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 When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]

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When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] Vide
MessageSujet: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyMar 11 Mai - 20:46

    6 heures. C’est l’heures a laquelle le réveil de Chris retentit, avec pour sonnerie la douce voix de Gary Jules, qui lui fit ouvrir les yeux au monde. Chris avait vraiment l’impression que cette chanson avait était écrite pour lui, je parle bien entendu de la chanson Mad World, celle qui parle d’un enfant vivant dans un monde ou personne ne le voit, et où il est invisible. Pour notre beau blond, l’histoire était très semblable. Il était seul, très seul, dans ce monde qui lui tendait les bras, mais seulement pour mieux l’étrangler après. Et oui, parfois la vie n’est pas aussi simple que l’on veux bien se le dire, et elle est surtout faite d’obstacle qu’il faut sans arrêts franchir et ceux, sans baisser les bras. Tout un programme en somme.

    Mais notre blondinet savait pertinemment que sa vie n’allait pas être de tout repos, surtout quand on savait qui il était vraiment. Un enfant assez solitaire, rien que cet aspect de sa vie faisait du quotidien un véritable challenge. Il doit tout les jours porter un masque, et paraître quelqu’un d’autre aux yeux de tous au lieu d’être comme il était. La raison ? Il ne voulait pas être exclu, et mal aimé au yeux de tous juste parce qu’il est différent. Et encore, en quoi aimer les hommes est t’il un crime ? Si s’en était un, pas mal de personne serait dans la m*rde. De plus, si jamais ça se savait à l’université, pas mal de personne le jugerai, et cela, il ne le voulait pour rien au monde. C’est donc pour cette raison qu’il préfère « paraître » plutôt qu’ « être »

    Ce n’était certainement pas le bon choix a faire, mais c’est ce qu’il avait choisit pour le moment. Manque de courage ou peur ? Peut importe la raison, les faits étaient les même. C’est alors le plus naturellement du monde que Chris se sépara de sa couette, a son plus grand regret, pour ensuite allez retrouver sa cuisine et plus particulièrement sa cafetière, afin d’y faire couler un bon café, l’élément lui permettant de bien commencer sa journée, et d’éviter de s’endormir en plein milieu. Une fois sa tasse prise, direction l’université afin de commencer la dure journée qui l’attendait. Il pris alors sa voiture, et se rendit alors sur le parking, pour y garer sa voiture, tombant en ruine, avant de la fermer et de gagner son premier cours.

    Chris avait toujours été bon en toute les matières et il n’a même jamais révisé le moindre cours, n’en ayant vraiment pas besoin. Son excellente mémoire lui permettait de ne faire qu’écouter en cours, et de ressortir l’ensemble du cours sur papier. Et oui, certaines personnes naissent avec cette particularité, et cela lui a bien profiter. Mais le problème est qu’à l’université, ça ne suffit pas. Il fallait travailler, et Chris n’en avait franchement pas envi. Il se répétait sans cesse qu’il fallait qu’il s’y mette, que ce qu’il faisait était important pour sa vie future, mais rien n’y faisait. Il continuait a être autant borné, et à vraiment faire le « touriste » durant les heures de classes. En même temps, les professeurs ne l’aidait pas vraiment, car plus ennuyeux qu’eux, c’était impossible.. Il fallait donc qu’il tienne ainsi une journée entière, regarder dans le vide, à mettre en ordre ses pensées, et a de temps en temps faire de léger mouvement de tête de bas en haut, histoire de faire croire qu’il suivait et qu’il comprenait. Alala, la vie d’étudiant…

    Mais bon, tout cela pris fin vers 15 heures, car il devait se rendre au gymnase, afin de rejoindre son équipe. Et oui, notre beau blond fait parti d’une équipe de basket-ball et s’y plait bien d’ailleurs. Le basket avait un effet relaxant chez lui, et allez savoir pourquoi… En tout cas, cela lui permettait d’évacuer toute la colère qu’il accumulait au fil de la journée, et au fil de sa vie. Le sport était un très bon moyen de remettre les compteurs a zéro, du moins, pendant le temps de l’entraînement. De plus, il avait une bonne raison de s’y rendre, et cette raison était l’entraîneur, Tyler Ferguson. Je ne vais pas revenir la dessus, mais Chris en était dingue, et rien que de le voir, si beau et si parfait le faisait sourire comme un enfant.

    C’est donc une fois arrivé que Chris se mit en tenue, et alla rejoindre le reste de son équipe sur le terrain, ainsi monsieur Ferguson. Tout le monde était présent, et il ne manquait plus que lui. Il souri alors a Tyler, puis écouta alors les consignes du jour, qu’il exécuta dans discuter. L’entraînement fut intense, et a la fin, il était vraiment épuisé. Il pris alors une serviette posé sur un banc afin de s’éponger le front, tout en regardant Tyler Ferguson se diriger vers la sortie, son sac sur l’épaule. Chris profita alors du spectacle, mais vraiment très discrètement afin de ne pas se faire voir par tout le reste de l’équipe.

    Une fois Tyler partit et les membres de l’équipe ayant déjà pris leur douche, Chris se dirigea a son tour vers les vestiaires, afin de se doucher avant de repasser de nouveaux vêtements. Il alla alors sous l’eau chaude, et était donc seul dans ce grand espace vide, ou seul le bruit de l’eau retombant sur le sol était perceptible. Après une dizaine de minutes passé à sentir les gouttes d’eau perler sur sa peau, il décida d’y mettre fin, et retourna donc dans les vestiaires, afin d’y prendre une serviette, et de la rouler autour de sa taille. Il chercha alors frénétiquement dans son sac de sport, a la recherche d’un boxer d’un jean pour ensuite aller les enfiler dans la pièce d’à côté.

    Quand il revint dans les vestiaires afin d’y récupérer ses affaires, et enfila par la même occasion un débardeur noir tout en fermant son sac. Soudainement, une voix se fit entendre, ce qui le fit sursauter. Mais qui pouvait donc être ici a cette heure ci ? L’entraînement étant terminé, personne ne devait se trouver ici. Il décida alors de se retourner, et c’est alors qu’il vit alors cet homme, dont il n’arrivait pas a oublier le visage, l’homme qu’il avait vu une seule et unique fois. Il n’y croyait pas, mais c’était bel et bien lui… Chris, ferme la bouche, on dirai un poisson hors de l’eau !
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyMar 11 Mai - 22:21

La haine est peut être le sentiment le plus fort sur cette terre avec l’amour. Pourtant, pour James, on lui a enlevé l’amour pour laisser place à la haine. Depuis ce jour, James n’a plus de cœur, il ne vit que pour une chose venger la mort de sa mère. On lui a enlevé la seule femme qu’il aime, celle qui comptait plus que la prunelle de ses yeux. Même si tout cela remonte à 9 ans en arrière, il s’en rappelle comme si c’était hier. Comment peut-on oublier qu’on vous a arraché votre mère alors que vous étiez âgé d’à peine 15 ans. Cette épreuve à faire de lui l’homme qu’il ai aujourd’hui. Un homme aigri qui ne vit que par son désir de vengeance. Heureusement, ses conquêtes lui redonne tout de même le sourire le temps de quelques heures. C’est vrai qu’il est difficile de sourire quand on a perdu les êtres qui compte le plus pour nous. James ne déroge pas à la règle. Et même si il a intégré la famille Attwood, il lui arrive encore de se sentir seul et de pleurer. Il le fait le plus souvent lorsqu’il est seul. La vie n’est pas un long fleuve tranquille. Pour James, il est maintenant dans un fleuve où les rapides ne se font que permanant, il doit batailler pour ne pas se noyer. Pourquoi ? Pour sauver la mémoire de ses parents. Avoir abandonné son père pour venger sa mère… Il ne s’en veut pas, il a bien plus important à faire pour l’instant. Mais peut importe, de toute façon, il n’est plus que l’ombre de lui-même. La vie du jeune Johnson est mouvementée, il s’est engagé dans une guerre qui le dépasse parfois, mais la haine est là pour le rendre encore plus hargneux. Arrêtons là ce résumé et laissons place au présent et donnons la parole à James Johnson.

Aujourd’hui était un jour spécial pour moi… Et oui, j’avais décidé de faire une visite surprise à notre cher Tyler Ferguson. Certes, le fait de venir le voir seul n’était peut être pas une très bonne idée. Mais en tout cas, je voulais voir le visage d’un de ses enfoirés qui avaient donné la mort à ma mère. Je l’avais déjà croisé, mais je n’avais pas pu lui adresser la parole. Peu importe maintenant que je savais où il travaillait, j’avais décidé d’aller le voir. Et peu importe si je me prend une dérouillé et que j’y laisse ma vie, je m’en fiche, il faut que je lui crache ma haine à la figure. Du coup, c’est avec une pêche d’enfer que je m’étais levé. Une bonne douche et hop j’étais déjà parti voir les autres membres de la famille Attwood pour savoir ce qu’il se passait en ce moment. Je voulais être au courant des prochaines actions à venir. En attendant, je ne leur avait rien dit en ce qui concerne ma volonté d’aller voir Tyler. J’avais passé quelques temps là-bas avec la ferme intention de me préparer à cette rencontre. Je m’étais entrainé une bonne partie de la journée. J’avais bien transpiré et du coup, il est normal pour moi de reprendre une douche. Ca me fait du bien de prendre une douche avant de partir au combat. Une fois habillé, c’était avec d’un pas sur et déterminé que je me dirigea vers ma voiture pour aller au gymnase.

Après quelques minutes, je finis par être devant le bâtiment. Je sortis de ma voiture et me précipita à l’intérieur du gymnase. J’espérais qu’il n’y avait plus personne ici, mais en attendant je savais ce que je comptais faire, lui foutre mon poing dans la gueule. Je l’avais déjà vu donc je savais que je ne pourrais pas me tromper. Maintenant, je ne me doutais pas tomber sur un blondinet dans les vestiaires. C’est donc d’un pas sur que je passa la porte puis me dirigea vers les vestiaires. Je n’avais même pas cherché à aller vers le bureau du coach non même pas. Une fois devant la porte je l’avais ouvert d’une force que je ne chercha même pas à faire le moins de bruit possible. Mais là je me retrouva nez-à-nez avec un blondinet entrain de s’habiller. J’étais dégouté mais d’un côté, je ne pus m’empêcher de me rincer l’œil. Je ne fus pas gêné et c’est d’une voix assuré que je finis par dire.
« - Bon et bien ce n’est pas toi que je venais voir… Maintenant que je suis là… Pourquoi ne pas t’habiller et on se boit un verre ? »
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyMer 12 Mai - 0:44

    Seul dans les vestiaires, voila le seul moment de la journée ou il avait pu être réellement au calme, et surtout penser a qui il était réellement. L’homme qu’il était devenu, sur qui personne ne pouvait se faire une idée sans le connaître tellement il était d’un mystérieux intrigant. Oui, il le faisait exprès, afin que personne ne le perce a jour, ce que personne ne puisse l’utiliser en découvrant ses faiblesses. Chris était très protecteur envers lui-même, mais en même temps, si lui ne le faisait pas, qui le ferai.

    C’est donc pour cette raison qu’il préfère la solitude plutôt que de l’hypocrisie. Il préférait ne pas avoir a mentir plutôt que de s’inventer une vie. Malheureusement, le monde étudiant n’est pas rose, et c’est pour cette raison que notre Chris avait pris la décision de se cacher, de dissimuler sa véritable personnalité au yeux de tous pour mieux se préserver lui-même. Le sport l’aidait beaucoup a se sentir « normal » mais il savait bien que c’était impossible tant qu’il ne s’assumait pas.

    Pour en revenir a la situation dans laquelle il se trouvait maintenant, lorsqu’il commença a passer son t-shirt, il entendit alors la porte des vestiaires. Serait-ce un élève ayant oublié quelques choses ? Ou peut être le coach voulant lui parler ? Mais bien sur que non, pourquoi aurait t’il envie de lui parler ? Non, ça c’était sûrement un fantasme de notre beau blond… Mais il ne se doutait pas que la personne ayant débarqué dans la même pièce que lui n’était autre que l’homme qu’il avait rencontré quelques temps auparavant.

    Et oui, le beau brun se trouvant derrière lui n’était autre que l’un des hommes du clan Attwood, et j’ai nommé James Johnson. Le jeune Carter l’avait vu une seule et unique fois, et dans une rue. Très banale comme rencontre vous me direz, mais ce que vous ne savez pas, c’est que Chris est vraiment tombé sous le charme de ce jeune homme dès la première fois qu’il l’avait vu. Mais le plus drôle dans cette histoire, enfin pas drôle pour Chris bien sur.. C’est que James et Chris ne se sont jamais parler, et le seul lien qui le liait a lui, était un bref regard qu’il lui avait adressé. Rien de bien excitant en gros…

    Et ce fut alors au grand étonnement de Chris qu’il vit alors cet homme, droit devant lui et a coté de la porte. Mais comment pouvait t’il réagir ? Il essaya de rester le plus stoïque possible tout en essayant de ne pas le fixer non plus. Dure chose a faire d’ailleurs. Il avait la bouche ouverte, mais bien sur il la referma vite, une fois ses esprits reprit. Il entendu alors le jeune homme lui dire la phrase

      « - Bon et bien ce n’est pas toi que je venais voir… Maintenant que je suis là… Pourquoi ne pas t’habiller et on se boit un verre ? »


    Non, il n’en revenait pas. Ses yeux se grossirent aux paroles de James, mais il se secoua la tête afin de sortir les idées qui fusait dans sa tête. Il analysa alors la phrase qu’il venait de dire. Il venait vraiment de l’invité a boire un verre avec lui ? Impossible… C’était trop beau pour être vrai. Mais bon, il n’allait pas lui dire qu’il n’y croyait pas, pour qui allait t’il passer. Il lui répondit alors en essayant de prendre un air vraiment calme et posé


      - Euh… Ok, laisse moi le temps de prendre mes affaires, et je suis a toi..

    Je suis a toi ?? Non mais pourquoi avait t’il dit ça. Il essaya de se rattraper mais aucun mot ne sorti de sa bouche. Bon, bah tant pis, il allait assumé ses paroles lourdes de sens. Il mit alors ses chaussures d’un geste habile, et ferma son sac avant de le prendre sur son épaule. C’était parti, il allait boire un verre avec cet homme, sur lequel il avait flasher quelques semaines auparavant.


      - Je suis prêt… Au fait, moi c‘est Chris. Chris Carter…

    Il tendit alors la main en direction de James, afin d’officialiser les présentations. Il n’allait pas lui dire qu’il le connaissait, car il aurait demandé d’où il connaissait son nom, et étant très mauvais pour les mensonges, ça n’aurai rien donné de bon. Alors, autant ce taire et faire comme si de rien n’était. En lui tendant la main, Chris lui fit son plus beau sourire, ne pouvant plus cacher sa joie. Ressaisit toi, Chris…
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyJeu 13 Mai - 2:34

En arrivant ici, je ne pensais vraiment pas tomber sur un blondinet. Mais que voulez-vous, j’étais tellement obnubilé par mon désir de vengeance que pour moi c’était sur, je tomberais sur Tyler et non sur un inconnu. La haine vous rend aveugle et c’est vrai que c’était tout de même pratiquement sur qu’il ne serait pas là. Du moins, pas à 100% et pour preuve, quand j’ouvris la porte des vestiaires sans même chercher à aller dans le bureau du coach… Je tomba rapidement sur un blondinet entrain d’enfiler un tee-shirt. Je n’allais pas me gêner pour mater. Après tout, je suis un homme et j’aime me rincer l’œil comme ça. En plus, je ne pouvais pas le nier, il était plus que bien foutu. Un petit gars à mon gouts mais passons, je n’allais quand même pas lui sauter dessus sans même avoir fait sa connaissance ou du moins sans même savoir son nom.

C’est donc pour cette raison que je lui avait dit d’une voix plus que certaine que maintenant que j’étais ici et que je n’avais pas envie de rester seul et bien qu’on pouvait boire un verre ensemble. D’ailleurs, il en fut quelque peu surpris… Je ne dit rien face à ce visage ébahi mais en tout cas, j’étais flatté de voir que je lui plaisais. Bah oui, il me plaisait lui aussi donc de savoir que c’était réciproque, ça fait plaisir. Il finit par refermer la bouche enfin pas longtemps vu qu’il me répondit bien rapidement qu’il était d’accord et que le temps de ranger ses affaires et il serait à moi. Je ne pus m’empêcher de sourire en attendant cette phrase et était d’un naturel franc et dragueur je ne pouvais pas m’empêcher de réagir face à une telle phrase.

« - Et bien, si tu es tout à moi… Je vais surement en profiter alors ?! Comment refuser une telle invitation. »

C’est vrai que j’avais surement été un peu fort dans ma phrase. Mais d’un côté, il l’avait peut être un peu cherché. Et même si ce n’était pas vraiment son but en sortant cette phrase lourde de sens, j’avais décidé de le rendre encore plus gêné et peut être le faire rougir. Je suis sur qu’il serait encore plus craquant avec du rouge sur les joues. En attendant, il avait continué de ranger ses affaires. J’en avais profité pour le mater encore un peu plus et plus particulièrement ses fesses. Bah quoi, si j’ai des yeux, c’est bien fait pour m’en servir non ? En attendant, j’en profitais pas mal… Il n’avait tout de même pas mis longtemps avant de fermer son sac. Il se retourna donc vers moi tout en me disant qu’il était prêt et qu’il s’appelait Chris, Chris Carter. Une joli prénom quand on y pense. Ni trop grand, ni trop petit. Mais passons, le prénom n’était pas le mieux, ce que j’avais en face de moi l’était bien plus. Il m’avait également tendue la main, main que je vins serrer tout en me présentant à mon tour..

« - Et bien moi c’est James, James Johnson. Ravis de faire ta connaissance… 

-Aller, on va se boire un verre ? Je t‘invite… »

Une fois les présentations faite et cette invitation à boire un verre, nous nous dirigeâmes vers la porte de sortie. Par où commencer pour faire connaissance. Je n’étais pas gêné bien au contraire. Mon assurance était tout au dessus de ma timidité. Il faut dire que la haine m’avait totalement changé. Maintenant, je suis sur de moi, sans barrières entre moi avec les autres. Il faut dire que j’avais fait pas mal d’effort pour avoir un beau corps et cette détermination. Donc pourquoi avoir peur de faire la rencontre de ce blondinet plus que sexy ? Non franchement, la peur n’était pas mon sentiment premier bien au contraire. Je finis donc par lui demander d’un ton naturel.

« - Alors tu es sur d’être à moi maintenant ? Parce que bon, il faudrait que je le sache ?! Bon j’arrête de te taquiner… Dit moi ? Ca fait longtemps que du fait du sport ici ? »

Question qui commence fort avec sa petite phrase lourde de sens et puis après, une questions plus censées et surtout moins basées sur le cul. Mais passons, j’attends maintenant sa réponse en espérant en savoir plus sur Tyler. En attendant, je profite de Chris un maximum. Que vas nous mener cette rencontre assez spéciale…
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyVen 14 Mai - 0:23

    Si un jour quelqu’un serai allez voir notre jeune Carter et lui aurait dit qu’il reverrai un jour le merveilleux homme qu’il avait rencontré dans la rue quelques temps auparavant, il ne l’aurai jamais cru. En même temps, en admettons que vous rencontriez un homme, qui pour une raison qui vous est inconnue, vous plait et vous attire. Combien sont les chances de le revoir alors que vous n’avez pas échangé un seul mot tout les, deux ? Juste un simple regard, et encore qui ne voulait vraiment rien dire. Pourtant, cela c’était produit.

    James Johnson était la, en chair et en os, devant Chris qui lui était vraiment sous le choc, et ça se voyait. Il avait la bouche grande ouverte, et les yeux écarquillés devant cette présence dans la même pièce que lui. Était-ce vraiment possible ? Est-ce qu’en fin Chris aurait le droit a un petit peu de choses positives ? Car depuis sa plus tendre enfance, il n’avait pas tellement eu de chance dans la vie, mais la, le retour de Karma était sûrement en train de faire effet, et tant mieux pour lui.

    Grâce a cela, maintenant il avait la chance qu’un de ses rêves du moment se réalise, à savoir connaître mieux le jeune Johnson. Et contre toutes attentes, se moment arriva alors, plus vite que ce qu’il aurai pu penser. Et oui, les premières paroles qui sortirent de la bouche de cet homme furent pour l’inviter à boire un verre. Il faut dire qu’il n’y allait pas par quatre chemins, et cela était fort apprécié. C’est alors que Chris répondit par la positive a sa proposition, et même en lui répondant avec une phrase vraiment lourde de sens. Mais en même temps, James fit de même quelques secondes plus tard, en lui disant qu’il devait profiter de lui.

    Quand il eu dit ses mots, Chris se sentit vraiment mal a l’aise. Il savait qu’il n’aurai jamais du dire ses mots, mais maintenant que c’était fait, il ne pouvait plus revenir en arrière, donc autant assumer les conséquences de se actes, non ? En tout cas, il ne pu contrôler un effet physique, à savoir qu’un léger rougissement apparu sur les joues. Il était gêné certes, car il savait que James n’avait même pas idée de ce qui se passait dans sa tête, mais maintenant, il en avait un petit aperçu, et il faut dire qu’il ne facilitait pas les choses avec ses paroles.

    Il se présenta sous le nom de James Johnson, et Chris fit un signe de tête, comme pour lui dire ‘’ ok ‘’ malgré le fait qu’il le savait déjà. Mais bon, il valait mieux que ça reste comme ça, et que James ne sache jamais que Chris avait fait sa petite enquête personnelle afin de plus en savoir sur lui. Bon, d’accord, il n’avait qu’une seule information et c’était son identité, mais c’était déjà beaucoup pour lui. Bref, maintenant, il pouvait aisément l’appeler par son prénom. Il précisa par la suite qu’il l’invitait a prendre ce verre avec lui, et lui re-demanda confirmation. Pourquoi Chris aurai t’il changé d’avis, vu l’importance de l’homme qui lui proposait ?


      - Oui, on y va. Et merci…


    Chris fit alors son plus beau sourire, puis ils se dirigèrent alors vers la sortie, tout en se dirigeant vers le parking ou toute les voitures étaient garées. Pendant la route, James lui demanda alors si il était encore sur d’être a lui, et qu’il fallait que je le dise, car il avait besoin de savoir. Les joues de James repartirent vers le rouge de plus belles, ne sachant vraiment pas quoi répondre a cet homme. Au plus profond de lui, il voulait dire oui, afin qu’il se rende compte qu’il n’était pas totalement insensible à son charme, mais il ne le fit pas. Sa timidité créait un véritable fossé niveau sentiments, et il avait du mal a le sauté, bien que l’envie en soit présente. La seule chose qu’il trouva a répondre fut un vulgaire


      - Euh… Je ne sais pas… enfin, je veux dire…


    C’est alors a ce moment que James lui dit alors qu’il arrêtait de le taquiner, et que Chris s’en sentit vraiment soulagé. Il soupira alors, puis décida de répondre a sa deuxième question, qui traitait de sa fréquence de sport dans ce gymnase. Il n’avait commencer le basket qu’à son entrée a l’université, et n’en avait pas vraiment fait avant. Mais bon, le basket était vraiment une bonne chose de sa vie d’étudiant en médecine.


      - Je viens ici faire du sport depuis que je suis arrivé a l’université. Je voulais absolument un moyen de me vider la tête, autre que l’alcool ou la drogue. Je me suis donc renseigner auprès du coach Ferguson, et il m’a tout de suite accepté dans l’équipe après lui avoir prouver de quoi j’étais capable. Et maintenant, je suis dans l’équipe de basket-ball, et ça m’aide beaucoup a me vider la tête.


    **Chris, arrête de lui raconter ta vie alors qu’une durée aurait suffit a lui répondre ! Il n’en a rien a faire de ta vie, donc reprend toi, et répond lui sans allez plus loin ! Bon allez, change de sujet** pensa-t-il


      - Et toi, qui cherchait tu ? Tu m’as dit que je n’étais pas la personne que tu cherchait, mais que tant qu’a faire… Remarque, je suis content que tu ne l’ai pas trouver…


    Alors la, c’était le pompon. Pourquoi ne pas lui dire ce que tu ressent pendant que tu y es ? Chris venait de faire une petite gaffe, mais bon, il en faisait tellement qu’elle passerai peut être inaperçue.. Ils continuèrent d’avancer ensemble, Chris fuyant le regard de l’homme se trouvant a coté de lui. Ses joues étaient tout aussi rose, mais il ne voulait pas que James s’en rende compte, sinon, il serait mort de honte.
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyDim 16 Mai - 0:14

Etre dans ce gymnase avait été source d'adrénaline pour moi. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que l'idée de voir un des membres de la famille qui avait tué ma mère me rendait fou de rage et désireux de vengeance. Mais c'était loin d'être une nouveauté. Depuis maintenant 7 ans, je voue une haine totale à ce clan. Pourquoi être rentré dans la famille des Attwood ? Bref, passons, je m'étais vite rendu compte que je ne verrais pas Tyler et c'est comme ça. En attendant, j'étais en charmante compagnie, un étudiant blondinet de surcroit et qui avait un charme fou. Je n'allais quand même pas joué les sainte nitouche, il me plaisait et l'idée de le mettre dans mon lit m'avait éfleuré l'esprit. Et puis, il faut le dire, le fait de le voir entrain de mettre son haut m'avait rendu la tâche encore plus facile. En plus, il avait continué à enfoncer le couteau dans la plaie en disant qu'une fois prêt, il serait tout à moi. Cette phrase m'avait rendu fou et je dois avouer que si je m'étais écouté, j'aurais surement été vers lui pour l'embrasser langoureusement. Mais tout de même, je ne connais que son prénom... N'allons pas trop vite.

Bref, il était prêt et je l'invita une nouvelle fois à boire un verre tout en disant que je l'invitais. C'est vrai que j'en avais envie et puis bon, j'étais déçu de ne pas être tombé sur le jeune Ferguson. Attention, je ne prend pas Chris comme un lot de consolation, pas du tout. Mais disons que si Tyler avait été là et bien je ne me serais pas attarder sur ce magnifique blondinet. Je n'avais pu m'empêcher de le taquiner sur sa phrase lourde de sens. Je voulais voir comment il réagirait si il resterait sur de lui ou si au contraire il finirait par se sentir gêner et qu'il bafouillerait. Dans un sens ou dans un autre, cela ne m'empêchera pas de boire un verre avec lui et de qui sait le draguer pour aller plus loin que discuter autour d'un verre. Il avait choisi la 2ème option... Il avait tout simplement dit qu'il ne savait pas et termina par un "enfin je veux dire...". Pas très claire comme réponse mais passons. En attendant, j'avais vite dit que je le taquinais et c'est d'ailleurs pour cette raison qu'il ne continua pas sa phrase. Il préféra dévier sur la question que je lui avais posé, celle sur le sport.

Il commença donc un petit monologue dans lequel il disait qu'il faisait du sport depuis son entrée à l'université et qu'il avait décidé de faire du sport pour se vider la tête. Bon choix, comme il l'a très bien dit ça évite qu'il se drogue ou qu'il boive. Il finit par parler du coach, le gars que je voulais voir. Mais passons, c'était pas le plus important, je ne voulais pas qu'il pense que je vienne voir le jeune Ferguson. Mais c'était sans compter la curiosité de ce blondinet plus que sexy. Il avait finit par me demander qui j'étais venu voir. Je ne voulais pas lui cacher et donc je lui répondit franchement.

" - Et bien j'étais venu voir ton coach, j'avais des affaires à régler avec lui... Mais ne t'inquiète pas rien de bien méchant... "

Il avait dit quelque chose qui m'avait fait sourire. Il était content que je n'ai pas vu la personne que je cherchais. Il avait le don de sortir des phrases lourdes de sens. Mais ça me plaisait. Il était spontané et c'était un plus pour moi. Du coup, c'est avec le sourire que je finis par ouvrir la bouche pour lui dire.

" - Et bien je ne suis pas déçu d'avoir fait ta connaissance... On va se boire ce verre où ? Je t'emmène où je veux ? "
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyDim 16 Mai - 3:12

    Chris était vraiment perturbé par notre cher James, et celui-ci avait l’air d’en profiter de plus. Oui, James lui disait des phrases très lourdes de sens, lui demandant si il était encore près a être a lui ou pas. Comment ne pas être déstabilisé après une phrase pareille ? Bon, Chris devait a tout pris reprendre ses esprits, et essayer de ne pas montrer a quel point il était déstabilisé. C’est donc avec un effort surhumain qu’il réussit alors a bégayer une phrase, qui ne voulais pas dire grand-chose, mais au moins, il ne paraissait pas totalement bête. Ou pas… En disant cette phrase, Chris passait pour un homme ne trouvant pas ses mots, et qui était totalement hors de contrôle. Rien que le fait de parler avec James était déjà pour lui très stressant et lui demandait beaucoup de courage, alors si en plus il lui balançait des phrases dans le genre, Chris n’allait pas tenir longtemps et finirai par faire une chose qu’il risquerai de regretter par la suite.

    Mais bon, afin de ne pas paraître idiot, Chris changea vite de sujet, et commença alors à lui parler du sport, l’un de ses passions. Il adorait allez en sport, et non, ça n’était pas que pour son magnifique coach. Bon d’accord, il y contribuait beaucoup, mais il y allait aussi afin de se détendre, d’oublier ses problèmes et tout le reste de sa vie. Le sport lui permettait de se démarquer des autres jeunes, car lui ne touchait pas a la drogue, ni a l’alcool. Oui, Chris était fier d’être l’un de ses jeunes qui ne balançait pas leur santé par la fenêtre, en fumant ou en buvant comme les autres. Lui préférait vivre longtemps, plutôt que de mourir a petit feu. Mais il pouvait comprendre cette envie de se bousiller, et de vouloir en finir, lui aussi y avait pensé, mais il a su prendre sur lui, et a réussi a avoir une vie plus ou moins saine pour un jeune de son age.

    Enfin bon, après lui avoir déballer sa vie et le pourquoi du comment par rapport au sport, il lui demanda ce qu’il était venu faire ici, car a ces heures la, seuls les sportifs et le coach sont présent d’habitude, et non les visiteurs, qui eux ne viennent que les jours de match.. James lui dit alors qu’il était venu voir monsieur Ferguson afin de régler quelques affaires avec lui. Chris se demandait de quelles affaires il voulait parler, mais il n’alla pas plus loin dans son questionnement, jugeant sa question trop personnelle. Et puis, pourquoi embêter l’homme qui lui proposait de lui payer un verre ? Après tout, cela ne le regardait en rien étant les histoires de James… C’est donc avec un petit sourire qu’il vint clore cette discussion, et le regarder dans les yeux. Il resta plusieurs secondes a le fixer, secondes qui pour lui, paraissait une éternité, son regard plongé dans celui de cet homme. Il avait une folle envie de s’approcher de ses lèvres, d’y goûter même, mais sa raison pris le dessus, ce qu’il fit qu’il ne bougea pas d’un poil.

    Ce fut alors Chris qui lui dit alors qu’il était content qu’il ne l’ai pas trouver. C’est vrai, si il avait trouver Tyler, il ne serai sûrement pas la en ce moment. A cette phrase, il vit son interlocuteur sourire, ce qui fit qu’il sourit a son tour. Il ajouta par la suite que lui aussi n’était pas déçu d’avoir fait sa connaissance. Ce qu’il ne savait pas, c’est que cette phrase fit vraiment très plaisir a Chris, et si il avait été seul a ce moment la, il serai sûrement en train de faire l’une de ses danses débiles de dessin animés, ou le héros fait de petit mouvement pour montré qu’il est heureux.. Enfin bon, de toute façon, sa joie pouvait se lire sur son visage. Ce fut alors pour finir que James lui demanda ou il voulait allez boire un verre, ou si il le laissait choisir. A vrai dire, Chris ne savait pas du tout ou allez, étant donné qu’il ne buvait pas. Les bars étaient vraiment le dernier endroit de lequel il se rendait, et il était donc dans l’impossibilité de lui donner une adresse. Il le regarda alors et lui répondit

      - Non, je te laisse choisir où tu comptes m‘emmener, tu as tout pouvoir…


    Mais c’est pas vrai… Chris avait vraiment le don de sortir des phrases vraiment très lourdes de sens. Il ne le faisait pas exprès, mais a croire que James lui faisait vraiment dire que des phrases dans le même genre. C’est donc alors en détournant les yeux, mort de honte, que Chris se dirigea vers sa voiture, enfin, si l’on peut appelé ça comme ça, afin d’y mettre ses affaires sales de sport, et d’y ranger le reste de ses affaires. Il lutta alors avec sa voiture poubelle pour pouvoir refermé le coffre, qui était dans un état inimaginable. Une fois fait, il regarda alors James mort de honte, et lui dit alors

      - Je suppose qu’on y va avec ta voiture… Comme tu vois, la mienne tombe en ruine…


    Il attendit sa réponse tout en mettant les clefs dans sa poche. Il ne savait même pas si il avait une voiture, mais bon, ils risquaient tout les deux de tomber en panne en prenant la sienne, donc autant jouer la carte de la prudence, quitte a monter dans la voiture d’un inconnu, même si cet inconnu était vraiment très séduisant…
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptySam 22 Mai - 1:05

J‘étais vraiment venu dans un but précis, donner une leçon à l‘un des enfoirés qui faisait parti de la famille des Ferguson. J‘étais déterminé et je n‘avais même pas pensé à l‘éventualité de ne pas tomber sur Tyler. Pourtant, très rapidement, mes désirs furent détournés par l‘apparition d‘un blondinet plus que sexy. D‘ailleurs, il m‘avait très rapidement fait oublier Tyler. Je voulais me concentrer sur lui et je voulais surtout apprendre à le connaitre. Le voir passer son t-shirt m‘avait donné des envies peut contrôlable. Mais je n‘allais tout de même pas lui sauter dessus sans même m‘être présenté et puis je n‘étais pas de ce genre. J‘aimais discuter et apprendre à connaitre la personne avant d‘aller plus loin. Et puis bon, pas sur qu‘il soit gay ou bisexuel. Du coup, et bah j‘avais rapidement fait les présentations avec tout l‘assurance qui m‘était maintenant naturelle. Bref, il avait l‘air d‘être gêné en ma présence, mais en attendant j‘étais déterminé à faire sa connaissance et je lui avais fait comprendre clairement. Maintenant, Chris me lançait des phrases lourdes de sens qui d‘ailleurs me faisait beaucoup sourire. Je rebondissais à chaque fois sur ces phrases là et ça le gênait encore plus. Lorsqu‘il rougissait, je le trouvais encore plus craquant. Mais je n‘allais pas lui dire comme ça.

En attendant, nous avions parlé de ma raison ici et il n‘avait pas trop relevé le fait que je sois venu voir son coach. Il m‘avait dit les raisons de son choix à faire du sport et je trouvais ça touchant et admirable. Au moins, il ne tomberait pas dans la drogue ni l‘alcool. J‘avais trouvé ça très appréciable… C‘est pas tout les jeunes qui diraient ça. Je suis entrain de passer pour un vieux con, mais c‘est vrai quoi. Bref, une fois prêt, nous avions pris le chemin de la sortie et du parking. Je voulais savoir si il avait une idée de lieu où on pourrait boire un verre. Il retomba dans les phrases lourdes de sens et il finit par dire que j‘avais tout pouvoir. Cette fois-ci s‘en était trop.. Enfin si je m‘écoutais surtout, je l‘aurais attiré vers moi pour l‘embrasser… Mais je ne fit rien et je retomba une nouvelle fois dans la dérision même si la phrase que j‘allais dire, je la pensais vraiment.

« - Ecoute si je m‘écoutais Chris, je crois que je serais déjà entrain de gouter à tes lèvres… Alors si tu me dis que j‘ai tout pouvoir, je vais surement le faire quoi… »

J‘avais pas été trop loin, mais en tout cas, j‘avais été franc quoi. Nous étions à présent sur le parking. Il s‘était dirigé vers sa voiture et je dois dire que je m‘étais retenu pour ne pas rire. Non pas que j‘avais pitié de lui, mais surtout parce que je trouvais que ça ne collait pas trop avec son image. En attendant, il m‘avait invité à prendre ma voiture parce que vu la sienne je ne voudrais pas monter dedans et surtout, nous tomberions surement en panne. C‘était peut être vrai, mais en attendant, ce n‘était pas parce qu‘il avait une épave que j‘avais honte de lui bien au contraire. Au moins, il ne vivait pas au dessus de ses moyens et ne faisait pas tout pour épater la galerie. Encore une qualité appréciable. Je ne savais pas trop quoi lui dire mais en tout cas, nous nous dirigeâmes vers ma voiture. Je ne savais pas encore où nous allions aller. Une fois à la hauteur de la voiture, je me tourna vers lui…

«  - Tu sais c‘est pas grave pour ta voiture. Je m‘en fiche totalement.. En tout cas, tu ne cherche pas à épater la galerie et c‘est le principal. Bon aller en route vers un petit bar sympa. Et j‘espère que j‘aurais encore le pouvoir avec toi.. »
J‘avais souris en lui disant ça, c‘est vrai que je le titillais pas mal, mais je voulais surtout voir comment il allait réagir. Je savais qu‘il rougirait mais bon, peut être qu‘il dépasserait cette gène. En attendant, j‘avais ouvert la voiture et m‘étais installé dedans en lui ouvrant la portière de l‘intérieur. Alor Chris, laisse toi aller et dit moi tout…
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyLun 24 Mai - 2:59


Chris avait un don, et il venait juste de s’en apercevoir. Et oui, notre blondinet avait un don concernant les phrases explicites. Et oui, depuis qu’il avait rencontrer James dans les vestiaires, il n’avait cesser de lui répondre par des phrases très lourdes de sens. Et le pire ? C’est que James s’en amusait, et qu’il lui répondait par des phrases qui le mettait dans un état pas possible. La goutte d’eau qui fit déborder le vase, enfin, plutôt le niveau de rougeur des joues de Chris, ce fut lorsque James lui dit que s’il avait tout pouvoir, il l’aurai déjà embrasser.

A ses mots, le cœur de Chris fit un bond dans sa poitrine. Il pensait alors au plus profond de lui « Mais pourquoi ne le fait tu pas ?? Fonce et embrasse moi !! » mais non, il ne pouvait pas le dire. Pourquoi ? Bah simplement parce que toute la ville le pense hétéro, et qu’il n’allait pas prendre le risque de ce faire griller, alors qu’il n’était même pas sur que James était sérieux. C’est donc avec un petit sourire, et tentant de prendre une voix ironique, qu’il ajouta alors

    - Tu as tout pouvoir, mais qui te dit que j’en ai envi, ou même que je me laisserai faire ? Hein hein…. Tu n’avais pas penser a ça…


Il lui avait dit ça avec un sourire aux lèvres, voulant lui montrer qu’il plaisantait, mais sans pour autant lui avouer qui il était vraiment. Il n’allait pas quand même lui dire « tu as tout pouvoir, tu as tout pouvoir… » rien que pour recevoir un baiser de lui ! Il se secoua alors la tête, afin de chasser toute ses idées les plus improbable les une que les autres, et se laisse alors porter par le temps, ne voulant pas précipiter le destin. Et puis, c’était plus drôle si c’était une surprise non ? C’est alors après cette phrase qu’ils se dirigèrent vers le parking.

La voiture de James… Voila quelque chose dont il n’était vraiment pas fier, et dont il aimerai bien se cacher. Cette voiture était une vrai ruine, une épave montée sur quatre roues, qui au moindre coup de vent risquait de se séparer de l’une de ses pièce. Chris ne plaisantait pas quand il demanda a ce qu’ils prennent la voiture de James, car le sienne ne fonctionnait normalement que très rarement. Mais bon, il ne s’en servait pas beaucoup, seulement pour allez en cours et pour revenir. Et puis, il n’avait pas vraiment les moyens de s’en payer une autre, car de nos jours, l’automobile coûte très cher.

C’était donc avec cette voiture qu’il allait en cours depuis qu’il avait le permis, et cela ne le dérangeait pas, bien au contraire. Il préférait largement prendre sa voiture, aussi nulle soit elle, plutôt que de prendre les transports en commun. Et puis, cela lui permettait de se démarquer aussi des autres, n’ayant pas du tout envie de ressembler aux autres jeunes qui ont de belles voitures juste pour se faire remarquer. Lui préférai rester lui-même, quitte a paraître pour quelqu’un de pauvre, de pas soigner ou autre… En tout cas, le plus important et qu’il voulait a tout pris rester lui-même.

C’est donc avec pas mal de honte qu’il dit alors a James qu’il était plus sage de prendre sa voiture, car il ne voulait vraiment pas qu’il monte dans une poubelle pareil. De plus, plein de feuille de cours traînait sur la banquette arrière et ça ne faisait vraiment pas rangé. Il rougissait, se disant que James allait avoir une totale autre opinion de lui… C’est alors que James vint alors le rassurer, lui disant qu’il s’en fichait, et qu’au contraire, il aimait le fait qu’il ne se donne pas d’air supérieur alors qu’il ne l’était pas. Décidément, James était vraiment un homme très gentil, et très compréhensif. Il avait mit le doigt sur la raison poussant Chris a ne pas changer de voiture. Il fit aussi une légère allusion a sa phrase de tout a l’heure, lui disant qu’il avait tout pouvoir.

    - Content que tu me comprenne. Je déteste me faire passer pour ce que je ne suis pas, même si c’est devenu quelques chose de quotidien maintenant. Et pour ton pouvoir…. On verra….


Oui, se cacher était devenu quelque chose qu’il faisait tout le temps, 24h sur 24. La seule pensée que ses camarades puissent le percer a jour le laissait sans voix. Il s’imaginait, rejeté de tous, et obligé de changé d’université, de ville, d’état, de pays, et pourquoi pas de continent ? Bon, la il exagérait mais pour le reste non. Il avait réellement peur du futur, et des choses qui lui tomberons dessus une fois son secret révélé. C’est alors à ce moment que James lui ouvrit la portière de la voiture, laissant alors Chris monter sur le siège passager.

La voiture de James n’avait rien a voir avec la sienne. celle-ci avait un toit ne tombant pas en ruine, avait toute les poignées qui marchaient, ainsi qu’aucune rayure, ni même le moindre impact. Elle donnait même l’impression de sortir d’un garage. Bref, la voiture dont il rêvait. Oui, ça peux paraître étonnant, mais il ne voulait pas une voiture de marque, juste une voiture qui marche, et ayant un minimum de tenue. James démarra, et un silence régna dans la voiture, Chris ne sachant pas quoi dire. Il rompit quand même le silence en posant le genre de question passe partout, et qui permettrai de briser la glace.

    - Alors James, que fait tu dans la vie ?


Oui, Chris se rendait compte que cette phrase n’était peut être pas si bonne que ça, car il passait maintenant pour un homme n’ayant pas vraiment de conversation, mis a part les questions toute faite. Il sourit alors a James, tout en le regardant, afin d’essayer de ne pas paraître trop stressé ni trop coincé.

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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyLun 31 Mai - 15:54

Etre venu ici, dans ce gymnase que je haïssais sans même savoir pourquoi n’avait vraiment pas été une mauvaise idée. Et oui, même si je n’avais pas rencontré l’un des ennemis de ma famille, j’étais tout de même tombé sur un joli jeune homme qui était loin de me laisser indifférent. Mais chut, il ne faut pas lui dire, il serait capable de rester tout rouge pensant plusieurs minutes et je finirais pas craquer et venir lui caresser les lèvres avec les miennes. Mais passons, il fallait tout simplement que j’arrête de fantasmer sur un parfait inconnu. Enfin, plus si inconnu que ça puisqu’il m’avait dit son prénom et que sans le vouloir, il n’arrêtait pas de me lancer des phrases lourdes de sens qui ne faisait qu’attiser mon envie de gouter à ses lèvres, sa peau. En attendant, je n’avais pu m’empêcher de l’inviter à prendre un verre pour apprendre à le connaitre. Un blondinet sexy, ça ne se laisse pas dans un coin et encore moins quand il s’appelle Chris. Je m’étais mis en quête de draguer ce blondinet avec une telle force qu’il finirait par craquer. Du moins, c’Est-ce que j’espérais. Pourquoi embrasser ce beau garçon me ferait du bien, surtout que ça fait un moment que je n’ai pas eu ce genre contact avec quelqu’un. Et oui, étrange pour un dragueur comme moi ? Mais bon, on peut pas tout avoir et puis je dois dire que je suis un peu trop obnubilé par mon désir de vengeance pour avoir envie de conclure avec quelqu’un. Pourtant, aujourd’hui était un nouveau jour et je m’affairais à la tâche de faire craquer Chris. Le pire dans tout ça, c’est que ce jeune étudiant me facilitait la tâche avec ses phrases plus que suggestives.

Encore maintenant sur le parking, il m’avait fait comprendre que j’avais tout pouvoir sur lui. D’ailleurs, cette phrase eu le don de dire que j’étais bisexuel et il avait pas l’air si gêné que ça. Pourtant, il finit par ouvrir la bouche pour dire que même si j’avais tout pouvoir sur lui, cela ne voulait pas dire qu’il en aurait envie. Il essayait de me faire douter mais manque de chance pour lui, il y avait un signe qui ne trompait pas, le fait qu’il rougisse comme ça. Je le regarda droit dans les yeux le sourire aux lèvres en cherchant à la déstabiliser. Je ne voulais pas ouvrir ma bouche trop vite, juste pour voir comment il réagirait face à mon regard si insistant. Si je m’écoutais, je serais venu me coller à lui tout en le plaquant contre la voiture. Mais bon, en attendant, je prenais un malin plaisir à l’observer et j’ajouta une petite option, celle de me mordiller la lèvre inférieure. C’est à ce moment là que je décida d’ouvrir la bouche et lui dire avec une voix calme et posée.

« - Tu dis ça… Mais tu crois que tu rougirais à chaque fois que je réponds à tes phrases lourdes de sens si tu n’avais pas envie de bien plus qu’une discussion avec moi ? Genre un baiser, sentir mes lèvres contre les tiennes. Je vois bien comment tu réagis face à ce que je dis… »

C’est naturellement que je m’étais avancé vers lui pour venir effleurer sa main avant de rentrer dans ma voiture. Je finis par lui ouvrir et une fois à l’intérieur de la voiture, je mis le contact pour partir en direction du bar dans lequel nous prendrons un verre. On avait parlé de sa voiture qui même si elle était en ruine prouvait qu’il ne voulait pas vivre au dessus de ses moyens et surtout paraitre plus riche qu’il ne l’ai. En lui disant que je ne le jugeais pas, il avait trouvé ça touchant et me l’avait dit. C’est vrai quoi, pourquoi se la péter dans une voiture quand on a pas les moyens. Bref, je roulais donc tranquillement et d’un seul coup un silence se créa comme si notre cher blondinet ne savait plus vraiment quoi dire. Du coup, il finit par me demander ce que je faisais dans la vie. Je finis par le regarder rapidement en souriant avant de dire.
 « - Et bah alors blondinet, tu sais plus quoi dire ? Je t’ai peut être gêné ? En tout cas je suis barman si tu veux tout savoir… Je sais pas très glorieux mais bon au moins je gagne ma vie et puis c’est bien. Bon aller on est presque arrivé. »

Je voulais vraiment le déstabiliser mais bon, on verra bien ce qu’il fera. Était-il vraiment hétéro ou alors se refusait-il de craquer. Mais bon on verra, pour l’instant je suis dans la voiture et ma main à une irrésistible envie de venir lui caresser la cuisse. Comment faire ? C’est simple, je finis mine de chercher un cd pendant que mon bras s’affairait à la tache de lui caresser la cuisse et bien plus encore d’ailleurs. Roh James, pour qui tu te prends franchement. Tu finiras en enfer…
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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyDim 20 Juin - 2:53


Durant toute sa vie, Chris n’a jamais eu de petites et petits amis. Non, pas une seule fille, ni même un baiser, rien, le néant totale dans sa vie sentimentale. Et la raison était des plus simple : son homosexualité. Depuis sa jeunesse, les seules personnes qui se sont intéressées a lui, c’était des filles. Le problème, c’est que sans qu’il ne sache pourquoi, pas une seule de ses filles ne lui donnait envie. Hum… il y avait de quoi se poser des questions non ? Ses parents ont toujours dit que c’était parce que leur fils était un grand romantique, et qu’il cherchait le grand amour afin de tout partager avec elle. Ouai… si seulement ils savaient… Car oui, les parents de Chris ne sont pas au courant, et ne le seront que lorsque Chris aura trouver la personne avec qui il passera le reste de sa vie.

En tout cas, c’est ce que cherche Chris, mais bon, son coté romantique lui a jouer des tours, car il n’a jamais eu de petit ami depuis son plus jeune age. Pour sa défense, il ne savait pas avant cette année son orientation sexuelle, car il l’a su qu’a la rencontre d’un homme, son entraîneur d’ailleurs, l’homme a qui d’ailleurs James ici présent était venu rendre visite avant de tomber sur notre blondinet… Et comme Chris le répète souvent, mieux vaut être seul que mal accompagné. Dans tout les cas, on ne peux pas dire que la compagnie de Chris en ce moment était mauvaise, bien au contraire.

Une fois sur le parking, juste devant la voiture de James, les phrases a fortes insinuations continuaient, comme par exemple le « je serai déjà en train de goûter a tes lèvres… » Comment résister a ça ? Simple, il ne pouvait pas… Bon, cela ne remet pas en cause ce qu’il ressentait pour Tyler, mais la, c’était… plus réel, pas juste un fantasme de Chris. Et puis, il n’allait pas vous le cacher, il était sous le charme de ce brun qui demeurait assez mystérieux. C’est alors le plus naturellement possible, et surtout sans laisser apparaître le moindre indice sur ce qu’il pensait réellement de James. Dur hein ? Oui, car en plus, quand il lui émit l’hypothèse de ne pas être intéressé par lui, il avait rougit.

Ah, les rougissements qui le trahissait… En même temps, c’est un facteur que l’on ne peux pas contrôler, ni stopper. C’est vraiment handicapant d’ailleurs… Comment faire croire a James que Chris n’est pas tombé sous son charme, ou même que Chris n’avait vraiment pas envie de lui. Que de mensonges, bien entendu, mais ça n’était pas tellement drôle si il n’y avait pas de petits obstacles avant d’atteindre le but ? Enfin, si ils l’atteignent un jour… De toute façon, l’a n’était pas la question pour le moment. Elle se portait plutôt sur : Comment faire pour essayer de garder son calme devant un tel homme ? Surtout après qu’il lui ai dit qu’il voulait l’embrasser. Compliqué tout ça.

James le regardait dans les yeux, ce qui avait pour don de le mettre encore plus mal a l’aise qu’il ne l’était déjà. Et pour en rajouter une couche, il se mordait la lèvre ! Non, la c’est vrai que Chris avait vraiment du mal a résister a cet homme magnifique se trouvant devant lui. Il lui dit alors que si il n’avait pas envie d’allez plus loin qu’une simple discussion avec lui. Ce n’était pas faux, alors pourquoi le nier ? Mais il ne voulait pas non plus l’avouer… Ce fut donc dans un silence que James parti de son coté de la voiture, et cela tout en effleurant la main de Chris par la même occasion. Chris fixa alors sa main, tout en se demandant si c’était bien James qui la lui avait caresser, ou si c’était son imagination qui lui avait jouer un tour, seulement caressée par le vent ? En tout cas, Chris monta par la suite dans la voiture, entretenant toujours ce silence entre eux.

Afin de rompre ce silence plus que pesant, Chris avait décider de demander ce que faisait James dans la vie. Certes, c’était un sujet plus que bateau, mais bon, c’était mieux qu’un silence non ? Sauf qu’encore une fois, James avait compris que ce sujet était juste afin de reprendre la face, et faire comme si de rien n’était. Raté blondinet, James a vu juste… Mais bon, ne perd pas la face pour autant, et continu de jouer…

    - Non, tu ne me gène pas… mais je n’ai pas le droit de savoir quel métier tu fais ? C’est un sujet comme les autres… Et puis, barman, je trouve ça très bien…


A ce moment la, Chris commençait a reprendre confiance en lui, mais malheureusement pour lui, toute cette confiance qu’il avait enfin retrouvée s’envola en quelques secondes. La cause ? Le bras de James. Dit comme ça, ça peux paraître fou, et Chris en est bien conscient, mais le fait qu’il passe son bras si près de lui le rendait vraiment fou. Il ne savait pas trop ce qu’il cherchait, mais une chose était sure, c’est qu’il ne la trouvait pas. Par contre, ce qu’il n’allait pas tarder a trouver, c’était une bosse se formant la où son bras passait de temps en temps, le frôlant et le caressant doucement. Chris regardait dehors, essayant de faire comme si ça ne l’atteignait pas, alors que son corps l’exprimait d’une autre façon.

    - Hum… Je … crois qu’on est arrivés…


Tout les prétextes étaient bon a dire dans cette situation, même si Chris ne savait pas du tout si le bar en question était celui qu’il venait d’apercevoir au loin, ou si il s’était trompé, et dans ce cas la, aurait stopper James pour une fausse excuse. En tout cas, sa peau était devenu beaucoup plus rouge, et il était beaucoup plus gêné qu’avant. Était-ce possible qu’un homme comme lui ai envie de lui a ce point la ? Jamais personne n’avait agit comme ça avec lui par le passé, donc forcement, Chris devenait paranoïaque.

Enfin, pour le moment, Chris ne pu s’empêcher de faire un sourire a James, lui montrant qu’il n’avait pas pris mal son geste. Au contraire même… mais ça, il ne le saurai pas tout de suite. Allez Chris, il ne reste plus beaucoup de temps avant que tu ne craques, mais courage ! Il ne reste plus que quelques temps avant que ce bel homme ne te fasse parler, et avouer qui tu es vraiment. Chris passa sa main dans ses cheveux et derrière sa nuque, cherchant alors quoi faire, quoi dire dans une telle situation, mais il ne trouvait rien. Tant pis, parfois, le silence est d’or…

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MessageSujet: Re: When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter]   When a dream becomes reality [James Johnson et Chris D. Carter] EmptyMar 21 Sep - 0:04

Je trouvais vraiment cette situation amusante. Quand je pense que j‘étais venu dans ce gymnase dans l‘unique but de casser la gueule à Tyler Ferguson. A la place, j‘étais tombé sur un blondinet des plus charmant. Et croyez le ou non, il était à mon goût. C‘est vrai que j‘ai toujours été attiré par les femmes comme par les hommes. Mais depuis mon entrée dans la famille des Attwood, j‘avais mis de côté cette attirance pour les hommes. Si ils apprenaient que j‘étais déjà sorti avec des hommes, que j‘avais déjà ne serait-ce qu‘embrasser un homme, je serais mort sur le chant. Mais je n‘avais pas pu m‘empêcher de craquer pour ce jeune inconnu. C‘était donc tout naturellement que j‘étais venu l‘aborder en évoquant Tyler. Ca me faisait un prétexte et puis comme ça, je pouvais faire un peu connaissance avec lui. J‘avais décidé de ne pas en rester là et c‘était donc tout naturellement que je lui avais proposé de boire un verre. Mais en tout bien tout honneur hein. Enfin du moins, je pense qu‘on restera soft. Je suis pas du genre à mettre un mec aussi vite dans mon lit. Et puis, je ne pourrais pas le draguer comme je veux dans un endroit publique, je ne veux quand même pas me faire griller.

On faisait donc connaissance tranquillement et je profitais du temps où nous étions tous les deux pour le draguer bien comme il faut. J‘essayais de faire ça en finesse et en même temps avec des phrases lourdes de sens qui laissait voir ce que je ressentais face à un homme comme lui. J‘aimais le voir rougir, le voir déstabiliser face à ce que je disais. Ca m‘amusait et puis si il réagissait comme ça, c‘est bien qu‘il y a quelque chose qui lui plait dans ce que je lui dit ou que même je lui plais. Enfin, bref, nous avions pris ma voiture parce que la sienne ne convenait pas selon lui. Pour moi, ça ne me dérangeait pas, mais peu importe. Je ne voulais pas le contredire pour ça. On avait donc pris la chemin qui menait au bar et Chris, oui c‘est son joli prénom me posait quelques questions pour faire la conversation et notamment celle sur mon métier. Je n‘allais pas lui mentir, je suis barman et même si j‘ai présenté mon métier en le dévalorisant quelque peu, j‘adore faire ça et je ne changerais de métier pour rien au monde.

C‘est vrai que c‘était un métier des plus chics, mais j‘ai toujours dit que je ferais quelque chose qui me plait et c‘est effectivement ce que je fais. Je suis heureux dans ce que je fais, je m‘éclate et c‘est le principal. En tout cas, je savais bien que je perturbais ce cher Chris et pas mal de signes me le montrait. Déjà ce joli rouge sur ses joues et puis le fait qu‘il soit gêné parfois. Bon certes, il me disait le contraire, mais je savais très bien que c‘était faux. D‘ailleurs, pour en avoir le cœur net, j‘avais eu l‘idée d‘un stratagème des plus fous. Je voulais voir si je lui faisais de l‘effet et c‘est donc naturellement que j‘étais venu passer mon bras entre ses jambes pour venir chercher un cd. Sauf que manque de chance, je ne trouvais pas le cd en question et du coup, je cherchais encore et toujours, faisant aller et venir mon bras entre ses jambes. Je voulais voir comment il allait réagir. Il était plus que gêné et j‘aimais ça. Il venait de voir qu‘on arrivait et si je ne tournais pas sur le parking, nous serions condamnés à rouler. Rah ce que j‘étais dégouté d‘être déjà arrivé. Je sentais très bien qu‘il commençait à être excité. Mais tant pis, il fallait que je m‘arrête là.


« - Oups, excuse moi… Je cherchais un cd que j‘adore mais tant pis… Aller hop je me gare et on se boit ce café. »

Je m‘étais donc redressé en essayant d‘eflleurer le plus possible son entre jambe et je finis par tourner sur le parking du café en question. Une fois garé, je sorti de la voiture et alla ouvrir la portière de Chris pour qu‘il sorte. Et nous voilà entrain de nous diriger vers l‘entrée du café. Je voyais bien qu‘il était gêné mais je n‘osais pas trop lui demander pourquoi. Mais il fallait bien que la conversation se fasse à nouveau.

« - Ca va Chris ? Tu as l‘air silencieux… »
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