pas ... tu préfères que je meurs en m'appelant Swank plutôt que Winston ? »

Elle restait un peu perplexe de tout ça, et elle attendait de voir sa réponse sur ce point là. Elle était toujours détendue, mais un doute pesait alors sur son coeur. Prenant sa fourchette d'une main, elle en jouait avec la nourriture de son assiette, écoutant le jeune homme, parler sur la fin de cette guerre, sur son ressentiment face à cette fin. Elle le comprenait, car même si elle n'avait pas prit part à la guerre directement, elle avait oeuvré elle aussi en secret pour le clan. Souvent elle soignait les personnes qui revenaient d'un combat et qui ne voulaient surtout pas d'un hôpital, car le maire à l'époque gérait pas mal, les blessures pour savoir si ça venait encore d'un affrontement ou pas. Elle les aidait à remettre un membre en place ou aidait à une fracture quelque part et puis accessoirement soignait les plaies. Cela n'était pas un secret pour Zac, parce qu'ils s'étaient déjà croisé auparavant, leur lien d'amitié. Mais en dehors elle n'avait pas prit par à des attaques ou à des assauts, son père pourtant l'avait incité à le faire, l'avoir violenter pour qu'elle s'y rende, mais rien à faire. Comme souvent on dit, on ne devient pas riche du jour au lendemain, même en gagnant au loto, il y a toujours au départ des réflexes de pauvre, qui ne s'en vont pas. Peut-être portait-il encore son arme avec lui, ou tout autre moyen de défense, elle n'en savait rien et elle ne lui en avait pas touché deux mots. D'ailleurs il semblait tellement préoccupé par la guerre, par la fin de celle-ci, par cet attrait d'être maintenant moins utile qu'avant, qu'il en avait pas fait attention, à sa révélation.

« Tu as conscience que je viens de te dire, que j'étais peut-être enceinte Winston ... »

Elle se retenait d'en rire parce que la situation était tellement, inattendue pour elle, du moins qu'il ait pas tellement prit conscience de ses paroles, autre que celles qui parlaient de ce qu'il ressentait après cette trêve. Certes elle avait annoncé ça, sans prendre de gants et en plus elle n'était sûre de rien mais disons que ses paroles étaient passées comme inaperçu. Elle aurait dit que son plat était trop salé, que ça aurait été pareil. Volusia une ville normale, cette phrase venait de sortir de la bouche de son homme et pourtant elle ne l'oubliait pas, et la repensait encore dans sa tête. De toute façon, ici rien ne serait normale, c'était pas possible de faire d'une pomme, une poire alors faire une ville de guerre, un havre de paix. Repoussant son assiette, elle avait plus tellement faim pour le moment, de toute façon elle se réservait souvent pour le dessert, et elle avait toujours une place pour ça, contrairement au reste.

« J'aimerais un week-end ... je te parle pas forcément d'une occasion pour la saint valentin mais ... un petit moment de souffle autre que notre maison ... peu importe où, et peu importe si ça nous coute peu ... l'important serait pas de dormir dans un 5 étoiles sur une ile déserte ... mais juste une vraie pause ... avec toi et moi ... quelque part »

Son envie, son espoir d'évasion, revenait et disons que c'était peut-être le bon moment, celui qui permettait de passer les frontières sans soucis, celui qui permettait de digérer cette nouvelle annonce de trêve, celui qui permettait de se retrouver qu'à deux physiquement et moralement aussi. Du moins c'était une proposition, elle ne l'obligeait en rien du tout, et puis elle ne lui en voudrait pas s'il refusait, car souvent elle laissait passer pas mal de choses, par amour pour lui. C'était comme quand il partait à l'improviste à une réunion ou bien pour le clan, et qu'il la laissait en plan en plein repas, ou en pleine action pour autre chose. Elle laissait passer, car elle l'aime. Buvant son verre, elle l'observait, et elle en voyait de lui toujours le même, cet homme sexy qui a toujours eu un bon sens de vie, celui qui donne pour les autres avant tout, qui ne lâche jamais rien.

« On ira marcher un peu, après le repas ? » dit-elle en regardant l'extérieur. Pleine lune certes mais avec pas mal d'étoiles dans le ciel, et puis il ne faisait pas très froid ce soir.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyDim 20 Fév - 17:29

Assis dans ce coin du restaurant, près d’une grande baie vitrée où on pouvait avoir une magnifique vue sur l’extérieur et ainsi remarquer avec joie la clarté du ciel, la brillance de la lune et des étoiles qui scintillaient de milles feux dans cette nuit bleuté dont était ben le ciel de Floride. Nous attentions tranquillement qu’on nous serve de quoi nous remplir l’estomac. Le miens commençait déjà à faire des siennes et à lâcher quelques petits cris d’envie, si bien que j’essayais des les dissimuler mais en vain. Fort heureusement, ses derniers n’étaient pas trop fort encore et je pouvais aisément les dissimuler des oreilles des clients aux alentours.
Serena me répondit alors et je plissais doucement les yeux. Bien que souriante et avec un air des plus détendue, sa réponse avait ce petit quelque chose de bizarre. Tel un reproche ou autre. Je la regardais alors dans les yeux, les coudes posaient sur la table et les mains serrées devant ma bouche, l’écoutant sans rien dire pour commencer, la laissant finir. Ses mots coulèrent et eurent du mal à se faire digérer. Comment pouvait-elle penser ce genre de chose ? Si je l’avais demandé en mariage ce n’était pas pour rien. Ne comprenait elle donc pas qu’avec tout ce que j’étais entrain de traverser, je commençais à avoir mal, à sentir une sorte de dépression me traverser ? Que bien que j’avais envie du mariage, je n’arrivais pas à m’y plonger correctement à cause de tout ceci ? Je fermais alors les yeux, l’espace de quelques secondes qui me parurent interminable avant de les rouvrir et de les ancrer dans les prunelles de Serena.

« Je… comment tu peux penser une chose pareil ? Si je t’ai fait ma demande ce n’est pas pour rien. Ce n’est pas une demande dans le vent à laquelle je n’ai pas réfléchis. Loin de là même. Et tu le sais fort bien. Ne vois tu pas qu’en ce moment, beaucoup de chose vont mal et que j’ai du mal à me plonger correctement dans tout ça ? Ai-je l’air d’être en pleine forme ? Non… quelque chose ne va pas, je n’arrive pas à me faire à tout ça pour l’instant et ça me perturbe. Mais cela n’a rien à voir avec l’envie de tout abandonner… »

La mâchoire légèrement serrée, j’avais détourné mon regard du sien pour le poser sur le paysage extérieur et souffler quelques secondes. Je ne m’étais pas du tout attendu à cela. Vraiment pas. Si j’avais su que cette soirée au restaurant signifiais ce genre de chose, peut être aurais-je simulé une grosse fatigue et serais allé me coucher. Je n’étais pas très bien, ce n’étais vraiment pas ma faute si j’avais l’air détacher de ce qui nous attendait. Je pris une bouchée du plat qui nous était arrivé et commençais donc à manger, remplissant mon estomac pour l’empêcher de crier de nouveau. C’était vraiment délicieux, Serena avait bien fait de choisir ce restaurant. Cela aller certainement nous couter les yeux de la tête mais bon. Je continuais de manger alors que j’entendis la jolie brune me révéler qu’elle était peut être enceinte. Du moins, me demander si j’avais conscience qu’elle venait de m’annoncer qu’elle l’était peut être. Je relevais mes yeux vers elle, avalant difficilement le morceau que j’avais entre les dents alors qu’elle se mettait à rire. De toute évidence, elle ne l’était pas encore, du moins elle n’en savait pas plus que moi. je pris alors une gorgée de mon verre d’eau pour me rincer la bouche et pouvoir lui répondre de la meilleur façon.

« Désolé, j’étais trop pris par mes tourments. Je n’ai pas fait attention… Mais… tu l’es ? Déjà ? »

Lui demandais-je assez surpris qu’elle m’annonce la chose comme ça, aussi détachée que pas possible. Je savais que la réponse allait être non, ou alors qu’elle ne le savait pas encore, mais le doute s’installa et je commençais déjà à me dire que nous étions donc vraiment pressés par le temps. Alors que j’attendis sa réponse sur le sujet, je la vis pousser son assiette qui contenait encore un peu de nourriture et la pris de façon à la finir. Come d’habitude, je mangeais pour 5 et cela ne me dérangeais pas de finir ses plats. Au moins, je pouvais gouter ce qu’elle commandait. Elle me parla alors de ses rêves d’évasion qui n’avaient pas disparus et qui, au contraire, étaient revenu avec plus de force depuis le traité de paix. J’en avais réfléchis aussi pour ma part et il est vrai que j’en avais aussi envie. Envie de lui faire plaisir de la sorte et de nous prendre un petit week end pour souffler quelque peu, ailleurs qu’ici. je souriais donc enfin en relevant la tête et lui répondis :

« J’y ai aussi réfléchis pour tout te dire. Cela nous permettrait de nous faire une réelle pause et de souffler quelque peu. Prendre du recule et décompressé de tout ceci. Tu as déjà une idée de lieu en tête ou non ? »

Je finissais son assiette et appela le garçon pour commander les desserts que Serena attendait avec impatience. Une grande gourmande, surtout niveau dessert. Je bougeais légèrement la tête pour acquiescer à sa demande et lui souris.

« C’est bien ce dont j’avais l’intention, marcher un petit peu au clair de lune avec cette petite fraîcheur, cela ne pourra nous faire que du bien… »
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyDim 20 Fév - 19:15


Baissant les yeux sur mon assiette, je me rendais compte que rien n'avait été prit, pour ce que je voulais, et que sans aucun doute je m'étais mal exprimé, ou peut-être bien trop. Pourtant ça n'avait rien de personnel, enfin je lui reprochais pas ce que je venais de dire, je soulignais juste le fait qu'il voulait prendre un peu trop son temps. Je tenais tant à porter son nom, à vraiment faire partit de lui, j'avais si peur de le perdre avant même cela. Sans doute que je regardais trop des téléfilms à la télévision, et que ça me tournait la tête, à me dire qu'il fallait pas trop attendre, au cas où le malheur nous frapperait. Et puis y'en avait tellement du monde autour, qui perdait un proche et qui regrettait d'avoir trop repoussé au lendemain, des paroles ou des actes. Je voulais pas en faire partit, mais ce n'était pas non plus une raison, pour lui donner l'impression d'être agressive avec lui.

« Je suis désolé ... je voulais pas que ... oublie ce que je viens de te dire, j'ai sans doute été un peu trop direct ... et j'ai pas trop réfléchit au fait que ça pourrait te toucher, ou te blesser ... juste que je vois bien que tout ça te tourmente, ça me touche énormément parce que je t'aime ... et je tentais de te faire penser à autre chose en parlant mariage ... j'ai raté un peu mon coup, je m'y suis mal prit, aucun doute ... »

Mince voilà que j'avais mit bien trop maladroitement les pieds dans le plat. C'était pas très malin, de devoir être la cause de l'élément perturbateur de notre petite soirée. J'espérais que ça s'atténuerait sur le champ, car je voulais vraiment calmer le jeu. Je voyais, je ressentais que là il avait vraiment pas très bien prit, ce que je venais de lui dire. Moi-même je me reconnaissais pas trop, du moins j'aurais dû être plus douce, sur ce sujet là. Lui attrapant sa main, je le sentais tellement tendu que ça me frustrait de ne pas pouvoir le détendre, alors que ça faisait quand même partit de ma spécialité. Je tenais quand même à lui faire savoir, que j'étais là, même s'il le savait quand même, mais comment lui faire comprendre que je serais toujours la personne qui le retiendrait, s'il sombrait. J'avais peur qu'il tombe dans une certaine dépression, qu'il en vienne à boire sans compter les verres, et à devenir quelqu'un d'autre que celui que je connais, que celui que j'aime depuis si longtemps.

« Je suis consciente que je pourrais pas comprendre, pas te comprendre ... mais je suis là, même si sans doute c'est plus facile pour toi que d'en parler, avec les autres ... alors je me contenterais d'être présente pour te changer les idées ... te faire passer des bons moments, ça vaudra, ce que ça vaudra car je suis pas très doué ... moi et mes gaffes mémorables ... »

Je voulais pas que cette guerre ait raison de lui, comme celle-ci avait eu raison de mon père, en le rendant si différent de ce qu'il aurait pu être comme homme, si cette guerre n'avait pas eu lieu. J'espère pouvoir l'aider à lutter contre ça, mais je savais que j'étais pas la mieux placé pour ça, car je n'avais jamais prit part vraiment à la guerre. Que je pouvais pas comprendre, ou ressentir comme lui, tant investit, tant de temps passé, pour cette guerre. Ouvrant de grands yeux, je savais pas si ça se faisait si bien que ça, mais bon peut-être encore une gaffe de ma part, mais je voulais vraiment savoir s'il se rappelait que la possibilité à ce que je tombe enceinte, était au maximum depuis quelques semaines déjà. Je soulignais le fait que je m'en occupais pas, mais j'avais conscience que nos ébats n'avaient pas été freiné, alors que forcément ça finirait par nous tomber dessus. Voir si c'était toujours aussi bienvenu, malgré les changements avec la guerre, bien que j'aurais du mal à tirer un trait sur ce projet là. Mais je ne voulais pas non plus que ça soit un choc pour lui, que d'apprendre du jour au lendemain que ça y est, les choses sont sur le chemin.

« J'en sais rien ... je préfère pas m'en soucier réellement, en plus je n'y connais que peu de choses ... et tout est si différent d'une femme à une autre ... je le suis peut-être, ou je le suis peut-être pas ... »

Cela n'était pas très concluant mais j'avais beaucoup de mal à me souvenir ces dernières semaines, prises par mon travail, par ces changements, et d'autres trucs. Pour le moment je préférais ne pas me faire d'idées ou me dire que je ne l'étais pas, et vérifier ça encore moins, parce que la peur d'être déçu, se lirait sur mon visage, les jours d'après. En parlant de souffler un peu, il semblait le vouloir autant que moi, c'était déjà une bonne chose dans notre conversation, celui de vouloir en commun partir un petit week-end, ensemble, en couple. Je n'avais pas trop réfléchit à des endroits, de toute façon nos moyens nous empêchait de trop voir haut, mais parfois le plus simple, et le plus gratifiant à vivre, alors ça me peinait pas du tout. Ce n'était pas un moment touristique, mais plutôt un moment pour nous retrouver, pour faire le vide, pour un départ nouveau, après le changement de vie, dicté par Volusia.

« Je voudrais pas partir trop loin, parfois il suffit juste d'une bulle pour se sentir loin de tout, et si proche toi et moi ... je ne sais pas de quoi tu es amateur mon homme, plage ou montagne ... hôtel ou plein air ... »

On en parlait parfois très vaguement, car pour moi ça n'a toujours été que du rêve ou des envies, ce qui est plutôt normal pour mon âge. Mais la possibilité maintenant s'offrait et je sentais qu'on n'allait pas si bien que ça, qu'il n'allait pas bien comme il le précisait, et que pour ma part même si je ne disais rien, ce pacte me chamboulait énormément. Sauf que je primais toujours Zac avant de m'écouter moi, car s'il n'allait pas, je n'irais pas bien non plus, c'était comme ça et je pouvais rien y faire. Un peu de douceur me faisait pas de mal, je pense avoir perdu ces derniers jours, n'ayant pas trop le temps de manger la journée, et le soir j'étais un peu trop occupé avec d'autres choses, pour penser à avaler trop de nourritures. Une panacotta au caramel je trouvais que ça ne faisait pas trop asiatique mais ça me faisait pas grand chose, tant que c'était pas mauvais. Autant dire que là je n'en laissais quasiment jamais rien, hormis si vraiment j'aimais pas, mais les desserts c'était rare chez moi.

« Si tu finis pas ton dessert, je m'en chargerais »

dis-je en éclatant de rire, parce que de toute façon, c'était souvent pareil à la maison, j'avais peu de place pour le repas, mais pour le dessert, aucun soucis. J'aime manger mais pas tellement se goinfrer non plus, je suis plutôt le genre à picorer, sans me priver. Le temps de payer et nous étions dehors, finalement pas si cher que je ne le pensais, mais ça n'était pas tous les soirs ou toutes les semaines, alors c'était raisonnable. Enfilant ma longue veste noire et fine, je sentais le léger frais s'abattre sur mes bas noirs eux aussi, mais le temps était tellement clément, que ça ne me faisait rien. Me réfugiant sous l'un de ses bras, je m'y sentais si bien, que là-dessous, je n'imaginais jamais le pire, et toujours le meilleur. Notre léger accrochage de tout à l'heure me travaillait un peu, bien que je n'en disais rien, mais malgré tout, je me remettais en question, sur ma manière d'avoir agit.

« Tu sais on a peut-être peu d'argent mais ... je me sens riche à l'intérieur »

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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMar 22 Fév - 0:22

Les yeux posés sur la baie vitrée du restaurant, regardant à l’extérieur, je dirigeais très lentement ce que je venais d’entendre de la bouche de Serena, tout en picorant quelques peu dans mon assiette alors que j’avais l’impression que la faim m’avait quitté. Serena n’était en rien une personne méchante qui voulait blessée par des mots ou geste. C’était tout le contraire. Calme, gentille attentionnée. En tant normal, je n’aurais pas pris ses mots de la sorte et j’en aurais même ris. Cependant depuis quelques jours, depuis le traité de paix qui était survenue de manière un peu brutal pour ma part, j’avais l’impression de doucement dépérir. Une sensation étrange qui me foutait le morale dans les chaussettes et qui, se soir même, ne me permettais pas de prendre les choses au second degré. Je me mordais l’intérieur de la joue en faisant cette analyse et en voyant que j’avais réagis d’une manière peu élégante et courtoise envers ma femme qui au final ne me voulait rien de mal. M’en voulant d’avoir agis de la sorte, je me retournais alors vers Serena pour lui présenter mes excuses mais elle me devança et repris la parole. Je restais alors sur place sans rien dire, posant mon regard dans le sien en l’écoutant attentivement. Je grimaçais intérieurement en l’écoutant avant de fermer les yeux l’espace de quelques secondes pour respirer. Les rouvrant, je redéposais mes yeux dans ceux de la jolie brune et lui répondis alors.

« C’est à moi de t’excuser chérie… je… je ne sais pas ce qui m’a pris. Jamais je n’aurais dû réagir de la sorte. Jamais… j’ai l’impression que tout ce qui se passe en se moment me tire vers le fond. Que je ne sers plus à grand-chose. Que j’ai perdu quelque chose. C’est… bizarre comme sensation. Mais à cause d’elle je m’enfonce et ne réagis plus comme avant. J’en ai conscience mais je ne le fais pas exprès et je n’arrive pas à revenir à la normal. »

Je laissais les mots filer et pris rapidement une gorgée de mon verre d’eau pour faire passer la bile. Ce n’était qu’une image, mais cela représentait bien le dégoût que je ressentais envers moi-même à ce moment. Je commençais à m’en vouloir grandement et c’est au moment où je sentais les doigts de Serena se resserrer autour de ma main que je me mis aussitôt à me détendre. Je soupirais doucement, tout en réfléchissant alors qu’elle reprenait doucement la parole. Ses mots me transpercèrent une nouvelle fois et je m’en voulais encore plus. Rapidement je serrai sa main et de ma main de libre, la déposa sur sa joue pour la caresser doucement et la détendre quelque peu, lui souriant légèrement en la regardant tendrement dans les yeux.

« Ne dit pas ça… ce qui est le plus facile pour moi c’est te parler à toi. De tout. Même si tu n’as pas connu ce que j’ai connu avec cette guerre, c’est toi qui me comprends mieux que personne. Et les bons moments avec toi valent plus que tout… et tes gaffes ? Je les aime alors ne t’en fait pas. C’est moi qui ne vais pas bien et qui n’aurais pas dû réagir comme ça. »

Finissais-je en souriant et en lui lançant un petit clin d’œil. Elle était celle qui pouvait le plus m’aider à me sortir de tout ça, de cette petite dépression qui stagnait au dessus de ma tête et qui s’apprêtait à tout moment à me tomber dessus. Elle était la seule et elle ne devait pas en douter. Jamais. Je chassais d’ailleurs complètement cela de mes pensées lorsqu’on en revint à la possibilité qu’avait Serena de tomber enceinte désormais. Je me concentrais alors uniquement sur cette éventualité tout en souriant et en l’écoutant. Elle me fit légèrement peur en me disant qu’elle ne savait pas si la machine était en route ou non, qu’elle n’avait pas fait attention ou pas pris de nouvelle sur son corps et l’état de celui-ci. Cependant, j’avais confiance en elle et je savais qu’elle allait tout faire pour que cela se passe correctement et qu’on s’y prépare.

« D’accord. Ben on verra bien alors. En espérant que ça nous laisse le temps de tout préparer quand même. »

Répondis-je en finissant mon assiette avant d’attraper celle de Serena pour la finir à son tour. En nourriture, bien qu’elle aimait tout, elle était tout mon contraire concernant la quantité. Alors qu’elle ne mangeait généralement que la moitié de ses assiettes alors que j’étais capable d’en ingurgiter deux voir trois. En même temps, avec tout le sport que je faisais, j’éliminais assez rapidement les graisses et calories et de ce fait, j’avais alors plus souvent faim et devais plus souvent nourrir mon corps. Par contre pour ce qui était des desserts, là elle avait de la place. Comme toujours. Je souriais à cela alors que notre discussion nous mena au projet de voyage pour un petit Week-End rien que nous deux, loin de cette ville. J’essayais de trouvais un endroit qui pouvait nous convenir tout en l’écoutant.

« Tu as raison. Il y a une petite vallée avec un lac dans le centre de la Floride, quelque chose de tout beau et mignon à ce qu’il parait. Enfin, ce n’est qu’une idée mais pourquoi pas. Je ne sais plus qui m’en avait parlé mais d’après les photos que j’ai vu c’était calme et reposant. »

Lui avais-je proposé tranquillement tout en repoussant mon dessert vers Serena qui s’en léchant déjà les lèvres. Je la laissais le finir avant d’appeler le serveur pour la note que je payais rapidement puis, me relevant, passa un bras autour de ma femme et la tira doucement dehors. La nuit était belle et une légère brise soufflé dans les rues qui nous rafraichissait quelque peu, nous permettant de ne pas avoir trop chaud malgré le temps qui régnait en Floride. Je me retournais vers elle et tout doucement, déposa mes lèvres sur sa tempe pour la rassurer et la réconforter alors que nous marchions tranquillement dans les rues de ce quartiers que nous ne connaissions pas encore…
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMar 1 Mar - 3:25


Je le voyais bien, que l'homme que j'aimais n'était plus du tout le même, depuis la fin de cette guerre. Fin en laquelle je ne croyais pas, en laquelle je n'aspirais aucune confiance car je me doutais qu'un jour ça reprendrait. Je ne sais pas quoi dire de plus, car mon avis sur la question est bien tranché et même si l'ont tente de me rassurer parfois, ça ne marche pas vraiment. Lui, il en souffrait que tout se soit éteint si brutalement. Je pouvais lire dans son regard, le sentir dans chaque souffle qu'il se disposait d'avoir, pour respirer. Son comportement n'était plus le même, depuis le matin où il m'avait quitté au sein du lit, après un réveil si doux, et le soir où il avait franchit la porte avec un énorme retard, et une mine déconfite, trop mal caché. J'entendais par là que mon homme, voulait toujours m'épargner quand il souffrait, ou quand il ne voulait pas que je vois, quelque chose qui pourrait m'atteindre. Seulement depuis des années, je savais lire sur son apparence, car on avait tant traversé tous les deux, que je n'avais pas besoin de plus de cours, sur sa personne. Je sais qu'il ne va pas bien, qu'il couve quelque chose de mal, que ça va sans doute nous nuire, toucher notre couple mais je ne sais pas encore comment. J'ignore sa réaction, car je peux tout anticiper pour lui, mais pas sur ce coup là, et j'avais déjà peur, du mal qu'il pourrait se faire, ou nous faire maladroitement. Car tout ce qui le touchait, me touchait et de le voir souffrir, j'en souffrais déjà aussi. Pour preuve notre couple, ressentait déjà la pression et la mésentente soufflait déjà, de plein vent, pas très chaud, au contraire ça nous refroidissait l'un comme l'autre. Je m'excusais, et lui également mais, si on en arrivait là est ce que ça voulait dire, qu'une nouvelle épreuve nous attend, encore une fois.

« Je sais que tu ne vas pas Zac ... que tu ne vas plus vraiment bien ... que tu n'es pas celui que je connais, mais tu restes celui que j'aime ... si tu souffres, je souffre aussi ... bien que je ne pense pas être aussi forte que toi ... »

Je lui avouais que peut-être que lui survivrait à tout ça, mais ce n'était pas tellement sûr pour moi. Je n'avais peut-être plus la force, plus les nerfs solides et le corps qui survivrait à une épreuve de plus. Je préférais le mettre un peu en garde, sans pour autant qu'il m'épargne quand ça n'irait vraiment pas, surtout que je doutais un peu, comment il en viendrait à défaillir. Tout était sans doute trop parfait au sein de notre vie, comme le disait une cliente, je semble avoir une vie aussi nickel que mon apparence. Et pourtant mon corps contient des cicatrices à la fois extérieure mais également intérieure. Mais je serais là pour être le pilier qui l'aiderait à se soutenir, autant que je le pourrais, mais faudrait alors sans doute qu'il tienne assez à nous, pour se battre contre le mal. Je l'écoutais grandement, ce qu'il me disait me touchait, bien que j'en restais un peu amer des paroles que j'avais pu tenir, à son encontre juste avant. J'étais un peu déçue de moi-même, ou du fait de l'avoir un peu trop brusqué, mais je tenais tellement à avancer avec lui, que j'étais sans doute déjà pressé d'avoir plus qu'une maison, en sa compagnie.

« Je ferais du mieux que je peux, pour toi ... j'ai peur que tu redeviennes celui d'avant ... celui que j'ai connu Zac »

Quand je l'ai rencontré, il allait très mal et il n'était pas du tout comparable à l'homme qu'il est devenu après des années, maintenant. Je ne disais pas ça pour qu'il lutte à ne pas le redevenir, et puis c'était grâce à son mauvais état, finalement qu'on s'était rencontré, alors je ne regrettais pas tellement cette situation, mais juste que ça avait été si dur. J'étais, on était plus jeune et on voyait pas vraiment l'avenir de la même façon, qu'il y a encore quelques mois en arrière. Ce qu'il avait pu faire par le passé, ne pourrait peut-être pas passer aussi bien, que dans l'avenir et j'avais surtout peur de ça. Il déprimait de la perte de sa bien-aimée et même si là c'était pas comparable, il avait quand même perdu quelque chose qui lui collait à la peau, avec qui il vivait 24 heures sur 24. C'était un peu comme son ancienne compagne, alors il y aurait forcément de grosses similitudes quand même, et s'il se noyait dans l'alcool et la dépression, serais-je aussi forte qu'avant, pour l'aider à remonter et à voir autre chose que la mort, qui l'attirait tant.

« S'il vient, il vient ... »

Je préférais ne pas me poser de questions, et surtout de ne pas mal comprendre ce qu'il venait de me dire à ce sujet là. Pour ma part le projet était lancé, et je ne reviendrais pas en arrière, sous aucun prétexte d'ailleurs. Je l'aimais et il m'aimait d'après ses dires et d'après ce qu'il me donnait depuis des mois. On avait prit la décision ensemble, et je comptais l'assumer vraiment jusqu'au bout, libre à lui de ne plus coucher avec moi, si vraiment il ne voulait plus d'enfant. Mais vu son appétit sexuel je doutais, qu'il y renonce tant que ça. Je tenais à avoir un enfant de lui, car c'était le fruit de notre amour et sans doute la plus belle conclusion à nos projets de couple normal. Bien sur qu'on en aurait d'autres mais c'était quand même la base de beaucoup de monde, qu'un mariage et qu'un enfant arrivent au sein d'un couple d'amoureux. Ma phrase voulait surtout dire, que je tenais à ce projet coûte que coûte et que même s'il m'en faisait voir, en étant pas bien, je me battrais pour que tout arrive au final, parfaitement en sain et sauve. Que ça soit mon homme, celui que j'aime par dessus tout, et puis l'enfant qu'il me donnerait ou qu'il m'avait déjà donné, qui sait. Je voulais pas me mettre ou nous mettre la pression du temps, que peut-être qu'on avait que quelques mois, ou alors peut-être plus.

« Un coin calme avec un lac ... cela me tente bien, et puis ça nous laisse pas très loin de chez nous, au cas où ... tu crois que tu pourrais te souvenir de l'endroit ? »

J'en avais l'eau à la bouche, pourtant ça n'était pas de la nourriture mais plutôt que de changer d'air, me trottait en tête depuis tant de temps. La grise mine de ne pas pouvoir partir, même un week-end en amoureux depuis qu'on sortait ensemble. J'aimais découvrir le monde, voir un peu ce qui se trouvait ailleurs, que le palier de ma porte. Et cette guerre m'en avait privé, jusqu'à maintenant ou même avec l'état de mon homme, on pourrait peut-être, partir un peu. Cela n'arrangerait pas son moral, je le savais parfaitement qu'en revenant ici, alors tout reprendrait comme on les aurait abandonné. Mais j'y aspirais encore, à ce petit moment de pause, qui pourrait permettre à Zac de voir l'essentiel dans sa vie. Qui était selon moi, son travail, sa vie de couple et autre chose qui ne me venait pas en tête pour le moment. Grignotant le côté sucré du repas, nous en avions à présent terminé pour ce petit passage au restaurant et après avoir payé l'addition, mon homme me prit par le bras pour ensuite se rendre à l'extérieur. Je me sentais un peu en inquiétude, un peu en peine et à la fois avec le sourire et le confort de l'avoir tout contre moi.

« Y'en a des belles maisons par ici ... ça m'étonne pas qu'ils y tenaient tellement à leur quartier ... on dirait les maisons des films qu'on voit à la télévision ... »

dis-je en étant un peu surprise, de voir ce décor devant les yeux. Je ne savais pas qui y vivait et je m'en fichais à vrai dire, mais je n'aspirais pas pour autant à avoir une pareil. La nôtre me semblait la plus jolie, car elle nous ressemblait, et chacun avait pu être mettre une partie de soi, ce qui donnait finalement quelque chose, qui pouvait que me plaire.

« Je commence une heure plus tard demain matin ... alors on pourra trainer un peu ? »

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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyJeu 3 Mar - 16:57

Depuis la fin de cette guerre, quelque chose en moi avait changé. Je n’étais plus vraiment le même homme et ça, Serena devait le sentir. Le voir à mon visage, à mes gestes qui étaient dénudé d’enthousiasme, à mes soupirs à répétitions ou encore à la tristesse que je ne pouvais pas cacher dans mes yeux. J’avais beau cacher les expressions de mon visage du mieux que je le pouvais, Serena me connaissait par cœur et savait pertinemment lire en moi. Elle pouvait déceler la moindre faiblesse, le moindre mal aise qui émanait de mon être. Je voulais le cacher, je voulais que cela ne la touche pas et qu’elle reste aussi heureuse que possible, mais ceci était impossible. Elle savait que trop bien lire en moi pour savoir que tout ceci me touchait énormément. En même temps, j’avais passé plus de la moitié de ma vie dans cette guerre. L’essentielles de mes activités étaient basées autour de ça. Mon entreprise était faite pour ça à la base, pour donner une chance à n’importe qui de pouvoir se défendre en cas d’agression. Des agressions qui étaient encore très fréquente quelques semaines plus tôt. Et maintenant qu’il n’y avait plus rien, certaines personnes avaient perdu goût aux combats et fuyaient désormais le centre d’entraînement. Or, avec l’ouverture des frontières, nous pouvions désormais nous inscrire dans les tournois de l’état de Floride mais aussi du pays en entier. Et cela était le principal but des sports de combat en générale dans tout le monde. Participer a des compétitions, gagner des titres…

« Je ferai de mon mieux pour éviter que tu souffres à ma place. Et puis… je pense avoir les moyens de passé au dessus de tout ça. Une magnifique femme, une famille en devenir, ma petite sœur qui est toujours là pour nous et mon activité qui commence à voir un avenir sur le plan national. »

Je lui souriais alors sincèrement, en reprenant un peu de pêche et d’envie, chassant toute ses idées noires qui rodaient dans ma tête et chassant ainsi la peine éprouvé par l’arrêt brutal de cette guerre. J’avais de quoi être heureux et je ne devais pas me laisser aller. C’est pourquoi, lorsque j’entendis ma future femme m’annonçait qu’elle ferait de son mieux pour moi tout en m’indiquant qu’elle avait peur que je redevienne celui qu’elle a connu au tout début, quelque chose me frappa et me fit voir réellement où est ce que j’en étais. L’état dans lequel je devais me trouver pour qu’elle repense à tout ceci. Je grimaçais intérieurement et tout en serrant sa main lui répondis calmement.

« Je suis désolé. Vraiment désolé. Mais tu ne retrouveras pas le Zac d’avant ma puce. Promis… »

Je ne voulais pas qu’elle repense à tout ça, qu’elle se retrouve mal par ma faute et qu’elle subisse les conséquences. Non je ne le voulais pas. Nous avions passé tant d’épreuve déjà que je ne voulais pas la replonger là dedans. Qui me dit que cette fois nous en survivrons ? Qui me dit qu’elle serait assez forte pour relever mon cadavre et le hisser une nouvelle fois au sommet ? Non, je devais me ressaisir et maintenant. Ne pas gâcher notre soirée et notre futur. Chassant tout ceci de mon esprit j’en revenais alors à l’heureux évènement et au sujet principal qui nous englobait maintenant depuis quelques semaines, voir quelques mois. Un enfant. Avoir un enfant avec Serena serait sans nul doute la plus belle chose qui me serait arrivé dans ma vie. Concrétiser notre amour en nous unissant et en donnant la vie. Combien de temps avions nous avant que celui-ci arrive ? Je savais que Serena avait depuis quelques temps maintenant stoppé la pilule. Que ce n’était qu’une question de temps avant que tout se mette en route. J’hochais donc la tête une nouvelle fois, acceptant ses dires et les acquiesçant. S’il devait venir alors il viendrait et je serai prêt à l’accueillir comme il se doit. Prêt à le chérir et le pouponner, prêt à lui donner tout l’amour et même plus qu’il devrait recevoir.

« Je crois bien oui. Au pire, je redemanderai demain confirmation à la salle mais normalement tout est bon, je m’en souviens bien. Il nous reste juste à savoir quand tu peux prendre un jour ou deux, histoire de nous donner un Week End de quatre jours et de profiter pleinement de tout ça. »

Cela nous ferait le plus grand bien. Allez prendre quelques petits jours loin de Volusia, dans un coin calme et naturel. Me permettre de souffler et de voir les choses différemment, sous un autre point de vue. De repartir sur de bonnes bases, ressourcé et confiant. Voila qui pouvait être que bénéfique pour nous deux, pour notre couple mais aussi et surtout pour moi qui n’était pas très bien ses derniers temps. Je souriais d’avance en imaginant nos petits jours tranquille au bord du lac, rien que tout les deux. Cela s’annonçait très bien et me donnait déjà l’envie d’y être.
La soirée au restaurant terminé, nous sortîmes donc de ce petit palace après avoir payé le repas pour aller nous balader dans les rues de ce quartier chic que je ne connaissais finalement que très peu, pour ne pas dire pas du tout. Les rares excursions que nous avions menées par le passé ne nous avaient pas laissé le temps de découvrir les lieux. Bien au contraire. Tenant ma femme tout contre moi, je souriais légèrement en sentant son corps collé au mien et sa présence à mes cotés. Je pouvais sentir son parfum qui m’enivrait et m’apaisais. Je la serrai donc tout doucement tout contre moi avant de venir déposer un long et doux baiser au niveau de son front, voulant la rassuré mais aussi lui donner toute la tendresse qu’elle méritait.

« Des maisons riches, comme dans les séries du genre Beverly Hills et compagnie. Mais ils n’ont pas à rougir de ce genre de série vu la grandeur et la beauté de leur maison ici. N’empêche, je me sens bien chez nous, même si notre maison doit être aussi grande que leur abris de jardin à eux, c’est notre petit cocon. Ah ben oui sans problème alors, traînons un peu mon cœur. »

Lui répondis-je en souriant tout en me perdant dans ses magnifiques yeux.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyVen 4 Mar - 13:14

Mon homme n'était plus le même. Je le connaissais bien assez pour savoir, sans même trop en savoir, qu'il n'allait pas vraiment bien. Que pouvais-je faire, pour rendre sa vie autrement que celle qu'il vit en ce moment. Je voyais qu'il se battait au fond de lui, pour me paraitre comme d'habitude, mais que malgré tout sa dépression naissante, prenait quand même une place importante, au fond. De toute façon, comme je le lui avais dit, et comme il le savait déjà, j'étais avec lui et que quoi qu'il se passe pour lui, je serais là pour l'aider à remonter à la surface, et pas à se noyer complètement au fond du gouffre. Je ne demandais pas une vie toute rose, car de toute façon j'en avais jamais trop vu la couleur, hormis quand lui et moi, on s'enfermait chez nous. Rempart de toute agression, c'était comme notre armure contre tout mal, présent autour de nous, et maintenant je ne la voyais pas autrement, ça restait notre refuge. Me tenant tout contre lui, je réfléchissais et je l'écoutais me dire qu'il arriverait à vaincre cela, à passer outre et à tenter de continuer une vie saine d'esprit. Je n'en disais rien, car je ne savais pas ce que le futur nous réservait, je ne savais même pas si j'étais moi-même prête à tout ça. J'ai toujours souffert de petite, quand ma même est partie, à mon adolescence où mon père me forçait à n'importe quoi, et à avant que je rencontre Zac où les hommes qui sortaient avec moi, étaient violent et pas tellement fidèle. Depuis qu'on sortait ensemble, j'avais eu une certaine stabilité, comme si une coquille d'œuf s'était formé autour de moi, rempart du malheur. Seulement si cette coquille se fendait, est ce que j'arriverais à apprendre à voler de nouveau, ça s'en était pas vraiment sûr.

En revenant à sa discussion, plutôt qu'à mes pensées, voilà qu'il me parlait de faire connaitre son centre, au plus loin que Volusia, une bonne idée pour lui. Si son centre attirait du monde, alors il serait tellement occupé qu'il ne penserait plus, à ce pacte de guerre, qui a fait ralentir son activité. Et puis peut-être qu'à se retrouver sur un ring, il pourrait se défouler contre cette haine, cette maladie qu'est la dépression. Avoir un homme sexy sur un ring, massacrant un adversaire, voilà quelque chose qui me stimulait, un peu d'action cela me plaisait grandement. Je soignais les combattants de parties illégales, quand j'étais plus jeune, j'avais un ami qui en faisait régulièrement et qui faisait appel à moi pour mon don, de guérisseuse. De bons moments malgré tout.

« Si tu participes à des championnats, alors je serais là pour t'encourager et accesoirement pour te soigner, si malheureusement tu es blessé ... sache que je ne serais pas du tout contre ça ... si tu as l'envie, tu as carte blanche, car je sais que le combat et le self défense c'est ta passion et une partie de ta vie »

Depuis que je le connaissais, je le savais un fervent admirateur de tout ça, l'ouverture de son centre ne m'avait pas du tout étonné, d'ailleurs. Certes je n'avais encore jamais trop prit partit, je n'avais pas participer à l'élaboration de son centre, en étant l'une des membres. Peut-être que je m'étais réfugié derrière lui, trop longtemps et qu'il était en fin de compte temps, que je me sorte de là, et que je redevienne un peu la Serena d'avant. Celle qui fonçait, sans avoir peur de rien et encore moins de personne, je n'en étais pas à aller me battre, mais j'avais la hargne de vaincre, chaque jours qui passait. Je naviguais au sein du clan, je participais à ce que je pouvais, et du coup on entendait parler de moi, de par mon caractère, féroce. Mais depuis quelques années, cette jeune femme que j'étais, s'était évanouie, c'était comme tut. En même temps, Zac m'avait offert une grande partie de bonheur, d'affection et de reconnaissance, ce que je n'avais jamais eu de personne. Et puis il m'a donné l'envie d'aimer, l'envie de croire en l'amour et à la force des sentiments. Je ne dis pas que ça cela s'est fait, du jour au lendemain, mais il en était que maintenant, j'étais comme accroché à lui, et que si ça se cassait, pas sûr que j'y survivrais, ou que j'en sortirais sans trop de blessures. Zac me disait qu'il ne comptait pas, me remontrer cette image de lui, que j'avais réussit à lui faire ôter avec le temps. J'acquiesçais de la tête, car je ne voulais pas qu'il pense, que je doute de lui, et je ne voulais pas non plus qu'il pense, que je ne doute pas de lui. Difficile à comprendre, mais simplement que je savais que Zac me préparait, pas que de très bons moment à venir, intuition féminine sans doute.

« Un week-end, si tu savais comment ... ça m'excite déjà, d'y être et de pouvoir profiter de toi, de nous et du panorama que ça nous offrirait, cet endroit ... »

Partir, c'était ce mot que j'avais en bouche depuis des mois déjà. Parfois je m'y voyais déjà, et de par mes rêves, ça m'en mettait encore plus l'eau à la bouche. Mais jusqu'à maintenant ça n'avait été que des suppositions, rien de prévisible et encore moins, quelque chose de concevable. Mais l'occasion se présentait depuis quelques jours, elle était si belle, qu'on ne pouvait pas rater ça. J'espérais que ça se passe bien, et qu'il ne nous arrive rien de trop désobligeant, car moi et ma poisse légendaire, ça promettait. Notre maison n'était pas comparable à toutes celles qu'on pouvait croiser du regard. Haussant les épaules, je m'en fichais de ne pas avoir la même que ces personnages, de séries télévisés que je regardais encore, de temps en temps. J'ai toujours vécu dans la simplicité, le seul truc où j'étais un peu plus exigeante, c'était sans doute en amour. Mais tout ce qui est matériel n'est pas pour moi, essentiel, bien que forcément comme toute femme qui se respecte, l'attrait d'une CB illimité, ne serait sans doute pas de refus. Stoppant mon homme, je me tournais alors vers lui et j'en passais mes bras autour de son cou. Le regardant au sein de son regard triste et un peu ailleurs, je lui décrochais un sourire de mon visage, avant de déposer mes lèvres sur les siennes.

« J'ai hâte de nous voir ailleurs qu'ici ... »

Je nous voyais déjà dans ces montages, au bord de ce lac où sans doute la paix régnait, du moins j'espérais qu'il n'y ait pas de trafiquants dans le coin, ou quelque chose comme ça. Sans doute que je regardais un peu trop de téléfilms, les soirs où Zac n'était pas là. D'ailleurs je m'étais trouvé une nouvelle activité, enfin deux mais, je n'en avais encore commencé aucune, et je venais de me rendre compte que j'en avais pas encore parlé à mon homme.

« Tu sais, je me suis inscrite au yoga et au step féminin ... besoin de me défouler et de me canaliser ... je sais que c'est un peu contradictoire mais tu sais très bien, que j'ai toujours eu ma propre logique ... »

Cela allait sans doute me faire du bien, après une journée de travail exténuante, des clientes ou clients pas toujours commode, où je me retenais de les étriper par moment. Et puis ça comblerait les sois où mon homme n'est pas là, quoi que je ne sais vraiment plus si du tout, avec la fin de cette guerre il ne serait pas plus souvent à la maison. Le sport était important, jusqu'à maintenant je me contentais que d'un ou deux jogging par mois avec Zac ou une amie. Mais finalement c'était un bon moyen, pour faire sentir son moral, beaucoup mieux et surtout le faire penser à autre chose. Peut-être qu'un jour, je me sentirais la force, de venir aux cours de défense de mon homme, je l'étais physiquement mais pas mentalement, ou bien était-ce finalement l'inverse ou un peu des deux. Je sais qu'il aimerait que je m'investisse mieux à son univers, bien que moi-même je le contraigne au mien, en lui infligeant quelques massages, quand je sens qu'il en aurait le besoin.

« Retournons au sein de notre quartier ... je le trouve vraiment pas naturel celui-ci, y'a pas de vraies valeurs, hormis celle de l'argent et de la grosse fortune ... Et puis tu as raison sur un point, notre maison ... elle n'a pas de prix »


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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyLun 7 Mar - 15:49

Participer à des championnats régionaux et nationaux, ouvrir le club sur l’extérieur et voir du pays lors de différentes compétitions sportives, voilà qui pouvait être une bonne solution. A la base, la salle de sport avait été ouverte pour permettre aux jeunes du quartiers à apprendre à se défendre contre nos ennemis, à se battre et survivre lors de bataille qui étaient organisés mais aussi pour venir se défouler et se retrouver dans un cadre sain et sécurisé. Maintenant, avec l’arrêt de la guerre, tout ceci était sur le point de disparaître puisque l’enjeu n’était pas le même. Cependant je voyais maintenant plus loin qu’une simple reconnaissance de la ville sur nos talents. Je voyais les championnats nationaux, les entraînements que je pouvais faire et dispenser à mes élèves pour que ceux qui le veulent puisse m’accompagner lors d’inscription dans les différentes compétitions. Monter une team de combattant et aller dans les différentes compétitions qui étaient organisées de part et d’autre du pays. Boxe anglaise, boxe thaïlandaise, lutte, jujitsu brésilien, pancrace… voila les sports que j’enseignais et sur lesquels nous pouvions nous baser pour allez essayer de décrocher quelques titres ou autre. Certains de mes combattants étaient vraiment doués et je savais déjà à l’avance qu’ils accepteraient le challenge. C’était quelque chose d’assez intéressant et enivrant en y repensant. Cela me plaisait beaucoup. Surtout que j’avais l’appui et le soutiens de Serena qui me disait être là et m’épauler dans tout ceci, qu’elle serait la première fan à me suivre. Cela me mettait du baume au cœur et me redonnais la pèche pour essayer quelque chose de nouveau et qui pouvais plaire à un plus grand nombre. Car si nous arrivions à remporter des titres et à faire parler de nous, il est évident que de nouvelles inscriptions au club seraient à prévoir. Et donc une poursuite de l’activité.

« Je te remercie chérie… ça me touche vraiment beaucoup. Surtout que cette idée n’est pas si mal que ça au final car en faisant quelque chose lors de ces championnats je pourrais attirer une nouvelle clientèle et donc pouvoir continuer cette activité et nous assurer le minimum vital. »

Je souriais franchement tout en ayant les images en tête, tout en voyant un possible avenir sain et serein. Cela faisait vraiment plaisir de pouvoir retrouver ce genre de pensé et de ce dire que rien n’était fini, bien au contraire. Je pouvais enfin repenser sereinement à tout ça et avait de quoi travailler sur ce projet rapidement et très prochainement. Je regardais Serena en me plongeant dans son regard, lui souriant sincèrement en retrouvant une joie et une bonne humeur trop vite oublié et perdue ses derniers temps. Et puis, nous avions aussi le projet de partir de la ville, de nous exiler pour quelques jours pour pouvoir souffler et nous ressourcer ailleurs. Un projet trop longtemps mis de cotés d’une part, par manque de moyen lors de nos premières années ensemble, et d’autre part, à cause de la fermeture des frontières qui avait contraint les habitants de la ville à rester enfermer ans celle-ci sans possibilité de sortir quelques heures. Je n’avais d’ailleurs jamais pensé réalisable le fait de pouvoir ressortir un jour d’ici pour prendre des vacances ou autres. Cela était devenu inconcevable et je m’y étais fait, même si ce n’était pas du gout de Serena. Elle avait des rêves de voyages, de vacance loin d’ici, de découvrir de nouveaux paysages… mais la fermeture des frontière l’avait profondément touché et marqué et même si elle ne le laissait pas paraître, elle en avait souffert de ce dire que ses rêves étaient brisés et que jamais elle ne parviendrait à visiter le monde. J’étais mal de la voir comme ça, de ressentir cela et j’imaginais plein de chose pour lui permettre de sortir d’ici mais rien ne fonctionnait.

« C’est réciproque ma belle et je suis heureux de pouvoir enfin t’offrir cela. Depuis le temps qu’on voulait partir pour quelques jours, rien que toi et moi et nous ressourcer ailleurs… c’est enfin faisable. »

Lui dis-je doucement alors que nos pas nous menaient en plein centre du quartier Ferguson, nous faisant découvrir une partie de la ville assez riche pour ne pas dire extrêmement riche, où les moyens financiers étaient visible au point où on se demandait s’ils ne se livraient pas une guerre financière en exposant leur richesse. Celui qui aurait la plus belle et la plus grande villa avec le plus beau décor. Cela me faisait sourire et doucement rire, ils n’avaient décidément que ça à faire. Tournant mon regard pour le déposer dans les yeux de Serena, je la vis se rapprocher de moi et c’est en fermant les yeux que je capturais doucement ses lèvres pour un baiser tendre et court, me faisant sourire de nouveau.

« Oh oui… moi aussi. », répondis-je dans un murmure alors que nous continuions d’avancer dans ce quartier qui me semblait de plus en plus bizarre. Je nous voyais déjà dans ce petit coin calme et paradisiaque dont m’avait parlé le jeune que j’entraînais. Les photos qu’il m’avait montrées sur le net pour me faire voir ce coin qu’il avait trouvé il y a de cela quelques années avec sa famille. Un endroit simple certes, mais néanmoins calme et beau. Un endroit où on pourrait se ressourcer et prendre des petites vacances loin d’ici et de cette ville. Volusia était une ville belle et animé, une très belle ville et des personnes enviaient notre situations – même s’ils n’ont jamais connu la guerre – cependant, nous avions quand même le besoin de partir et de voir ailleurs. Changer d’air et découvrir de nouveaux lieux. Et cet endroit était assez bien pour cela. Notre premier « voyage » ensemble si je peux dire.

« Ah oui ? Tu t’y es inscrit quand ? Ben si ça te plait pourquoi pas même si c’est vrai que les deux activités sont à l’opposé l’une de l’autre. Mais tu vas bien pouvoir te défouler avec le step et le yoga va te permettre de te décontracté totalement et de t’assouplir encore. Même si je me demande si tu peux encore t’assouplir vu déjà la souplesse que tu as. »

Souriais-je en lui répondant cela tout en lui faisant un petit clin d’œil. Une souplesse que j’avais pu découvrir lors de nos nombreux ébats et qui m’avait d’ailleurs assez étonné. Moi qui devais faire bon nombre d’exercice en salle pour pouvoir augmenter ma souplesse tout en gardant ma force et ma puissance, ce qui me permettait d’accroître mon niveau pour le combat et de limiter ainsi les blessures. Alors que pour elle, cela semblait bien naturel. J’en souriais encore doucement avant de venir déposer un petit baiser sur ses lèvres avant de l’attirer doucement sur l’avenue principal qui nous permettrait de nous ramener vers notre voiture après l’avoir entendu me demander de retourner dans notre quartier. Elle avait raison, tout comme je le pensais quelques secondes ou minutes plus tôt, ce quartier représentait vraiment quelque chose de matériel au possible et cela était assez étrange pour nous. Quelque chose de bizarre que je ne saurai qualifier mais qui était encore bien trop nouveau pour moi et pour Serena aussi d’ailleurs.

« Tu as raison. Allons nous poser dans un coin de notre quartier bien au calme. On retrouvera nos repères et on se sentira bien mieux. »

Serrant sa main dans la mienne, y entremêlant nos doigts, je l’entraînais donc le long de cette grande avenue où nous pouvions voir encore quelques villas luxueuses et nous arrivâmes enfin près du restaurant que nous avions quitté, retrouvant ainsi notre voiture garé à quelques mètres de là.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptySam 2 Avr - 22:18

Je ne préférais pas même me poser trop de questions. Fallait pas commencer à avoir peur, de l'avenir en sa compagnie. Sachant pas trop comment je m'y prendrais, comment je réagirais car malgré tout, il me fait avancer. Quand la peur me prend, il sait me rassurer ou quand je doute de ma personne, il sait me redonner confiance en moi. Et puis chaque jour je continue ma vie, je me rend au travail et j'ai des projets plein la tête, parce qu'il est là. C'est bien par rapport à lui, que j'ai souvent le sourire aux lèvres, que j'ai une mine si détendue et que je sens le bonheur à plein nez, comme disent certains. Faut pas oublier, que s'il ne serait pas là, sans doute que j'aurais mal tourné, que j'aurais finit par me noyer dans un cercle vicieux, de drogues ou d'alcools, comme l'ont fait certaines de mes amies. Elles ont opté pour des hommes pas très fréquentable, comme certains de mes anciens compagnons, et du coup je crois que pas même elles se rendent compte, de leur vie. Certaines quand je les croise, je ne les reconnais même pas, peut-être est-ce réciproque, j'en sais trop rien.

J'en viens à l'idée que si Zac changeait, je ne sais pas trop si ça changerait du coup, tout ce qu'on a battit jusque là. Cela pourrait être l'épreuve qui testerait la solidité de notre couple, celle qui dirait si oui ou non, on se doit d'avancer. Les psychologues disent, que ce n'est qu'à partir de trois ans de couple, que l'amour commence vraiment. Car sans doute que seul les personnes s'aiment réellement, peuvent survivre au fait que l'illusion, de tout est beau et tout est rose, se fane et que la réalité prend enfin place.

« De toute façon quoi que tu fasses, je serais là ... ça fait huit ans et je compte pas te lâcher de si tôt ... »

Partir un jour, c'était dans mes idées, dans mes envies mais ça n'était pas que du "moment" car ça fait un bail que j'en parle à mon homme, que je lui en soumet l'idée. Oubliant parfois qu'on ne pouvait plus sortir de la ville, et puis passant outre le fait qu'on ne pouvait pas partir comme ça, l'argent manquant et puis nos boulots respectifs, tenaient quand même une grande place. L'idée d'un petit moment dans les bois, me disait beaucoup, parce qu'en fait je n'ai jamais eu l'occasion de camper, ou d'aller en foret alors ça promettait une chouette expérience. Je ne serais pas la première des scout ça c'était presque sûr, et puis il fallait tout de même, me dire que le but était de profiter l'un de l'autre, et pas de bâtir une cabane à la robinson, et d'aller chasser l'oiseau sauvage.

« Cela promet parce que je sais pas même, monter une tente Quechua ... »

Je lui annonçais qu'il ne serait plus le seul sportif de la maison. Bien qu'ensemble on se débrouillait jusque là plutôt bien, mais au sein d'un moment intime. D'ailleurs il n'avait pas manquer de me rappeler que côté souplesse, j'avais déjà de bon acquis, cela me faisait sourire et limite si ça me donnait pas quelques envies. Disons que ça me permettrait de m'ouvrir un peu au monde, car j'en vois des gens mais ce n'est essentiellement que de la clientèle, ou des vieilles amies. Avoir de nouvelles connaissances me disait bien, et puis surtout avoir un aspect de mon physique autrement, que celui d'une jolie poupée, que les gens me redisent souvent.

« Je ne saurais pas dire, le mieux que je peux encore faire ... on verra de quel côté ça évolue le plus, si c'est en apparence ou en pratique ... »

J'avais un petit sourire en coin, un peu coquin certes mais sans même les mots, on arrivait parfaitement à se comprendre, tout passait par le regard ou par notre comportement, et puis en huit années, on a quand même eu le temps de relever certaines manies ou habitudes. Nous marchions en direction de la voiture, mais en chemin, un vacarme pas possible, me fit hurler sur l'instant, et me faufiler rapidement à l'intérieur de la voiture. Juste après je me rendais compte que ça n'était qu'un chat qui venait de rater son coup, en sautant entre deux poubelles en tôle. Un peu honteuse sur l'instant, je me disais que j'avais encore pas mal de progrès à faire, concernant le self défense, car là au lieu d'affronter, je m'étais plus éclipsée, sans prendre mon temps. Regardant Zac j'en éclatais de rire, car faut dire, que le bon que j'avais fait jusqu'à la voiture, ça n'était pas vraiment courant.

« Interdit de se moquer ... faut dire qu'on était si paisible tous les deux, que ce bruit m'a parut si ... en fait j'ai pas vraiment réfléchit à ce que ça pouvait être ... »


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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMer 6 Avr - 22:14

« J’y compte bien oui. Et saches que je ne te lâcherai pas non plus. »

Lui répondis-je alors en souriant, l’attirant vers moi pour alors capturai rapidement ses lèvres, y déposant un baiser bref et rapide dans la seule intention de lui donner envie d’autres baisers. Lentement, gardant sa main dans la mienne, je me dirigeai vers notre voiture qui se trouvait plusieurs mètres devant nous, près du restaurant, tout en parlant avec Serena, lui faisant part de mes intentions sportives où elle était prête à me suivre et m’encourager, mais aussi de mes intentions concernant le petit voyage qu’on attendait tant tout les deux. Ce petit week end de repos et de détente dont on avait si souvent rêvé et qui, depuis le traiter de paix signer, pouvait enfin se réaliser avec l’ouverture des frontières. Quelque chose que Serena chérissait tant et qui m’avait contaminé depuis. Au début, cela ne me dérangeais pas tant que cela de ne pas pouvoir partir. Tant que j’avais ma famille et mes amis, rester sur Volusia ne me déprimait pas vraiment. Par la suite, lorsque Serena m’avait parlée de ce genre d’envie, je dois avouer que cela avait réussi à éveiller soudainement en moi un besoin rapide d’évasion à ses cotés. Et nous pouvions enfin le réaliser. De plus ce dernier nous permettrait de nous changer les idées et de voir autre chose que Volusia. De ne pas nous cloitrer dans cet endroit et son passé désormais révolus et ne pas se laisser aller. Changer, évoluer.

« Tu sais, les tentes de maintenant, on a juste a les jeter dans les airs et elles se déplient toutes seules. Y a simplement à les sceller au sol ensuite et le tour est joué. Et puis elles ne sont pas si chères que ça maintenant donc ça reste dans nos cordes. L’idée te plait alors ? Bon c’est sûr ce n’est pas un hôtel 4 étoiles mais bon. Ça change un peu des habitudes. »

Il est vrai que d’habitude, en terme générale diront nous, un petit week-end en amoureux pouvait se résumer à un hôtel et des vacances dans un endroit de rêve et de luxe. Ce qui pouvait changer pour certaines personnes. J’aurais bien aimé le faire mais je n’avais pas les moyens sous la main pour offrir cela à Serena. En tout cas pas pour tout de suite. J’essayais de mettre de coté pour notre lune de miel. J’espérais que ce petit moment improvisé pour tout deux pourrait lui plaire. J’essayais alors d’imaginer Serena entrain de lutter avec la toile de tente et les piqués et tout en avançant dans le quartier Ferguson, je souriais pleinement à cette vision en m’empêchant de rire. La voir énerver et se prendre la tête avec ça pouvait être drôle. Mais bon, je voulais qu’elle se détende complètement et qu’elle ne se prenne pas la tête durant tout ce petit week-end rien que pour nous. Elle, moi et la nature. Pas de téléphone, pas d’ordinateur, pas de souci avec le travail… rien qu’elle et moi. Cela devait donc s’annoncer excellent. Du moins je l’espérais. Il suffisait juste que le beau temps soit au rendez-vous et tout serait parfait.

« On verra bien dans ce cas alors. »

Lui dis-je en souriant, remarquant son petit sourire coquin et y répondant tout doucement, lui lançant un léger clin d’œil à peine visible sans pour autant relever oralement. Après tout ce temps ensemble, nous pouvions Serena et moi nous comprendre et faire passer des idées entre nous sans avoir réellement besoin de parler. Les mots ne servaient à rien de temps en temps. Un regard, un sourire, une lueur dans nos prunelles et nous savions exactement ce que l’autre voulait dire où ce à quoi il pensait. S’était beau et vraiment quelque chose de formidable. Nous nous connaissions déjà par cœur et je n’avais cependant pas peur que la routine s’installe entre nous. Elle n’avait pas sa place et cela se voyait parfaitement sur notre train de vie et le rythme que nous avions.
Alors que nous continuions d’avancer dans les rues, apercevant la voiture à quelques mètres de nous, j’entendis un bruit dans notre dos et vis Serena faire un bond avec un hoquet de surprise avant de partir en courant et s’enfermer dans la voiture. J’avançais toujours à la même vitesse, voyant en me retournant d’où provenait se bruit avant d’arriver à la voiture en souriant grandement. J’entrais à la place du conducteur, toujours en souriant, et referma la portière en mettant le contact. Je me retenais de rire et levais les mains en l’air, montrant mon innocence alors que je me retenais de rire.

« Je me moque pas promis. Mais j’avoue avoir eu envie de rire tant ta fuite était drôle. Rien qu’un chat chérie, rien d’autre. Allez, retournons vers chez nous. »

Je souriais puis me mis doucement à rire tout en allumant la voiture, laissant l’important moteur américain ronronner avant de passer la première et de me mettre à rouler, quittant ma place de parking en reprenant l’avenue principale pour revenir vers le quartier Attwood, vers notre chez nous.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyLun 11 Avr - 13:31

Je venais de me payer l'affiche, juste devant lui et j'avouais que moi-même je me retenais d'en rire. Peut-être un bon ou un mauvais réflexe, mais je me disais que même si cette trêve était effective, ça ne voulait pas dire, que la violence n'existerait plus. Car comme toutes les villes, chacun possède son taux, d'agressions en tout genre. Ce n'était rien d'autre qu'un chat, mais je l'avais remarqué bien trop tard. Cela n'était pas comme si j'avais sortit une quelconque arme, même si je n'en possède pas, cela aurait pu se produire. Je savais m'en servir, Zac me l'avait apprit quand nous avions emménagé ensemble et qu'il avait tenu à laisser une arme au sein de notre maison, au cas où quelqu'un m'agressait, quand il n'était pas là.

« Je ne pensais pas qu'on nous espionnait, voilà tout ... »

J'étais maintenant de nouveau détendu, sur notre petit nuage, bien que rien ne soit toujours si calme entre nous, mais j'aimais ça. Au moins il n'y avait pas de routine ou d'habitude qui lassaient finalement avec le temps. Et puis je faisais souvent des efforts pour ne pas porter les mêmes vêtements, pour ne pas avoir les mêmes idées, vis à vis de nous et de toute façon j'avais tellement d'imagination, qu'en fait ça me paraissait si naturel.

« Rentrons avant que je ne fasse autre chose, qui pourrait te faire encore rire ... »

Je commençais un peu à fatiguer mais c'était sans doute le repas qui me donnait cette sensation là. Surtout que la voiture ne faciliterait pas vraiment, mon éveil. Du coup j'enclenchais la musique du poste radio, et je cherchais ce qui pourrait y avoir à cette heure là. Je bidouillais et marmonnais car je ne trouvais pas ce que je voulais. Cherchant sous le siège ou bien à l'arrière pour voir si un cd ne trainait pas, et j'en ressortis avec le sourire un soutien gorge, cela me remit tout à coup, à quelques bons souvenirs.

« Tu as de la chance que je reconnaisse, que c'est le mien ... je peux donc en conclure que ça fait un petit moment, que tu n'as pas fait ta voiture, mon amour »

J'avais un petit sourire en coin, parce qu'il fallait avouer, que parfois je faisait pas tellement attention à mes affaires. Et encore pire quand j'en oubliais pas quelque chose ailleurs. Car dans la voiture de mon homme ou d'une proche connaissance, ça allait mais quand c'était ailleurs. Souvent j'en oubliais des vestes, ou des écharpes, quand c'était pas mes clefs, auxquelles je ne savais plus tellement où je les avais posé. Surtout que la plupart du temps, elles sont en évidence. Amusé par la chose que je venais de dégoter, je décidais de m'amuser un peu, sur le chemin du retour, et de défaire celui que je portais dès lors. En le passant par l'un de mes bras, et en l'agitant devant le visage de mon homme.

« Je crois avoir bel et bien perdu quelque chose ... c'est fou comme ça se retire vite, ces choses là ... »

Me mordillant les lèvres, j'avais plutôt hâte qu'on rentre à la maison, disons que j'avais soudainement plutôt chaud, et que je ne savais pas trop, d'où ça me venait d'un seul coup. Peut-être ce taux d'adrénaline que j'avais eu en, ayant eu peur, ou bien autre chose. De toute façon j'étais gourmande de tendresse, et de plaisir, alors ça ne devait pas même l'en étonner.

« D'ailleurs ... » dis-je sans finir ma phrase.

Je portais une robe qui m'allait plutôt bien, et j'avais le dessous assortit à mon soutien gorge, mais pas sûr qu'il reste longtemps sur mon corps. Glissant mes index sur l'élastique de mon bas, je le faisais descendre à mesure, tout en regardant mon homme, et en ayant un sourire plus que provocateur. Le laissant bien descendre, tout le reste ne se voyait pas, j'étais pas une exib non plus. Ma robe recouvrait mon corps mais je ne portais plus aucun sous vêtement, à vrai dire. Agitant mon boxer en dentelle sous les yeux de mon homme. J'aimais beaucoup la lingerie, et je m'arrangeais souvent pour, que ça plaise à mon homme, en prenant des nuances et des tons de couleurs, qui lui plaisaient plus que les autres.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMar 12 Avr - 15:17

Je riais doucement en me rapprochant de ma voiture, de cette vieille muscle car américaine qui appartenait autre fois à mon père, cette même voiture dans laquelle il avait perdu la vie et que j’avais du retaper de fond en comble, la restaurant de toute part pour la rendre à l’état neuf. Posant ma main sur la poignée, je me calmais sans pour autant arrêter définitivement de sourire et m’installa sur le siège conducteur. Je mis la clé dans le contact et ne démarra pas aussitôt la voiture, mon regard se posant sur le visage de Serena qui reprenait petit à petit confiance en voyant qu’elle avait eu peur pour rien, et mon sourire s’agrandit d’avantage.

« Un espion très coriace dis moi. Petite bête avec des yeux perçant, capable de voir dans la nuit et de se faufiler sans bruit. »

Je souriais en disant cela, la taquinant un peu avant qu’elle ne me pousse en souriant puis, riant un petit peu en secouant la tête, je démarrais la voiture avant de me mettre à rouler. Je devais l’avouer, l’action méritait le coup d’œil et cela m’avait bien fait rire. Tout ces petites choses en elle, elle était encore capable de m’étonnait et de me faire rire à n’importe quel moment de la journée, comme de la nuit. Je dois avouer quand même que le bruit m’avait fait me mettre sur mes gardes. Il est vrai que malgré le traiter de paix, nous n’étions quand même pas encore relativement sûr et certain que rien ne pourrait arriver désormais.

« Est-ce si mal que tu fasses rire et sourire ton homme ? »

Demandais-je avec un petit sourire en reposant mon regard sur son doux visage, roulant toujours de manière lente alors que je voyais fort bien qu’elle avait l’air fatigué et que cette mini terreur avait réussi à l’exténuer. Souriant, je pris sa main dans la mienne en l’apportant à mes lèvres, y déposant un baiser avant de la relâcher et de la laisser vaquer à ses envies. Elle essayait de trouver une radio qui diffuserait une bonne musique à cette heure tardive de la nuit et tout en ronchonnant dans sa barbe, se mit à farfouiller dans tout les coins de la voiture voir s’il y avait un CD qu’elle pourrait mettre. Ceci dura de longues secondes avant que, tout sourire, elle ressortit un soutien gorge d’en dessous de la banquette. Je le regardais alors qu’elle me l’agitait sous les yeux et souris avant de rire légèrement.

« Tu conclus bien, je n’ai pas trop eu le temps dernièrement. Mais bon, elle n’est pas sale donc ça va. Tu devrais faire attention quand tu te déshabille ici de ne pas perdre tes affaires, même si rien n’est vraiment perdu au final. »

Je la regardais tout en souriant et en repensant à quand cela s’était produit. Les souvenirs me revinrent rapidement alors que je voyais se soutien gorge posé sur la banquette et souriais d’avantage. Il est vrai que Serena n’était pas vraiment une pro dans ce qui était de se souvenir où elle m’était ses affaires. Mais cela faisait partis de son charme. Heureusement qu’elle avait retrouvé celui-ci et que ce ne fut personne d’autre. Avec des amis, j’aurais pu subir un tas de questions déplacé et emmerdante même si ce n’était pas méchant. Cette pensée me fit sourire alors que je voyais un nouveau soutien gorge se passer sous mes yeux, cette fois ci, un autre. Tournant mon regard de la route, roulant toujours assez doucement pour profiter de ce qui se passait, je regardais alors Serena qui me venait de retirer celui qu’elle portait et qui commençait doucement à me chercher.

« Toi, tu me cherches là… »

Lui dis-je en me mordant la lèvre à mon tour, essayant de garder mon calme alors que tout d’un coup elle venait d’éveiller en moi certaines envies. Et elle l’avait bien cherchait. Souriante de façon coquine, les yeux pétillant comme jamais, elle se dandinait sur la banquette tout en retirant doucement ses bas, gardant toujours sa robe par-dessus de façon à ce que je vois rien mais imagine très clairement. Je sentais une chaleur m’envahir et une excitation prendre le dessus et alors qu’elle retirait son shorty en dentelle et qu’elle l’agitait sous mes yeux encore une fois, je souriais en coin avant de tourner dans une rue vide pour aller me garer sur un vieux chemin de terre, sans aucun passage ni risque d’être surpris. Me retournant vers Serena, je souriais avant de l’attirait doucement vers moi et de capturer ses lèvres, lui faisant passer une jambe au dessus des miennes pour qu’elle s’installe à califourchon sur moi, sans quitter ses lèvres que j’embrassais doucement avec plus d’envie et de fougue.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyLun 18 Avr - 13:53

Une alliance parfaite. Je ne pouvais pas me plaindre, et puis souvent on me reprochait limite ce bonheur. Me rappelant sans cesse, ô combien j'avais de la chance, d'avoir un homme comme lui et qu'on forme un couple si unit. Cela n'était pas tellement vu pour ma part comme un compliment, mais souvent comme un reproche. A croire que le bonheur ne devait exister pour personne. Je n'avais pas envie que ça vire en une certaine jalousie. Je voyais mal une femme ou bien un homme s'immiscer entre nous deux. Pourtant c'était pas les tentations qui manquaient. Pour ma part je recevais des avances au sein de mon boulot, et je taisais bien sûr de qui il s'agissait. Mais je voyais bel et bien que Zac pouvait également attirer des convoitises, d'autres femmes que moi. Je ne sais pas tellement la réaction que j'aurais, encore pire sans doute que ce que je montre, quand une fille en soirée ou ailleurs, devant mes yeux, tente un approche avec mon homme. Je pourrais sans doute devenir violente, une violence qui pourrait me pousser peut-être au pire. Surtout qu'on avançait vers la période de l'union, au sein de notre mariage, et puis la venue possible d'un enfant. Je ne comptais pas tout perdre, pour une partie de jambes en l'air, provenant de moi ou de mon homme, avec une autre personne que nous deux. Du coup je faisais des efforts pour entretenir la flamme, qui nous unit depuis tant d'années. Cela n'est pas un sacrifice comme le dirait certains, au contraire c'était vraiment par amour.

Je m'arrangeais pour être attirante et coquète, et j'évitais du coup un laisser aller, que d'autres femmes, avaient sur elles. Le seul soucis était qu'en étant sexy pour mon homme, je l'étais du coup également pour d'autres, et j'avoue que ça m'apporte parfois plus d'ennuis, qu'une femme en survêtement ou en mode négligé. Quoi que même en survêtement, on arrive quand même à venir m'embêter, ou à me faire des avances. D'ailleurs depuis la trêve, cela m'arrive plus souvent. A croire que les hommes moins occupé ou moins soucieux de la guerre, en arrivent à vouloir penser à eux, et à leur plaisir. Mais pour moi il était hors de question, de salir mon homme et sa réputation. Après tout quelqu'un de trompé, et quand surtout ça se savait, il restait cocu toute sa vie, après dans le regard des autres.

On m'avait déjà trompé, disons que mes anciennes fréquentions n'étaient pas des enfants de coeur. Au final passé un temps, toutes les femmes de cette ville étaient trompés. Preuve de Sasha qui a hélas apprit bien après, que son homme l'avait trompé et qu'en plus en découlait une grossesse, de cette bitch qui avait couché avec son mari. Pour ma part il ne valait mieux pas que je trompe mon homme, car ne prenant plus aucune protection, je risque de me retrouver enceinte, sans le vouloir, de la mauvaise personne.

Nous étions dans sa voiture, comme souvent je m'amusais à l'embêter ou à le taquiner, bien qu'en fin de compte, c'était à tour de rôle. Une fois c'était lui et puis une autre moi-même. Il y a toujours eu l'alchimie à la provocation et au jeu, entre nous. Je ne sais pas trop d'où ça vient, car je n'étais pas du tout comme ça par le passé, et j'ai découvert ce comportement de moi-même, avec Zac. Je n'étais pas une allumeuse, fallait pas croire non plus. Et puis ce n'était pas comme si je m'étais totalement dénudé, à la vue de tout le monde. Au contraire, j'avais procédé par étape, et d'une manière plus distingué, que la trainée du coin qui aurait tout envoyé valsé, peu importait les regards extérieur sur elle. Ma provocation se faisait de plus en plus entreprenante. Je ne portais plus de sous-vêtement, et unique ma robe et mes chaussures. Je voulais qu'il cède d'une certaine manière car je lui avais peut-être mit l'eau à la bouche, mais ça m'avait quelque peu excité également. Me mordant les lèvres, dans un échange de regards entre nous deux, qui en disaient long, voilà qu'il prenait l'initiative, de ne pas attendre, d'être rentré. Ce que je pouvais adorer, ces moments où nous ne faisions pas l'amour, au sein du lit, comme classiquement le font pas mal de couples. Je préférais souvent les endroits atypiques, et bien souvent ça se produisait, n'importe où mais à l'abri quand même des pervers.

« On dirait que quelqu'un, a soudainement eu chaud ... »

Un sourire coquin sur mes lèvres, j'étais si heureuse à ce moment là. En califourchon sur mon homme, je sentais sa masculinité s'agiter tout contre moi. Passant mes bras longs et fins autour de sa nuque, je la massais délicatement, avant de l'embrasser d'une manière passionnée, et envieuse à vraiment vouloir, aller plus loin, ici et maintenant. Sachant que je ne portais que ma robe et qu'il me restait tout de même à le dénuder. L'embrassant toujours, je sentais la chaleur de mon corps devenir, bien plus élevée tout à coup. Laissant ma langue venir à son cou, et mes lèvres s'humidifier au contact de sa peau, j'en oubliais presque où on était, et dans quoi tout ça se passait. Dénudant son haut, petit à petit, je finis par vouloir qu'il le retire, et je l'aidais suffisamment pour ça, afin que ça ne dure que peu de temps. Un torse musclé, et rien qu'à moi. Cela me mettait en appétit et puis, je devais avoué, que je n'avais pas à me plaindre, de ce corps d'homme. Rien qu'à penser à notre étreinte sexuelle, cela me donnait quelques frétillements en bas de mon ventre.

Déposant de doux baisers sur son torse, que je ne connaissais si par cœur, mais auquel je me lassais jamais, surtout vu l'entretien qu'il y met dessus. De baisers plus doux je passais à des plus sensuels, le caressant même avec celles-ci et le bout de ma langue. Avant de remonter pour l'embrasser dans le cou et par la suite, sur le rebord de ses lèvres que je finis par me délecter en les suçant légèrement, par plaisir du jeu. Je sentais légèrement la brise de l'extérieur venir, sur ma peau chaude voir même brûlante. Cela me faisait frissonner mais je n'avais point froid, car mon homme avait un corps encore plus chaud que le mien, et j'avouais qu'en plein hiver, à me blottir dans ses bras, je n'avais jamais froid. Caressant de la pointe de mes doigts, son torse, ses épaules et son visage. Je pouvais le reconnaitre les yeux fermés, car j'ai toujours été tactile sans doute une déformation professionnelle, mais je ne pense pas que mon homme s'en plaigne, tant que ça. Un baiser si long, d'échanger que cela me faisait partir loin d'ici, mes mains dans ses cheveux, elles se mélangeaient ainsi avant que je revienne, à son torse si musclé.

« Jamais un homme, m'a autant donné l'envie, de faire l'amour ... dans une voiture »

dis-je en rigolant, tout en lui ayant susurré cela à l'oreille, que je mordillais, et embrassait légèrement.
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Zac Winston

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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyDim 24 Avr - 17:09

La nuit était belle et la soirée se finissait doucement sur les chapeaux de roues. Après avoir diner en amoureux dans un magnifique restaurant de l’ancien quartier Ferguson, dans lequel nous avions vraiment bien mangé, et après avoir fait un petit tour à pied, rien que nous deux, voila que nous nous dirigions lentement vers notre quartier. Vers notre chez nous, l’endroit où nous nous sentions le plus à l’aise et le plus en sécurité. Certes, la guerre était fini désormais et un traiter de paix avait été signé entre nos deux clans, cependant, nous n’étions pas totalement à l’abri d’une attaque d’un partisan de la guerre. D’un homme n’ayant cure des nouvelles règles établies et voulant continuer sa petite guerre personnel. C’est pourquoi je restais toujours sur mes gardes. Mes sens étaient toujours tournés autour de nous pour plus de sureté et de sécurité. Je ne voulais pas subir une attaque et voir Serena blessée par ma faute. Il était évident qu’il restait encore certaines personnes capables du pire. Toutes les villes du monde de toute manière avaient son taux de criminalités. Quel qu’il soit. Toujours est-il que nous avions passés un agréable moment dans le quartier Ferguson et que nous avions désormais l’envie de rentrer, de nous rapprocher de chez nous, dans un climat de confiance et de sureté plus grand que ce que nous ressentions ici. Malgré le traité de paix, la peur était toujours présente.

Alors que je conduisais doucement dans les rues de Volusia, nous rapprochant de chez nous petit à petit, je pouvais voir du coin de l’œil Serena entrain de m’allumer tout doucement, enlevant un à un ses sous-vêtements tout en gardant sa robe, venant m’agiter le tout sous le nez. Je souriais et sentais une certaine envie et une chaleur m’envahir. D’un seul coup, la température à l’intérieur de l’habitacle venait d’augmenter de manière extraordinaire. Allait-on pouvoir attendre d’être arrivé avant que l’un de nous deux ne craque ? Je n’en étais pas si sûr. Surtout que pour ma part, l’envie se faisait beaucoup plus grande rien qu’en imaginant ce qui pouvait se passer dans la voiture. Souriant toujours, je sortie des rues principal et m’engagea dans un petit sentier, à l’abri des regards et des autres circulations. Coupant le contact et les phares pour passer vraiment inaperçus, voila que j’attirais ma futur femme dans mes bras et la laissais s’installer à califourchon sur moi alors que je trouvais ses lèvres. L’embrassant avec plus de passion, je souris entre deux baisers avant de l’entendre et de répondre à son autre provocation.

« Je dirais même qu’ils sont deux à avoir très chaud en ce moment même… »

Soufflais-je avant de l’embrasser une nouvelle fois. Je frissonnais de plus en plus sous ses caresses alors que ses lèvres se dirigeaient dans mon cou, et après quelques secondes à profiter pleinement, je me redressais légèrement et l’aida à me retirer mon haut qui fini par valser sur les sièges arrières. Ses lèvres glissèrent alors lentement sur mon torse et je me mordais légèrement la lèvre en sentant l’excitation et le désir monter de plus en plus. Mes mains passèrent avec douceur dans son dos avant de descendre sur ses cuisses pour lui remonter très légèrement sa robe, alors que je retrouvais avec plaisir ses lèvres qui me faisaient envie. Je sentais l’excitation m’envahir totalement et la chaleur prendre mon corps de part en part. La bosse qui avait pris place dans mon jean commençait à forcer pour pouvoir sentir et je soupirais doucement de plaisir sous chacune de ses délicates caresses.

« Hum… dans ce cas j’espère que ce moment va être inoubliable alors »

Répondis-je sur le même ton, dans un murmure alors que, tournant mon visage vers le sien, je plongeais mes lèvres dans son cou et que je sentais les frottements de nos deux corps nous amener petit à petit au moment tant désiré et attendu.
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MessageSujet: Re: To have a part of you, makes me happy (Zac)   To have a part of you, makes me happy (Zac) EmptyMer 27 Avr - 17:23

Un moment tendre, un instant passionnel nous attendaient là. J'avais eu d'autres hommes dans ma vie, mais celui-ci, écoutait parfaitement mes envies, et connaissait tellement bien mon corps que je n'avais plus à lui montrer les zones, sensibles auquel il pouvait toucher, à volonté. Je ne savais pas pour sa part, si j'étais l'amante parfaite mais il ne manquait pas d'amour et de sexe, car c'était sans doute ce que nous partagions le mieux, et le plus, tous les deux. Je n'avais pas besoin de mieux, car Zac me convenait parfaitement, comme s'il avait été fait sur mesure pour moi. Pourtant il n'a pas toujours été l'homme à une seule femme, car il a déjà eu des histoires avant, et dont la dernière avant moi, qui s'était mal terminé. Parfois je me demandais, s'il ne regrettait pas sa mort, enfin s'il ne s'imaginait pas sa vie possible, si cette jeune femme, avait été en vie. Peut-être qu'il aurait eu mieux, ou bien qu'il aurait eu pire. De toute façon j'ai toujours été moi-même et, il m'a prise alors tel que j'étais, bien avant qu'on sorte ensemble. Je ne jouais pas de jeu, ou je ne cherchais pas à devenir ce qu'on aurait voulu de moi. Si j'avais écouté mon père, alors il m'aurait façonné en une véritable guerrière, un vrai garçon manqué, mais je crois que j'aurais quand même, gardé cette part de féminité, en moi. Je ne passe pas des heures devant un miroir, ou bien pour me pomponner, car d'une part je prône avant tout la côté naturel chez une femme, et puis cela n'est pas vraiment ma tasse de thé. En dehors des massages, les soins ne sont pas ce que j'ai en moi. Le très peu de maquillage que j'ai sur moi, me suffit et je crois pas que Zac aimerait le côté trop parfait, trop barbie et faux, d'une femme fashion.

Je préfère avoir des vêtements qui me ressemblent plutôt que des vêtements à la mode. D'ailleurs mon style m'appartient réellement, car on ne retrouve pas tellement cela, chez les autres jeunes femmes, et tant mieux car j'aime mon originalité, mon côté unique. J'écoutais mon corps et mes besoins, et je m'arrangeais pour lui donner ce qu'il faut, quand il en a le besoin. Et le seul besoin que j'ai en ce moment, c'est d'avoir mon homme, en effusion totale tout contre moi. Peu importait l'endroit, ou bien la température extérieure, j'avais envie de lui et il ne pouvait lui-même pas résister bien longtemps à son envie. J'avais prit possession de ma place sur lui, je sentais une certaine tension sexuelle entre nous, et même au bout de trois années, j'éprouvais toujours mon envie pour lui, et il me plaisait toujours autant. Voir même il devenait à mes yeux de plus en plus, séduisant, beau et je pense que son perfectionnement en sport, et sans doute l'amour, n'y étaient pas pour rien. J'étais entièrement nue sous ma robe noir, et il ne faudrait que très peu de temps pour que je dénude assez mon homme, afin que nous ne fassions qu'un. Nul besoin de tout dévêtir au cas où, on nous surprenait. Son torse me donnait toujours l'effet d'une bombe devant mes yeux, ils brillaient et j'en avais l'eau à la bouche, rien de l'avoir tout contre la paume de mes mains.

Frôlant la peau de son torse, avec mes lèvres je le sentais faiblir à cause de ma personne, un sourire malicieux se dessinait sur mes lèvres, car j'aimais toujours lui faire de l'effet, cela me rassurait en quelque sorte. Et me donnait l'envie de continuer plus encore. Dénouant les boutons de son pantalon, pour à mesure libérer ce qui coinçait entre deux vêtements. Il avait envie de moi, plus aucun doute, en sentant sur mes doigts, la dureté de son objet du plaisir. Glissant son pantalon et son boxer un petit peu plus avec son aide, je pouvais enfin avoir entre mes mains, sa masculinité. Caressant celle-ci, elle ne m'était plus du tout inconnu, et je prenais en main, l'initiative à le faire grossir un peu plus, et à donner du plaisir à mon homme, avant qu'on s'envole, bien plus loin tous les deux. Quelques mouvements de mains, et je jouais avec son service trois pièces, le regardant fixement pour voir, s'il prenait autant de plaisir que je voulais lui en donner. Je l'embrassais de temps à autre, tout en continuant ma progression, sans aucune peine, car ça m'excitait également tout ça.

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