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 Quand ça tombe mal ft mon homme

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Serena Swank

Serena Swank

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MessageSujet: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMer 13 Oct - 0:56

    Trois semaines que tout allait bien pour moi, j'oubliais toute cette histoire de clan et encore plus celle du tueur en séries, je ne sais pas encore pourquoi mais l'histoire de mariage a remplit une bonne partie de ma vie depuis la demande de mon homme. J'en avais des idées et des rêves plein la tête et les yeux, comme si on disait à une petite fille qu'elle allait porter la plus belle robe de princesse et qu'elle aurait à son bras le plus beau des princes. Je m'y voyais déjà et la seule chose que je regrettais et que je n'avais personne de ma famille pour partager ça, heureusement que j'allais en faire une nouvelle avec mon homme. Rien qu'à y penser je me disais que je pourrais vraiment tourner la page sur mon passé et sur mon histoire de vie pour me concentrer sur une nouvelle avec Zac. Du coup j'en faisais un peu moins attention, et en allant voir une amie à moi je m'étais un peu attardée dans les chemins de la ville, elle vivait un peu en retrait et du coup en voyant la nuit tombée je m'étais dit que je devais rentrée rapidement.

    Mais le ciel devint rapidement peu éclaircit et je me retrouvais un peu autre part, je m'étais comme perdu en chemin, pas très joué la nuit mais je sortais que rarement des rues éclairées. Pas trop confiante j'avais bouclé ma voiture et je roulais doucement avec les pleines phares, quelques voitures passaient par là avant qu'on me double et qu'on me klaxonne, je pensais que la voiture continuerait mais au contraire elle freina même brusquement. Deux hommes en descendaient et comme par peur j'enclenchais la première et prit rapidement la fuite mais pas de chance les deux hommes embarquèrent dans leur voiture et ils me suivaient de très près d'une vive allure. Mon coeur battait rapidement et je n'avais pas le temps d'attraper mon portable rangé dans mon sac à main et qui était posé sur le sol passager. Je tentais de garder mon calme et j'ignorais qui étaient ces hommes et surtout ce qu'il me voulait, avaient-ils pu voir que j'étais une femme, est ce qu'ils savaient que j'étais une Attwood.

    ▬ ... pourquoi je traine ici à cette heure-ci ...

    dis-je en voyant dans mon rétroviseur que la voiture me suivait toujours et à vive allure et je savais bien qu'elle me rattraperait d'ici deux minutes même pas. Je me penchais pour attraper mon sac et je redressais limite mon volant pour ne pas aller dans le fossé, une grosse peur et un stress énorme car du coup j'en trouvais pas mon portable. Et pas le temps de regarder au rétroviseur que j'entendais un coup de feu à travers ma vitre arrière, heureusement elle ne me toucha pas, j'ai crié sur le coup et à peine remise que ma voiture se fit heurter par la leur et que j'entamais une descente dans un ravin, où la voiture heurtait un arbre. Je perdis connaissance quelques secondes et je sentais une forte douleur à ma tête, et le sang coulait déjà sur mon visage, j'entendais des voix d'hommes et rapidement je tentais de sortir de la voiture.

    ▬ ... qu'est ce que j'ai mal ...

    je sentais d'autres douleurs sur mon corps et à voir l'état de ma voiture, je me demandais comment j'étais encore en vie, partant me réfugier rapidement dans les buissons j'en cherchais toujours mon portable dans le noir mais ça n'était pas évident j'avais mal et un gros bordel dans mon sac à parcourir. Je les entendais encore plus et j'eus tellement peur que malgré la douleur et le côté noir de la foret je partais en courant dans les feuillages sans savoir où j'étais et réellement où j'allais.

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Zac Winston

Zac Winston

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMer 13 Oct - 14:51

Quand ça tombe mal ft mon homme  Zac1 Quand ça tombe mal ft mon homme  Serenan
Zac Winston & Serena Swank.


Quand ça tombe mal.



Mais que pouvait-elle bien faire ? Cela commençait à être long et en plus de ça, le soleil tombait rapidement au loin, derrière la ligne d’horizon et Serena n’était toujours pas rentré. Assis sur mon canapé, devant la télé, je regardais tour à tour l’écran et l’horloge, ne suivant pas réellement ce qui passé à la télé, étant trop concentré sur l’heure et la porte d’entrée. Mes sens étaient en alertes et j’espérais entendre rapidement la voiture se garer devant le garage et entendre la clé entrer dans la serrure. Pourquoi étais-je si terrifié tout à coup ? Je ne savais pas trop. Avec toute cette histoire de tueur en série, je n’étais plus vraiment très tranquille et en plus de ça, j’avais quelques jours plus tôt, demandé la main de Serena. Elle allait devenir officiellement ma femme, et ce, dans peu de temps. J’avais alors encore plus peur qu’on me l’enlève, que quelque chose de terrible lui arrive à quelques jours, quelques semaines, de la consécration de notre bonheur.

Le téléphone portable dans la main, je me levais, allais faire un tour dans la maison en attendant, regardant l’heure qui s’affichait sur l’écran, un écran sur lequel une photo de ma petite chérie y était posée. Je pris un verre d’eau, monta dans ma chambre pour y prendre un sweat à capuche et redescendis dans le salon, me reposant sur le canapé. Posant mon portable sur la petite table du salon, j’essayais de me concentrer sur les informations qui passaient à la télé, me disant alors que Serena n’allait pas tarder.
Ils parlaient de tout et de rien, des élections, des émissions de téléréalité et aussi du sport. Ceci m’aida quelque peu à oublier ma peur, pendant quelques temps jusqu’à ce qu’ils parlent de la guerre en Irak et tout ça et ne me replonge alors dans mes pensées de guerre de clan et de tous ce qu’il y avait autour. Je repensais alors à Serena, qui n’était toujours pas rentré. Je repensais à nous, notre vie, notre couple, notre maison, notre futur mariage. Je revivais dès lors la scène, ma demande, notre magnifique soirée, notre folle nuit. Tout avait été si beau, si fantastique et à la base, je n’avais rien prévu pour cela.

Tournant la tête, mon regard se posa sur mon téléphone et je le pris alors, me levant du canapé, l’appelant. J’attendais encore et encore. Ça sonnait mais personne ne décrochait. Je ré-appuyais sur le bouton d’appel et encore une fois, rien. Ça sonnait sans réponse. Rapidement, je m’habillais et continuais de l’appeler. Enfilant mes chaussures, prenant mon arme que je plaçais dans mon dos, je sortis de la maison, le portable à l’oreille en espérant qu’elle décroche.


« Je t’en prie mon ange, répond… »

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyJeu 14 Oct - 21:31



    Je voyais cela dans les films que je regardais seule ou parfois avec mon homme et cela me stressais souvent à savoir si les personnes s'en sortaient de leur traque, de leur chasse à l'homme car j'avais l'impression que ces deux hommes ne me voulaient aucun bien. J'anticipais déjà les choses qu'ils pourraient me faire s'ils me rattrapaient, j'en avais les jambes qui tremblaient et la douleur de mon corps qui s'intensifiait rien qu'à penser à tout ça. Je tenais le choc car ce n'était pas le moment de s'effondrer en pleures ou bien de perdre pieds, il fallait que je prenne sur moi en outrepassant ma peur et mon imagination débordante. Je tentais de ne pas gémir ou respirer fort mais je ne pouvais pas éviter dans le noir d'écraser des feuilles mortes et des branches sur le sol, en plus j'avais des talons hauts et je venais de me résoudre à les abandonner sur place. Pieds nus sur le sol quelque peu humide je me disais qu'à cette cavale je n'irais pas loin si je blessais mes pieds quelque part, du coup je partais doucement mais d'une allure assez active quand même.

    ▬ ... mon portable il faut que je le trouve ...

    dis-je en courant doucement dans la noirceur de la nuit, je l'avais coupé par habitude car en sortant de mon travail j'avais été directement voir mon amie, et je ne l'avais pas remit sur le débit normal et en voyant des appels de mon homme je comprenais qu'il s'inquiétait. Seulement en étant si maladroite à cause de mes tremblements je le fis tomber par terre, et je ne voyais déjà plus où il pouvait être, à genoux je tapotais des mains pour y tomber dessus. Au loin je n'étais pas seule après tout je n'étais qu'à quelques mètres de la voiture, et je pouvais entendre les deux hommes hurler tout en se parlant et en m'appelant sans savoir qui j'étais finalement. Ce que je rêvais d'être avec mon homme et un bon bain chaud, car là je sentais ma tête me tourner, le sang couler encore et puis je pensais avoir d'autres fractures mais je préférais pas écouter mon corps, et faire comme si je n'avais rien du tout.

    ▬ ... purée où est ce qu'il est ...

    je cherchais comme une folle pour vite le trouver, surtout que ça retardait sur mon avance sur les deux hommes, et j'eus rapidement la main dessus en voulant aller juste un peu plus loin, seulement les deux hommes aussi n'étaient plus loin du tout. Prenant des chemins dans l'aide pour seule lumière la lune dans le ciel, je n'avais aucune idée d'où j'étais, et en composant rapidement le numéro de téléphone, je n'osais plus rien dire, caché derrière un arbre je les sentais tout près.

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyVen 15 Oct - 22:10

Ayant pris mon portable, mon arme et m’étant rapidement habillé, j’avais fermé la maison à clé et étais rapidement monté dans la voiture pour partir à la recherche de Serena. Cela faisait maintenant longtemps qu’elle aurait du rentrer et elle n’était toujours pas là. Ce n’est pas qu’elle n’avait pas le droit de traîner dehors avec des amis à elle, non, ce n’était pas ça du tout. S’était le fait qu’elle ne m’avait pas appelé qui m’inquiétait. Elle m’appelait toujours en temps normal. Même si elle n’avait plus de batterie, elle arrivait à prendre le téléphone d’une amie pour me glisser un petit mot et me dire alors qu’elle rentrerait plus tard que prévue et que je n’avais pas à m’en faire. Mais là… rien du tout. Pas un coup de fil et un retard de plusieurs dizaines de minutes… voir plus même, je n’avais pas compté. D’où mon inquiétude. Une inquiétude redoublée par le fait qu’elle ne décroché pas quand je l’appelait. Non s’était sûr, quelque chose se passait.

Le cœur battant à mille à l’heure, tellement fort que je le sentais taper contre ma cage thoracique, me soulevant le torse avec force. Ma respiration s’accélérait, se saccadant même, ressemblant à celle des personnes étant sur le point de faire un infarctus. S’était limite mon cas. Cette disparition si soudaine était entrain de me paniquer totalement et je n’arrivais plus à contrôler cette panique qui se laissait aller au travers de mon corps. Tremblant légèrement, j’enclenchais la première et accéléra alors comme un fuyard, comme un voleur venant de faire un casse dans une grande banque et derrière qui se trouvait plusieurs patrouille de police. Mon but était simple, faire le chemin aller qui avait conduit Serena chez son amie et essayer de voir si rien ne s’était passé. Doublant plusieurs voitures assez rapidement, je fis hurler le V8 suralimenter de ma muscle car si bien que les habitants du quartier et de la ville se retourner en entendant le vacarme que faisait la bête.

Un œil sur la route, l’autre sur mon phone, j’appuyais sur le rappel automatique de façon à appeler une nouvelle fois Serena et colla l’appareil sur mon oreille. Toujours rien. La panique s’installait en moi et prenait plus de place qu’elle n’avait jamais prise. La mâchoire serrait, le regard apeuré, je me précipitais alors sur la route à la recherche d’indices, de traces mais il n’y avait pour le moment rien du tout. Le phone toujours accroché à mon oreille, je continuais de l’appelé encore et toujours espérant qu’elle décroche rapidement pour me dire ce qu’il en était. Mais rien. Toujours rien… après plusieurs minutes, seul sur la route, je croisais une voiture arrêtée, phare allumés, sur le rebord de la voie inverse. Passant devant elle avec une grande vitesse, j’eus une sorte de réflexe et tira avec force le frein à main pour faire un demi tour. Les pneus crissèrent alors sur le bitume et ma voiture fit un 180 degré. Revenant rapidement vers la dite voiture je remarquais que tout était ouvert, porte, coffre, et que la voiture tournait toujours. Que se passait-il là ? M’arrêtant un peu plus loi, je descendis de ma voiture et me rapprocha de l’autre pour regarder un peu à l’intérieur. Il n’y avait rien.

C’est à ce moment que je remarquais alors les traces de pneu qui tomber dans le fossé en contre bas. On aurait dit qu’une voiture avait dégringolé… regardant rapidement autour je vis alors que la dite voiture sur laquelle je m’étais penché était abimé, son coté droit enfoncé et avec des marques de peinture différentes. Cela ne laisser nul doute, une course poursuite avec accrochage avait eu lieu ici. Prenant mon arme dans une main, je m’approchais alors du petit fausser et plissa les yeux pour voir. On pouvait apercevoir une voiture plié contre un arbre. Je distinguais la forme et mes yeux s’agrandir alors que mon corps en entier se jeta vers elle. Courant rapidement, haletant comme un animal sur le point de mourir, j’arrivais en quelques secondes au coté de ce tas de ferraille et regarda à l’intérieur. Mon cœur se serra. Il s’agissait de sa voiture, de celle de Serena. Heureusement, la seule chose qui fit que mes jambes ne flanchèrent pas était que son corps n’était pas dedans. Donc, elle était en vie. Du moins c’est ce que j’espérais. Je voyais quand même des traces de sang sur le volant et le siège. Reprenant mon téléphone, je me mis alors à l’appeler encore et encore, alors que je faisais le tour de la voiture, ne pouvant m’empêcher de marcher…


« Décroches putain… »
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyLun 18 Oct - 21:08



    Je tremblais de froid et de peur surtout, c'est fou comment le corps se comporte quand un événement qu'on redoutait tant se produit un jour, contre vous alors que comme tout le monde vous pensez que ça n'arrive qu'aux autres. Manière pour l'être humain de se rassurer, en disant ça mais quand ça se produit alors on se dit que les autres n'ont peut-être pas encore vécu ou ne vivront jamais ce que vous êtes en train de subir en ce moment même. Tout ça n'était pas clair dans ma tête car j'ignorais à l'instant même qui c'était ces deux hommes qui me couraient après, et eux est ce qu'ils savaient clairement qui j'étais ou bien me confondaient-ils avec une autre, ou bien voulaient-ils s'en prendre simplement à quelqu'un. Pourquoi le bonheur ne restait jamais bien longtemps dans ma vie, que fallait-il que le malheur vienne encore me toucher de plein fouet. J'avais la tête qui me tournait et j'avais du mal à voir les chiffres sur mon iphone, je me trompais à chaque touche que je heurtais sans le vouloir avec mes ongles, j'y arriverais pas. Tentant de ne pas me faire trouver, je voyais une torche au loin et j'entendais leur voix en disant qu'ils prenaient la direction, où je pensais me trouver malheureusement, je sentais mes côtes me faire mal et ma cheville craquer quand je la bougeais à terre. Je ne voulais pas laisser la douleur de tout mon corps s'emparer de moi, j'espérais que mon fort mental m'aiderait à oublier ça et à courir assez loin, assez proche d'une habitation ou de quelqu'un.

    Peut-être qu'il avait raison mon homme et que me priver de liberté voudrait me garantir une vie moins dangereuse, mais c'était plus fort que moi et il fallait que je prenne des risques mais cette fois-ci je n'avais pas vu la nuit arrivée. Je pensais à Zac soudainement car j'avais aucune notion du temps et en regardant l'heure de mon écran de portable, je ne savais plus exactement quand j'avais quitté la maison de mon amie et je me souvenais plus à quelle heure j'avais dit à mon homme que je rentrerais. Je ne voulais pas qu'il s'inquiète mais en tentant de le joindre, je sursautais quand un coup de feu retentit et que les hommes criaient encore plus pour me faire peur et faire que je commette une erreur en hurlant ou en courant sans penser à ne pas faire du bruit. J'eus peur car j'en lâcha mon portable et je l'oubliais sur place, mais tant pis il me fallait avancer avant que ces deux tarés puissent avoir la main sur moi. Je ne savais pas où j'allais mais je ne voyais quasiment plus rien du tout, j'avançais dans le noir entendant des animaux et ça me rassurait guère de savoir les hommes si près derrière moi. Mais en marchant ma cheville douloureuse heurta une racine d'arbre et je me retrouvais sur le seul, limite à perdre connaissance car ma tête heurtait le sol, j'avais du mal à me reprendre et soudain on m'attrapa par les cheveux, douloureusement.

    ▬ ... lâche-moi ... sale brute

    d'une voix fine dont je n'avais plus le contrôle, je tentais de me débattre mais l'autre homme me collait un coup de poing, mais je donnais des coups de pied et ils tentaient à deux de me maitriser avant de me contraindre arme sous la nuque de me calmer. Je tenais à ma vie et à mon homme alors je stoppais en pensant à lui de me débattre, je voulais garder mon calme mais je n'y arrivais pas car ils me faisaient mal encore plus que ma douleur de corps me le donner à elle seule. J'avançais sans aucune volonté l'un me tenait par le bras et l'autre braquait son arme sur ma nuque, projetant des choses malsaines sur ma personne à entendre ce qu'ils me préparaient. Ils me poussaient à marcher rapidement mais je souffrais et malgré ce que je leur disais ils en avaient rien à faire jusqu'à me pousser contre un grand arbre, dans un coin retirer de l'accident. Les yeux en émoi et le coeur en paniquent je devinais que j'allais passer un mauvais quart d'heure, l'un me tenait l'arme contre moi et l'autre commençait à poser ses sales pattes sur moi, je me débattais assez vivement car je refusais qu'un homme autre que Zac me touche. J'en attrapais l'arme de l'homme sans réfléchir et on se débattait à trois jusqu'à ce le deuxième homme finit par me tirer dessus, je perdis connaissance et m'effondrait sur le sol.

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMer 20 Oct - 19:02

Le téléphone sur l’oreille j’appelais sans cesse Serena en espérant toujours qu’elle soit dans la capacité de répondre. Je venais tout juste de retrouver sa voiture. Celle-ci était dans un fossé, toute cassé et du sang tenait place sur le passager conducteur. Elle était blessée. Elle avait du surement quitter les lieux à toute hâte et j’espérais juste qu’elle soit encore consciente pour que je puisse la retrouver. Mais toujours rien. Je rangeai alors le téléphone dans ma poche et posa mes yeux vers le haut, vers cette voiture arrêtée, portes ouvertes et encore en marche. Cela ne me disait rien qui vaille. Quelque chose se passait. Regardant autour de la voiture, je remarquais alors plusieurs traces de pas, assez différentes. Oui, quelque chose de grave était entrain de se passer et Serena était au centre de cette affaire.
Sans réfléchir, je partis alors dans la nature environnante avec pour espoir de tomber sur elle, recroquevillée quelque part, consciente et attendant que je la rejoigne. J’avançais alors prudemment, doucement, essayant de ne pas trop faire de bruit puisque je savais que quelqu’un d’autre rodait dans les parages, et en faisant attention où je mettais les pieds. Il faisait assez noir et cela était dur de bien s’orienté dans cette nature. Les yeux grands ouverts, je regardais partout autour de moi, espérant la voir quelque part, voir un détail, une quelconque chose.

Soudain, j’entendis un coup de feu. Mon cœur s’accéléra et ma respiration se saccada à l’entente de se bruit. Seul un son, un mot, un prénom sortit alors de ma bouche « Serena », murmurais-je alors qu’instinctivement, je me mis à courir vers le lieu d’où provenais le coup de feu. Enfin, vers l’endroit à peu près, sans vraiment être sûr. Je trébuchais plusieurs fois lors de ma course, me prenant les pieds dans des racines ou autres grosses pierres. Mais qu’importe, ma femme était en danger et rien ne pourrais m’empêcher d’aller la retrouver. Je courais à en perdre haleine, ne m’arrêtant pas temps que je ne l’avais pas retrouvé. J’avais l’impression de courir depuis plusieurs minutes et de ne rien trouver. Je ralentis l’allure tout en regardant encore autour de moi. Mais où était-elle ? Avais-je rêvé concernant le coup de feu ? Non s’était bien trop réel. Je commençais à douter. Peut-être que la peur m’empêchait d’être totalement lucide et sûr de moi. Non, je ne devais pas laisser la peur m’envahir. Elle était forte et puissante certes, mais elle ne m’aiderait pas, pas du tout même. Je n’avais pas besoin d’elle pour retrouver Serena, loin de là.
Continuant de marcher, j’entendis alors un second coup de feu. Cette fois s’était sûr, mon esprit ne me jouait pas des tours. Celui-ci était bel et bien réel. Et de plus, il était tout près, sur ma droite. Encore une fois, je m’engageai alors à la poursuite de se son, le plus rapidement possible et je débouchais dans une toute petite clairière. Deux hommes se trouvaient alors sur place et ils ne m’avaient pas encore vu. A leur pieds, Serena, allonger, les yeux clos, une marre de sang sur et sous le corps. La vu se brouilla alors que des larmes coulaient toutes seules sur mes joues. Je sentais les nerfs et ma raison me lâcher si bien que je sentis un afflux sanguins se précipiter le long de mon corps et une envie de meurtre se faire plus présente. Ne pensant plus qu’à Serena, sa sécurité, sa survie, je laissais le reste de coté et me focalisa sur mes deux ennemis. Attwood, Ferguson, policiers, qu’importe ce qu’ils étaient, ils n’étaient rien d’autres pour moi que deux proies. Deux futures victimes. A cet instant, leur seul problème, qu’ils ne connaissaient pas encore puisqu’ils ne m’avaient pas remarqué, était un jeune homme en furie d’un mètre quatre-vingts quatre et de quatre-vingts cinq kilos.

Les yeux noirs, plissés, et braqués sur mes ennemis, je m’avançais alors vers eux sans un bruit, sortant mon Beretta de ma ceinture et le pointant sur celui qui détenait l’arme. Sans sourciller, sans aucune hésitation, j’appuyais alors sur la détente. La détonation se retentie dans cette nature où le silence régnait et c’est dans une satisfaction non perçut que ma victime s’effondra sur le sol, la balle s’étant logé en plein dans son cœur. Il gisait, gigotant et crachant du sang. Il ne lui restait qu’une poignée de seconde à vivre. Sous l’effet du choc, le deuxième homme regarda son compagnon tomber sans réagir. J’en profitais alors et tel une bête assoiffé de sang, lui fonçais dessus. L’attrapant par la jambe, je le soulevais du sol et le plaqua alors violemment, de tout mon poids contre le sol. Un taekdown parfait. Le souffle court, à la limite de tomber dans les pommes, je me mis alors en garde monté sur lui et le frappa alors de toute mes forces. Mes poings s’écrasèrent avec force sur son visage, le défigurant petit à petit alors que son visage se coupait sous mes coups et que mes mains gonflaient et se coupaient aussi.
Me relevant, je le pris avec moi et le jeta de toutes mes forces, toutes celles qui me restaient, contre un arbre juste à coté de nous. Son corps s’écrasa avec forces, ses os se brisèrent sous la force du coup et il retomba alors sur le sol. le corps tremblant, il essaya de se relevait alors qu’il crachait du sang. L’action avait été bien trop rapide pour lui. Il ne s’était pas préparé à ça. La mort de son ami avait créé un moment de choc, un moment que je m’étais empressé d’utiliser contre lui pour l’avoir et le ruer de coup. Le regardant une dernière fois, je me retournais alors vers Serena et me jeta à ses cotés, la prenant dans mes bras, regardant son corps, ses plaies, regardant son visage, fermé, inconscient. Doucement, je lui mis quelques petites tapes sur la joue…


« Serena… SERENA… je t’en prie réveille toi. Tu ne peux pas me laisser comme ça… SERENA »

Hurlais-je alors, priant pour qu’elle se réveille, qu’elle me revienne. Sans attendre, je la pris dans mes bras et la souleva du sol, marchant alors en direction de la route et de notre voiture pour l’amener à l’hôpital. Je ne me retournais pas pour vérifier l’état de ses agresseurs, il n’y avait qu’elle pour moi et rien d’autre…

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyVen 22 Oct - 21:32



    Quand j'étais petite je me disais que l'humain ne pouvait pas être quelqu'un de bien s'il en venait à faire du mal aux personnes autour de lui, j'étais loin de me douter que le monde entier agit de la sorte et qu'il nous condamne sans cesse à un danger permanent. Je me dis parfois que c'est le fait de vivre à Volusia mais si on réfléchit bien, même dans une autre ville on peut être attaquer pour un porte monnaie totalement vide. Juste qu'ici on ne se fait jamais attaquer pour rien dans le sens où c'est souvent parce qu'on appartient pas au bon clan, bien que cette idée n'est pas tellement celle qui me réjouit réellement. Quand j'entends ses hommes derrière moi qui me poursuivent je me demande pourquoi ils sont après moi, qu'est ce que j'ai bien pu leur faire pour qu'ils viennent se perdre dans ce coin et m'en veuillent autant. Je n'ai aucune appartenance distincte au clan, hormis sortir avec l'un d'eux mais je n'ai pas de tatouages ou autres emblèmes laissant à penser que je suis dans le côté Attwood, du coup j'agis de manière à ne pas me laisser attraper. Comme un instinct de survis qui me dit de vite me tailler d'ici si je ne veux pas réduire ma vie à une agression qui pourrait l'anéantir ou bien la gâcher car j'ai déjà rencontré des personnes ayant subit une agression et elles n'oublient jamais ça. Je ne me suis jamais dit que ça n'arrivait qu'aux autres car j'étais consciente malgré tout mais je reculais dans ma tête l'échéance où je vivrais ce moment là, où ma vie ne tiendrait qu'à une ou deux personnes que je ne connais peut-être pas.

    Je pensais à mon homme jusque là rien d'étonnant car je pensais souvent à lui, que ça soit juste comme ça ou bien dans ses moments où j'en ai le plus besoin ça peut être de la banale épilation à la cire qui est douloureuse à une situation où je me demande comme lui la prendrait. Je voulais à tout prix arriver à le joindre ce soir mais par la cause de panique notamment et d'obscurité je n'avais pas pu atteindre une quelconque tonalité qui m'aurait fait avoir de l'espoir à ce qu'il vienne me chercher. Surtout que hormis conduire sagement sur ma route, je n'avais rien fait et encore moins provoquer un acte accidentel, ma pauvre voiture qui je pense serait foutu à l'avance et encore ça n'était que matériel oui mais j'y tenais elle avait tant de souvenirs. J'en avais perdu mon portable et puis j'avais finit par lancer mon sac sur le côté quand j'avais chuté sur le sol à cause d'une branche stupide, mais je pensais pas qu'ils étaient aussi près de moi. Et ce fût assez rapide qu'ils me donnaient des coups et me violentaient, je m'écroulais sans savoir la suite, et je n'avais pas prévu qu'ils finiraient par me tirer dessus car j'eus la force de vouloir me débattre encore un peu. Le sang coulait, je le sentais sortir de mon corps, sans doute se répandre sur mes vêtements déchirés et sur le sol de terre, je n'étais plus consciente mais j'entendais quelque chose sans savoir ce qui se passait. Avant de recevoir un peu de douceur tout à coup, je me sentais soulever, était-ce le fait de mourir, est ce que c'est ça la mort, mais une voix que je connaissais par coeur se fit entendre et je savais dès lors que je n'avais plus rien à craindre.

    Je souffrais et à mesure qu'il courait j'avais encore plus mal encore, mais je peinais à ouvrir les yeux ou à bouger quelque chose, et encore moins à parler de ma bouche que je sentais humide et gouteuse comme si du sang s'y était déposé. De la chaleur sans doute qu'il me posait quelque part, j'ignorais que c'était sa voiture et je voulais tant lui répondre, mais qu'est ce que je pouvais dire réellement car pas de son ne sortait de ma bouche. Et soudain je sentis un vêtement frôler ma main et j'eus le reflexe sans doute nerveux de l'agripper, c'était lui que je retenais et c'était sans doute la seule chose que j'étais capable encore de faire. Ne pouvant bouger réellement je sentais mon corps s'engourdir et j'avais si froid que la chaleur me faisait frisonner et ça je ne pouvais pas le contrôler, je ne savais pas quel était mon état et si j'allais survivre, mais je n'avais jamais eu aussi mal. Dormir était ce qui m'attirait mais je savais qu'il ne fallait surtout pas que je sombre car je ne voulais pas, ne plus revenir et ne plus sentir son corps costaud contre le mien si fin, l'entendre me dire qu'il m'aime et que sans doute je serais la seule dans sa vie. Pas maintenant que le bonheur que j'attendais tant me sourirait et que je vêtiras une robe merveilleuse pour devenir sa femme, pour porter ses enfants et pour faire une famille comme je ne pensais pas en avoir un jour ...
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyDim 24 Oct - 15:56

Voila ce que je redoutais le plus s’était produit. Dans cette ville minable et moisie jusqu’à la moelle, la personne que j’aimais le plus s’était faite agressée. Rouée de coup, violentait et blessée mortellement. Dès que l’heure de son retour était dépassée, je savais que quelque chose s’était produit, je ne voulais pas trop y penser, ne voulant pas que la peur s’emparer de mon corps mais s’était une tentative désespérée. Je connaissais que trop bien cette ville pour savoir ce qui s’était passé et en voulant ne pas y penser, je retardais simplement le moment où j’allais perdre tout contrôle. Mais une fois sur les lieux de l’accident, une fois la vue de ma femme, allongée sur le sol dans une flaque de son propre sang, les limites de ma raison étaient atteinte et plus rien ne me retenais. Tel un animal, j’abattus froidement l’un des deux hommes du balle entre les deux yeux alors que je massacrais l’autre avec force et acharnement, le dévisageant au fur et à mesure que mes poings nus s’écrasaient avec brutalité sur son visage. Je ne savais pas qui étaient ses deux hommes. Peut-être étaient-ils des gens sympathiques et respectable, peut-être avaient-ils une famille, une femme, des enfants, ou peut-être pas. En temps normale peut-être aurais-je pu être clément et les laisser s’enfuir. Mais là, peu importait ce qu’ils avaient ou non. ils avaient osés toucher à la seule personne qui était ma raison de vivre. Ils avaient osés lui faire du mal, la maltraiter. Et plus rien ne pouvais me retenir.

Les mains ensanglantées de son sang et du mien, vu que ma peau avait craqué sous les coups que je lui avais donnés, j’avais laissé cet homme à la limite de la mort et m’étais alors concentré sur Serena, son état, sa santé. M’agenouillant à ses cotés, j’avais remarqué alors les bleues et traces que portait son visage. De plus, une importante trace de sang avait pris place sur son t-shirt et en le relevant un peu, j’aperçus le trou formait par la balle et le sang qui jaillissait. Serrant la mâchoire, je craqué mon propre t-shirt et l’appuya alors sur la blessure, ce qui la fit tressaillir. J’avais conscience de lui faire mal mais il fallait que je retienne l’hémorragie du mieux que je le pouvais. La décollant du sol, je partis rapidement en direction de ma voiture. Je courais presque, le poids minime de ma femme me le permettant, et je faisais attention où je mettais les pieds pour ne pas chuter et aggraver la situation. Nous n’avions pas vraiment de temps pour cela, c’est pourquoi, je faisais de mon mieux pour ne pas me casser la figure avec elle dans mes bras. Le tissus de mon t-shirt en boule sur sa blessure, j’avais réussi à placer cela tout contre mon corps de façon à appuyer dessus pendant que je la tenais. Certes, la pression n’était pas la même, mais s’était toujours mieux que rien.

Rapidement j’atteins ma voiture et posa délicatement Serena sur le siège passager. Alors que je me retirais je sentis sa main agripper le tissu de ma veste et le serrai fortement. Je pris son visage entre mes mains, posa mon front contre le sien et déposa un long baiser sur ses lèvres. Elle était encore en vie. Elle avait les yeux clos, certes, mais était encore en vie, du moins juste assez pour me montrer sa présence et me montrer qu’elle m’avait reconnue. Je devais faire vite. Prenant place coté conducteur, je démarrai la bête et appuya fortement sur la pédale d’accélération. Regardant à tour de rôle la route et Serena, je pris sa main dans la mienne et la serra jusqu’à sentir son étreinte. Cette étreinte sur mes doigts était vitale. Je pouvais dès lors sentir à quel point elle restait encore en vie. Plus sa force diminuait plus son souffle vital s’enfuyait. Je lâchais alors le volant, m’empressant de mettre le chauffage. Il faisait déjà chaud mais son corps baisser en température et il fallait que je la tienne le plus longtemps à une chaleur constante. A cette heure, il n’y avait plus grand monde sur la route ce qui facilitait notre avancer vers l’hôpital le plus proche.


« Serena, ouvre tes yeux ma belle, je t’en prie reste consciente… Ne t’endors surtout pas mon amour. »

Je la regardais, essayant de faire en sorte qu’elle ne sombre pas dans se sommeil qui l’appelait, un sommeil qui pouvait être dévastateur et pouvait alors me la retirer, me la kidnapper et ne plus me la rendre. Je ne devais pas la laisser sombrer alors que nous n’étions plus vraiment très loin de l’hôpital. Il fallait qu’elle tienne, qu’elle trouve la force, au fond d’elle, de tenir le coup et de rester avec moi ici, de ne pas m’abandonner.
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyLun 25 Oct - 21:39



    Je n'avais jamais subit d'agression sur ma personne, parfois des assauts de groupe ou bien en soirée mais je n'étais jamais seule au monde comme maintenant et l'attaque ne me visait pas personnellement, là je pensais que c'était parce qu'on m'avait trouvé comme Attwood. Disons que comme je sortais d'une route du quartier sans doute qu'on me suivait et que je m'en étais pas rendu compte. Peut-être ces hommes se plaçaient toujours dans un coin précis et ils chassaient les voitures qui sortaient de la fin du quartier, disons que dans ma tête je cherchais une explication possible car je n'étais pas marié avec le chef du clan ou de son second, du coup pourquoi moi. Enfin je savais que certaines se faisaient agresser mais je pensais pas que ça m'arriverait, comme souvent on se dit que ça n'arrive qu'aux autres alors qu'en fait on est conscient de n'être à l'abri de rien du tout, surtout en étant une femme. Je n'avais rien pu faire, enfin j'avais pu me débattre et leur donner du fil à retordre ce qui du coup m'avait fait recevoir une balle volontairement tiré par un des deux hommes, première fois qu'on me tirait dessus. Une douleur vive et l'orifice me brulant toute la partie autour, et je sentais le sang coulé contre moi, mais je ne pouvais rien faire car je ne pouvais pas revenir à moi sans souvenir un peu plus encore. J'avais conscience qu'il se passait quelque chose, car personne ne continuait à me brutaliser ou bien à peut-être abuser de ma personne, mais de la douleur que je reconnais par dessus tout et une voix que j'aime entendre à mon oreille le matin.

    Il me portait jusqu'à sa voiture, du moins j'en déduisais les choses sans rien savoir de plus mais je voulais pas qu'il s'inquiète de trop, et mon seul espoir à lui donner c'était de l'agripper malgré que ça me faisait encore plus mal. Sentir son corps viril contre le mien blessé cela me rassurait mais je sentais que je ne tenais pas, que j'avais du mal à rester inconsciente et que je me sentais partir autre part, mais j'ignorais quoi. J'avais peur de le perdre, peur de partir et de ne plus pouvoir revenir alors je luttais mais je savais que mon corps serait plus fort que mon esprit et qu'il succomberait bien avant moi, à un sommeil bien trop profond. Ma main se dénoua de son vêtement et je ne pouvais plus rien, j'étais partie ailleurs, je n'étais pas au paradis comme je le pensais, j'étais paisible cela était assez étrange en fin de compte. D'ailleurs cela dura puisque je n'entendais plus rien du tout, je ne sentais pas mon homme entrer dans les urgences en hurlant qu'il avait besoin d'aide et encore moins les soins qu'on m'apportait par la suite. Mon corps était allongé et des gens hospitaliers tout autour et je voyais celle que j'étais, cela était plutôt inattendu et je me demandais comme faire pour retourner dans mon corps. Je marchais sans savoir où aller mais je me retrouvais rapidement tout à côté dans une salle d'attente et mon homme était là mais je savais bien qu'il ne me voyait pas, et je le voyais dans un tel état que ça me mettait les larmes aux yeux.

    J'avais comme honte, de lui faire vivre cela car je le sentais fragile malgré son allure si sûr de lui qu'il avait souvent à mes côtés, je me rendais compte qu'il tenait à moi tout autant que je tenais à lui, cela me touchait et j'aurais aimé le découvrir autrement.

    ▬ ... si tu savais comme je t'aime, mon amour ...

    dis-je en parlant même s'il ne m'entendait pas, je sais pas mais c'était plus fort que moi, et j'aimerais tant le serrer dans mes bras et me dire que je fais encore un mauvais cauchemar comme ça m'arrive des fois. Je décidais de retourner voir mon corps, ce qu'ils en faisaient et je ne voulais surtout pas me voir dans ce mauvais état, et ce que je voyais de mes yeux n'était pas réjouissant mais je me sentais déjà un léger mieux avec ces fils et tuyaux autour de moi. Je sursautais soudain en entendant une porte claquée, je ne m'y attendais pas et d'habitude les bruits ne me font pas peur mais là, j'ai cru à nouveau qu'on me tirait dessus. Un homme s'approchait en blouse verte vers mon homme, et il avait pas une mine qui annonçait les bonnes nouvelles, du coup je pris une bonne inspiration avant de pouvoir entendre ce qu'il comptait dire à Zac à mon sujet.

    ▬ ... monsieur Winston ? ... je suis le chirurgien qui s'occupe de votre femme ... nous avons réussit à arrêter l'hémorragie mais elle a eut quelques os brisés malgré tout et elle était déjà dans un profond coma quand vous nous l'avez amené ... elle a également un traumatisme crânien dû sans doute aux coups qu'elle a reçu ... les prochaines 48 heures seront importantes quand à la suite de son pronostic vital ... nous avons fait notre possible pour la sauver, reste à sa volonté de vivre ou pas maintenant ...

    J'en tombais des nues car je me disais qu'en fait ça dépendait de mon corps maintenant, et que sans doute je ne pouvais rien y faire, d'ailleurs je savais même pas comment ça se faisait que j'étais hors de mon corps. Enfin moi qui ne croyait pas du tout à ces choses là, voilà que je me trouvais en plein contraire de mes croyances ...
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMar 26 Oct - 19:08

J’avais déjà connu ça. En quelque sorte. Et je ne voulais pas que ça recommence. Dans un crissement de pneu, je me garer sur le trottoir, juste à l’entrée de l’hôpital, et c’est en hurlant que je sortis de la voiture. Les passants restèrent choquaient lors de mon arrivé avant de comprendre ce qu’il se passait lorsque je sortis le corps ensanglanté de ma femme. La prenant dans mes bras, je me dirigeai rapidement dans le hall d’accueil de l’hôpital, zappant sur mon passage les différents regards qui se posèrent sur moi. Des regards aussi bien compatissant que meurtriers. Certaines personnes compatissaient à ce qui m’arrivait, d’autres en revanche en étaient indifférent voir même souriaient de plaisir. Comme s’ils voulaient me dire que c’est ce que je risquais pour avoir pris par à cette guerre. Je savais très bien ce que je risquais. Mais je ne voulais pas que ça arrive. Jamais, pas à elle. Mais je n’avais pas su la protéger comme je le devais, comme je le lui avais promis. Par ma faute, par mon implication dans le clan et dans cette guerre, elle était là, dans mes bras, le corps froid et plein de sang, à la limite de la vie et de la mort.

Les yeux pleins de larme, le cœur tapant fortement contre ma poitrine, j’avais le souffle court et le corps tremblant, de peur, de rage, de tous et n’importe quoi. J’étais impuissant et je n’aimais pas cette sensation. Ce manque de contrôle. Je ne pouvais rien faire pour l’aider, pour la sortir de ce pétrin dans lequel elle était par ma faute. Hurlant de toutes mes forces mon besoin d’aide dans le hall de l’hôpital, je regardais tous ses regards, ahurie et incompréhensif, pointés sur moi alors que les premières infirmières me rejoignaient, m’intimant l’ordre de poser ma femme. Mais qu’est-ce qu’elles racontaient ? La poser où ? Aucun brancard n’était encore là et il n’était pas question que je pose ma femme sur le sol. je la gardais tout contre moi, serrant son corps frêle et léger dans mes bras puissant, gonflés par l’adrénaline, le dernier rempart, la dernière protection que je lui offrait. Même ici, j’avais encore peur que quelque chose lui arrive et je mettais alors mon corps en protection pour lui éviter quoi que se soit. Une fois le brancard et les premiers médecins arrivaient, je déposais ma femme sur celui-ci et, lui tenant la main, la suivis jusqu’à la salle d’opération où on m’interdit l’entrée. Enervé et apeuré, je repoussais alors les infirmiers qui m’empêchaient d’entrer pour pouvoir la suivre alors, ne voulant pas la laisser seule, ne voulant pas la quitter. Mais je dus me raisonner et les laisser faire leur travail.

Doucement, plusieurs personnes m’accompagnèrent dans une salle d’attente et restèrent avec moi. Ils avaient peurs de mes réactions. Ils me savaient sous l’effet du choc encore et avaient peur de ce qu’il pouvait m’arriver. L’adrénaline avait en sorte que je puisse rapidement éliminer mes opposants et la porter sans trop d’effort et rapidement jusqu’ici, mais le contre coup pouvait être terrible. Le choc, et la baisse d’adrénaline pouvaient avoir des conséquences assez dramatique sur mon corps et mon cœur et c’est ce que redoutaient les infirmiers et infirmières qui restaient à mes cotés. Assis sur une des chaises, je me triturais les doigts, regardant l’heure, les secondes et minutes défilaient, les trouvant atrocement longues. J’attendais, ne pouvant rien faire d’autre alors que j’entendais le son d’une voix sans comprendre réellement les mots. Quelqu’un devait être entrain de me parler, d’essayer de me calmer mais je n’entendais rien. J’étais enfermé dans mes pensées, tourné corps et âme vers ma femme, vers la seule personne que j’aimais plus que tout au monde. Elle devait vivre, elle ne devait pas m’abandonner, pensait à moi, à nous, à nos futurs enfants. Il fallait qu’elle se batte. Si jamais elle sombrait, une Vendetta, un carnage aurait lieu alors en ville où le seul moyen de me stopper serait alors de me tuer, me permettant ainsi de la rejoindre de l’autre coté.
Après plusieurs longues minutes, voir heures, d’attente, la porte s’ouvris et je découvris alors un médecin venant à moi. D’instinct je me levais et me précipitais vers lui pour avoir des nouvelles. J’étais la seule personne présente dans cette salle d’attente et j’étais donc sûr qu’il venait pour moi. Sans pouvoir sortir le moindre son, il comprit alors que je voulais des nouvelles de ma femme et me les donna.


« ... monsieur Winston ? ... je suis le chirurgien qui s'occupe de votre femme ... nous avons réussit à arrêter l'hémorragie mais elle a eut quelques os brisés malgré tout et elle était déjà dans un profond coma quand vous nous l'avez amené ... elle a également un traumatisme crânien dû sans doute aux coups qu'elle a reçu ... les prochaines 48 heures seront importantes quand à la suite de son pronostic vital ... nous avons fait notre possible pour la sauver, reste à sa volonté de vivre ou pas maintenant ... »

Mes yeux se fermèrent alors que mon visage tomba doucement, le regard vers le sol. je rouvris les yeux, soupira, mon cœur s’accélérant de nouveau et une seule chose me vint alors à l’esprit.

« Puis-je aller la voir ? »

S’était tout ce que je voulais. Etre là, avec elle, durant tout le temps qu’elle resterait dans cet état. Je voulais être là, lui montrer mon soutiens, même si elle ne le voyait pas, lui montrer que je l’attendais et l’attendrais tout le temps qu’il faudra. D’un simple signe de tête, j’eu son accord et c’est précipitamment que je partis en direction de sa chambre et y pénétra. Couverte de bleue et de bandage, des tuyaux de toutes parts étaient incrustés dans son corps et les larmes que je retenais depuis le début réussir alors à glisser et à s’enfuir sur mes joues. Doucement, je m’assis sur un petit fauteuil a coté de son lit et me rapprocha d’elle, déposant mes lèvres sur son front et prenant une de ses mains dans les miennes…

« Je suis là mon amour… Avec toi… Bats toi mon cœur, soit forte… pour nous. Si tu savais à quel point je t’aime… »
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMer 27 Oct - 20:56



    Quelle situation pas possible à imaginer, car je me pensais enfin au loin des soucis malgré cette guerre, va savoir pourquoi depuis la demande de mon homme pour devenir sa femme, j'étais sereine et je ne voyais que par cela. On avait pas encore déterminé de date et puis je voulais justement lui annoncer que j'avais pas recommencer une nouvelle plaquette de pilule signe que je l'arrêtais complètement, comme il le souhaitait. Je voulais qu'il connaisse le bonheur d'être père grâce à moi, et j'espère pouvoir vraiment le combler sur ce point là, si la vie m'en donnait l'occasion à l'avenir, je n'y croyais pas mais pourtant je voulais me battre. Avoir cette sensation qu'on ne contrôle plus rien du tout, est un moment difficile pour moi, me voir sur ce lit d'hôpital dans un mauvais état, et sentir que tout un monde s'écroule sous mes yeux sans que je puisse faire quelque chose. Il était si seul en ce moment même, moi je l'étais mais la situation n'était pas pareil, car il me pensait mourante alors que je me voyais bel et bien encore présente dans ce monde. D'ailleurs qu'est ce qui se passe après la mort, est ce qu'on disparait comme ça et qu'on n'existe plus jamais ou bien est ce que je dois crois à une autre vie, de l'autre côté comme dise certains. J'étais perdu car d'après le chirurgien c'était à ma dépendance de vivre ou pas, je veux bien mais qu'on me dise ce que je dois faire pour ça, car si ça ne tenait qu'à moi j'y serais déjà retourner pour arrêter les larmes de mon homme.

    Il était emplit par le chagrin de me perdre, je voulais jamais lui imposer ça car je ne voulais surtout pas que ça lui rappelle de mauvais souvenirs, de par son ancienne compagnie, que je n'avais pas connue mais que j'ai pu comprendre qu'il tenait beaucoup. Si je pouvais le toucher, le serrer fort dans mes bras et lui dire que je vais bien pour le rassurer en serait-ce qu'un peu car le connaissant je sais qu'il ne va pas vouloir me quitter. Je sentais sa main dans la mienne, une sensation étrange que je ne comprenais pas mais qui me réconfortait, comment expliquer quelque chose comme ça, j'avais un sourire aux lèvres à l'entendre me rassurer alors que je voulais en faire autant. Il était blessé sur ses mains des traces, je me demandais comment ça se faisait, car parmis mon sang il semblait pas n'y avoir que le mien, est ce qu'il avait anéantit mes agresseurs. Rien qu'à repenser à tout ça, j'en sentais mon coeur s'emballer et d'un coup les machines en firent tout autant il fallait que je me calme pour que mon corps en fasse aussi de même, je soufflais à mesure et je sentais qu'on me passait à travers pour venir à mes soins. Je me sentais en malaise mais il fallait pas que je cède, car je ne savais pas ce qui m'attendait encore et après un instant de mouvement dans ma chambre, tout finit par se calmer et je pus accéder à mon corps. J'étais si blanche que j'aurais pu jouer facilement un vampire dans Twilight et sans aucun maquillage, je me posais sur un des sièges vides tout à côté de moi et en levant les yeux je le voyais à nouveau mon homme, toujours effondré et ça me faisait si mal de le voir comme ça.

    Voilà un jour et une nuit que je suis dans cet état, et un soir de plus où je le vois à mes côtés, je me souviens pas de grand chose, comme si je m'étais endormie sans m'en rendre compte, je ne sais pas ce qu'il a pu faire autre que me veiller. A voir la tête qu'il avait, sans doute qu'il avait dormit ici, car je voyais sa fine barbe du matin encore là ce soir, et la veille celle-ci se voyait encore moins, d'après les médecins mon état n'avait pas bougé, cela ne voulait pas dire que c'était mauvais mais ça ne voulait pas non plus dire qu'il s'améliorait. Je me sentais fatigué un peu plus, et parfois mes membres étaient comme engourdis, je donnerais tout pour une fois de me faire masser plutôt que de devoir masser quelqu'un. Il s'était assoupis tout contre moi, le pauvre il ne devait pas dormir beaucoup et je ne pensais pas encore avoir vu quelqu'un pour le réconforter, mais je ne savais pas s'il avait prévenu quelqu'un. M'approchant de lui, je me tentais à le toucher en posant mes mains sur ces épaules mais, je savais bien que c'était peine perdu et j'en roulais des yeux tout en faisant ça, et par réflexe d'être si proche de lui, je lui susurais à l'oreille un maigre "je t'aime". Combien de temps ça comptait durer tout ça, car moi je n'aspirais qu'à retourner dans mon corps pour me battre et faire que je puisse continuer mon conte de fée avec mon amour, mon homme.

    Dans la nuit, j'eus une grande douleur et je m'effondrais sans savoir ce qui se passait d'ailleurs j'avais comme disparue et comme réintégré mon corps si mal en point, car mes douleurs étaient bel et bien là et j'avais preuve que je sentais sa présence. Fallait que je tente quelque chose, que je bouge ou que je fasse signe à mon homme, mais c'était douloureux la moindre respiration que je ne faisais pas toute seule d'ailleurs.
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyVen 29 Oct - 23:37

Cela faisait deux ou trois jours que j’étais là désormais. Je n’avais plus réellement conscience du temps qui passé, rien d’autre que Serena et sa survie importait désormais à mes yeux. Depuis que j’étais là, j’avais tout planté derrière moi, le clan, les amis, la salle de sport… ma vie était entre parenthèse tant que Serena n’était pas sortie d’affaire, tant qu’elle restait cloitré dans son lit, dans ce lit d’hôpital peut accueillant et réconfortant. Je passais mes journées à la regarder, regarder son visage, son corps, regarder les machines qui ne signalaient rien d’autre qu’un état stationnaire. J’allais et venais entre la cafétéria de l’hôpital et sa chambre, pour me nourrir un minimum, prenant des magasines que je feuilleté rapidement, mon attention entière étant poser sur elle, ma femme, celle que j’aimais le plus dans se monde. Parfois je croyais entendre quelques bips et j’appelais alors tout de suite les infirmières les plus proches, mais je me faisais que des fausses joies et je revenais alors auprès de ma femme, lui prenant la main, la caressant doucement tout en attendant…

Les médecins ne voulaient pas me faire d’autres fausses joies mais ils s’accordaient tous à me dire que l’état de ma femme était certes stationnaire mais que de toute petites évolutions se faisaient voir de temps à autres, signe qu’elle se battait pour revenir parmi nous. Même si tout ceci n’était que des suppositions, cela me faisait sourire. Je savais Serena forte, combative, je savais qu’elle ne m’abandonnerait pas. C’est pourquoi je dormais avec elle, m’allongeais à ses cotés, la regardant, lui glissant de tendre mots à l’oreille, lui disant combien je l’aimais, combien elle me manquait, combien sa vie m’était précieuse. Je l’encourageais alors, comme je le faisais toujours, pour qu’elle ne baisse jamais les bras. Je voulais qu’elle se batte, qu’elle fasse du mieux qu’elle pouvait. Je serais là, l’accompagnant, étant son seul supporter, le seul qui la pousse pour qu’elle survive. Depuis que j’étais là, j’avais pleuré toutes les larmes de mon corps. Aujourd’hui mes yeux étaient tout bouffis et rouges.


« Je t’aime moi aussi… »

Dis-je en réponse à son je t’aime alors que je dormais à moitié. Mais … comment aurais-je pu entendre un « je t’aime » venant d’elle ? S’était impossible. Elle était dans le coma. Rapidement alors, je me réveillais et me redressais pour pouvoir la voir. Je la fixais, me penchant vers elle alors qu’un coup, je vis un sursaut émaner de son corps et les machines s’affolaient. Là je ne rêvais pas. Quelque chose était vraiment entrain de se passer. Tremblant de peur je me mis alors a crier en sortant de la chambre et je vis des infirmières et médecins venir en courant. J’accourais alors vers ma femme et pris son visage entre mes mains, déposant mes lèvres sur son front tout en l’appelant…

« Serena… Serena je suis là mon amour… bats-toi… »

Les médecins me poussèrent et prirent place autour d’elle alors que je les regardais faire, priant pour qu’elle s’en sorte…
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMer 3 Nov - 19:50

    Troisième jour de galère où je m'étais faite peur plus d'une fois, heureusement que je tenais à la vie car sans doute que j'aurais pu passer de l'autre côté à chaque soucis de santé que j'eus ces dernières heures. Mais pas de doute j'étais encore là, je sentais la main de mon homme sur mon corps, je pense qu'il devait dormir un peu car je n'entendais rien et que je ne le sentais pas bouger. Sasha et ma meilleure amie étaient passés, je m'en souvenais car j'étais sans doute réveillé intérieurement à ce moment là, et leur voix à chacun m'avait tenu en haleine, au moins elles avaient été un peu là pour mon homme. Une d'elles lui avait fait la remarque comme quoi il se laissait aller et que si je venais à me réveiller autant avoir un bel homme plutôt qu'un homme ayant une mine affreuse. Me réveiller voilà quelque chose que Zac me demandait et ça me rendait mal de ne pas pouvoir décider ça, parfois je forçais un peu trop et mon coeur battait trop fort, ce qui déclenchait les alarmes. Il m'aimait car pour tenir autant à mes côtés sans bouger, c'est qu'il tenait vraiment à moi et je l'en remerciais d'être ici, je n'avais plus aucune famille hormis lui et je n'avais plus aucun doute qu'il serait l'homme auquel j'appartiens durant le reste de mes jours. Il s'occupait de moi en me passant parfois de l'eau sur le visage, déposant quelques baisers où je n'avais pas de marques ou de plaies, je suis sûr que je n'étais pas très séduisante et belle à voir, et j'appréhendais de me voir dans un miroir. Je revoyais les choses du début jusqu'à la fin et parfois j'avais la sensation de sentir les coups qu'on m'avait donné, avoir la douleur et l'impact de chacun, et ce mal de tête qui je cessais pas vraiment.

    Sans m'en rendre compte j'ouvris les yeux, la lumière de la chambre me faisait mal mais j'arrivais à distinguer la pièce où j'étais, mais je ne pouvais rien dire car les tuyaux me gênaient et je me sentais pas la force de plus. Les yeux ouverts je tentais de tourner un peu ma tête pour voir mon homme qui dormait, je tentais de remuer mes doigts pour faire bouger les siens et qu'il se rende compte que j'étais avec lui, en vie et réveillé.

    ...

    Remuant deux de mes doigts que je bougeais doucement sur la peau de mon homme, j'attendais de voir sa réaction, j'étais mal en point ça aucun doute mais je pouvais enfin le regarder, être dans mon corps et sentir combien je souffrais mais au combien j'étais heureuse d'y être malgré tout et de ne pas être que mon âme. Le mal était fait et pourtant je regrettais tout cela, je m'en voulais beaucoup de ne pas avoir prit ma voiture avant la nuit, de ne pas avoir accepter qu'il me porte jusqu'à mes amis et qu'il revienne me chercher. Mais dépendre de lui, ce n'était pas ce que je voulais, prendre soin de moi je ne refusais pas mais je tenais à ce qu'il profite aussi de ses moments de congé, et qu'il ne soit pas encore obligé de s'occuper de moi. Lui infliger cela a toujours été quelque chose que je refusais de faire il avait tellement souffert à cause de son ex, qu'en fait je faisais souvent prudemment les choses pour qu'il ne m'arrive rien, et que ce soit Zac qui en pâtisse.

    ▬ ... Za ... Zac

    je me forçais à faire en sorte qu'il m'entende mais ma voix était du chuchotement et je souffrais à forcer ma gorge malgré les tuyaux à parler, je continuais à le toucher du mieux que je pouvais pour qu'il soit avec moi maintenant.
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyVen 5 Nov - 1:34

La notion du temps m’avait complètement abandonné depuis que j’avais retrouvé Serena dans cette clairière, baignant dans son propre sang, aux prises avec ses ravisseurs qui ne lui avaient pas fait de cadeau. A cet instant, je m’étais totalement transformé. Une rage, que je ne connaissais pas, s’empara de moi avec une telle violence que je sentis l’adrénaline ce déverser dans tout mon être, décuplant alors mes forces, mes instincts et l’ensemble de mes sens. A cet instant, s’était un tout autre Zac. Une bête, un monstre assoiffé de sang, de carnage, de destruction. Quelqu’un qui m’était méconnaissable… alors qu’il s’agissait de moi. Je n’étais jamais aller aussi loin et même si normalement cela devait me faire peur, ce qui serait logique et normale pour tout être humain, j’étais agréablement surpris et j’accueillais cet être les bras ouvert.
Depuis ce moment, où je l’avais retrouvé, où j’avais écrasé ces hommes avec toute la rage et la force dont je disposais, le temps m’avait abandonné. Ma conscience l’avait rejetée. Plus rien au monde ne pouvait être précieux ou d’égale importance que Serena, sa survit, sa santé. Rien. J’étais là, au bord de son lit, sur le fauteuil, à ses cotés, je dormais même tout contre elle, quand j’arrivais à dormir, et je ne quittais sa chambre que pour me nourrir à la cafétéria de l’hôpital ou pour boire. Rien d’autre. Ma vie se faisait dans ses quatre murs. Dans cette chambre, aussi longtemps qu’elle serait allongée sur ce lit. Je me demandais pendant combien de temps les médecins allaient me laisser squatter cet endroit. Vu que je n’avais pas la notion du temps, je ne savais pas vraiment cela faisait combien de temps que j’étais là. Mais ils devaient savoir, inconsciemment, que personne ne pourrait me dégager d’ici. En même temps, je ne faisais rien de mal et ne dérangeais personne. Je restais à ma place, sans bouger, sans parler, ne me préoccupant que de Serena.

A un moment, je ne sais plus exactement quand, Sasha et une amie de Serena étaient venues nous rendre une petite visite. Enfin, elles étaient là pour Serena et ce geste m’apaisa totalement. Elles étaient venues voir leur amie qui était en mauvaise état et qui avait besoin de tout l’amour et de tout le soutien possible pour s’en sortir. Elles avaient même réussi à me faire légèrement sourire. Un exploit. Depuis ce moment, toute trace de bonheur et de joie m’avait quitté. Je n’attendais que le retour de Serena pour redevenir le Zac que j’étais. Le Za qu’elle aimait tant. Le Zac qu’elle avait façonnée. Elle était ma raison de vivre, mon bonheur, mon carburant. S’était grâce à elle que je pouvais fouler le sol de cette Terre. Sasha m’avait demandé alors d’aller me changer, me laver, me raser. Me faire tout beau pour le retour de Serena. Je souriais doucement. Elle avait raison, Serena méritait de retrouver à son réveil un homme en forme, en pleine possession de ses moyens. Mais je ne voulais pas la quitter. Je ne voulais pas la laisser là. J’avais peur de rater son réveil. Mais Sasha était douée, extrêmement forte et elle réussit à me convaincre.
Rapidement, j’étais donc retourné chez moi. Chez nous. Le chemin fut rapide. Extrêmement rapide. J’avais mis mes vêtements dans le panier de linge sale, posé le courrier sur la table de la cuisine et après avoir pris une bonne douche, m’être rasé, coiffé et être devenu tout propre, j’avais enfilé de nouveaux vêtements et été repartis aussitôt à l’hôpital. Sasha était restée aux cotés de ma femme durant tout le temps que j’étais partis. Elle était adorable et jamais je ne pourrais la remercier assez. Laissant les amies de Serena nous quitter, je dis au revoir à Sasha qui m’annonça que Riley et Melisande étaient de tous cœurs avec nous, ce qui me toucha énormément, puis je vins m’installer aux cotés de ma chérie. Prenant une de ses mains dans l’un des miennes, je caressais doucement sa tête, passant mes doigts dans ses cheveux alors que mes autres doigts s’entremêlaient aux siens. Le sommeil me gagna rapidement et c’est assis sur le fauteuil, la tête posé sur les coussins de son lit que je m’endormais tout doucement. Je ne le voulais pas mais mon corps était à cet instant bien plus fort que moi. je fermais alors les yeux et plongea dans un profond sommeil.

Après plusieurs minutes, ou plusieurs heures, j’entendis une voix. Douce, faible, très fine et peu sonore. Cette voix flottait jusqu’à mes oreilles, les caressant doucement, me permettant de plonger dans ma phase de réveille. Je ne comprenais pas trop ce qu’elle me disait mais j’avais l’impression de la connaître. Oui, elle m’était familière, très familière. Petit à petit, alors que mon corps se réveillait suite au réveil de ma conscience, mes sens se réveillèrent et je commençais à mieux percevoir mon entourage. Cette voix, je l’entendais mieux. Beaucoup mieux. Et autre chose de plus important, je sentais une faible pressions s’exercer sur ma main. Une pression suivit de toute petite caresse. Étais-je entrain de rêver ou ceci était réel ? Je forçais alors le réveil de mon corps et ouvris rapidement les yeux, les posant directement sur le corps de ma femme, sur son visage.
Je la vis. Là, réveillée. Elle venait alors de sortir de ce coma infernal qui l’avait tenu éloignée de moi. Mes yeux rencontrèrent alors les siens et se perdirent dans cet océan azur. Un sourire naquit sur mes lèvres, un sourire qui s’étira de plus en plus, n’en finissant jamais alors que je prenais conscience qu’elle était bel et bien là. Bel et bien en vie. S’était magique. Je n’avais pas les mots. J’essayais alors de parler, de dire quelque chose mais ma voix se serra alors qu’un flot d’émotion grandissant prit possession de mon corps, l’envahissant de toute part. Doucement, des larmes s’échappèrent de mes yeux et roulèrent sur mes joues. Ces petites perles salées s’écrasèrent en nombre sur nos mains liés et c’est alors que je fondis vers elle, déposant un long et doux baiser sur ses lèvres.


« Mon amour… »

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyLun 8 Nov - 20:08

    Je ne savais pas si je survivrais ou pas, d'ailleurs j'ignorais si j'avais des séquelles sou pas mais j'avais déjà hâte de retrouver mon foyer avec mon homme et rien d'autres. Plus ces tuyaux ou ces médicaments qui me maintiennent en vie, et plus cet univers qui me donne froid dans le dos, car ici hormis des naissances il ne se passait pas des événements joyeux la plupart du temps. Chaque jour je faisais des progrès car je ne marchais plus si facilement qu'avant et il me fallait déambuler les couloirs chaque matin, pour m'améliorer sans trop souffrir, car malgré la balle retiré de mon corps, j'avais toujours mal et je la sentais comme si elle était encore là. Mon homme passait quasiment ses journées avec moi, pourtant c'était pas faute de lui dire d'aller travailler un peu, afin que ça lui change les idées, afin que je ne sois pas son unique boulet. Je ne serais pas comment le remercier d'être là pour moi, à trop m'avoir il finirait par se lasser de moi et en aimerait une autre plus sexy et moins chiffonné par une allure de jeune femme qui n'avait pas prit soin d'elle depuis des jours et des jours. J'osais pas me regarder dans le miroir, j'avais refusé dès le premier jour où l'infirmière avait demandé à prendre soin de moi, en me coiffant les cheveux et en me débarbouillant chaque matin. Pauvre Zac voilà que je lui donnais une image de moi, qui ferait fuir n'importe qui, il me disait que les traces de coup sur mon visage s'apaisaient à mesure du temps et que la beauté de celui-ci revenait encore plus.

    Allongé sur mon lit, je regardais mon homme dormir un peu, il avait dû s'assoupir en pensant que j'en aurais pour quelques heures à dormir mais une fois encore je faisais un cauchemar, mais je n'osais pas en parler parce que je voulais pas qu'on s'en fasse pour moi. Je sortais peut-être demain me disait le médecin, mais il fallait pour cela que je fasse quelques examens et qu'il valide le tout, cela me rendait nerveuse car je tenais tant à sortir de cet endroit que je côtoyais depuis trop de temps à mon goût. Caressant le bout de ses doigts des miens je le fixais longuement pour le voir ouvrir les yeux, j'aimais pas qu'on me réveille mais j'adorais le faire aux autres quand ils dormaient, car je n'aimais pas être éveillé quand à mes côtés on dormait.


    Chéri ...

    Le laissant se reprendre, je laissais mon doigt autour de mon pansement, tout en tournant autour en touchant celui-ci, j'espérais que la cicatrice soit moindre, pas pour le côté esthétique mais pour oublier un peu plus facilement tout ça. Quoi que je savais bien que je n'oublierais jamais mais juste que ça me rappelle le moins souvent cet épisode qui tourne en boucle dans ma tête quand mes paupières se ferment contre ma volonté.


    J'aimerais qu'on aille faire un tour ... ce ne sera pas la grande promenade au parc comme j'aime tant mais allant voir la beauté de ces couloirs ... sans fauteuil roulant si possible ...

    Je grimaçais car à chaque fois il me fallait le prendre mais comme je sortais demain, je n'avais plus vraiment envie de m'en servir, et j'espérais qu'il ne me force pas pour mon bien à le prendre encore une fois.


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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMar 9 Nov - 17:24

Cela faisait maintenant 1 semaine qu’elle était sortit du coma. Une semaine que je reprenais goût à la vie aux files des jours qui avançaient, à la voir se remettre doucement et revenir petit à petit à sa forme d’avant. Lors de son réveil, lors de son retour parmi nous, je m’étais senti extrêmement bien. Totalement soulagé comme si le poids de cette peut que j’avais de la perdre s’était enfin en allé. Un sentiment pratiquement indescriptible. Je n’avais pas les mots pour lui dire le bonheur que j’avais de la voir. De la revoir. J’avais eu tellement peur qu’elle ne cède et ne revienne jamais, qu’elle s’en aille pour toujours, me laissant seul dans ce monde de guerre et de haine…
Depuis son retour, elle travaillait comme une acharnée pour pouvoir sortir plus tôt de l’hôpital. Je la comprenais, moi-même j’en avais passé du temps dans ces lieux et autant dire que ce n’était pas très joyeux et reposant. Tous les matins donc, elle se levait de son lit, et partait marcher un peu dans les couloirs. Un simple petit aller-retour vers quelques chambres voisines. Elle ne devait pas trop forcer, elle le savait. Elle n’était pas encore totalement remise de ses blessures. Mais elle faisait de grand progrès. Du moins, sur le plan physique. Sur le plan psychologique et moral par contre, je n’étais sûr de rien et je ne savais pas vraiment dans quel état elle était. Je voulais parler avec elle. Mais je ne savais pas quoi lui dire.

Je me contentais alors d’être là, d’être présent pour elle, tous les jours, toutes les heures, toutes les minutes. Je ne la lâchais pas, même si elle me demandait de partir travailler. Je m’y refusais et voulais rester avec elle jusqu’à ce qu’elle ne sorte enfin d’ici et que tout aille pour le mieux. Elle avait besoin de moi je le savais. Je le sentais. Elle ne me le disait pas et ne me le dirait sans doute pas. Mais je le savais. Elle n’avait pas besoin de me le dire, de me demander d’être à ses cotés. Nous nous comprenions parfaitement, je savais ce dont elle avait besoin et elle savait que de toute évidence, je resterais avec elle. Et c’était ce que je faisais. Tous les jours j’étais ici, dans cette chambre d’hôpital avec elle. Je dormais même là, à ses cotés, soit sur le fauteuil, soit légèrement posé sur le lit. Bon nombre de fois les infirmières m’avaient engueulée quand je me posais sur le lit avec ma femme mais je ne les écoutais pas. Je me moquais royalement de ce qu’elles pouvaient dire.
La tête posé sur le lit de ma femme, mes mains dans les siennes, je me réveillais tout doucement en sentant des petites caresses sur mes mains et plus précisément sur mes doigts. Mes eux s’ouvrirent lentement sous la lumière et ils se posèrent directement sur le visage de mon ange. Comme par automatisme. Un fin sourire se dessina alors sur mes lèvres, depuis qu’elle s’était réveillée de son coma, j’étais tous les jours heureux de la voir en vie, à mes cotés. Sa voix résonna dans mes oreilles, et je dus prendre quelques secondes pour répondre convenablement, m’étant tout juste réveillé. J’hochais tout d’abord la tête, lui exprimant ma compréhension et mon accord et m’étira quelque peu avant de me levais et de venir à ses cotés
.

« Très bien mon amour. Allons-y tout doucement… »

Je la soutenais quelque peu, l’aidant à arriver vers la porte avant de me dirigeai dans le couloir, ne tenant plus que sa main, la laissant faire. Mes doigts étaient entrelacés dans les siens et je marchais doucement à ses cotés, comme si nous faisions une petite balade tranquillement rien qu’elle et moi. le décors n’était pas très idyllique certes, mais s’était un début assez prometteur pour nos futures balades.
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMar 9 Nov - 23:10

    Je n'ai jamais aimé cet endroit enfin en même temps qui le préfère parmis autre chose, disons que je suis assez fervente d'attendre le dernier moment pour me faire soigner en tant normal. Que ça soit pour aller même au médecin il m'en faut beaucoup pour finir par y aller, je ne suis pas douillette du coup je peux tenir avec des douleurs importantes, le moral y joue sans doute beaucoup mais je pense que la violence de mon père, a fait que je sois si résistante à pas mal d'incidents sur moi-même. Cela ne me rendait pas invincible car me défendre je ne savais me servir que des gestes que mon homme m'avait apprit et également des quelques réflexes que j'avais mais contre mon poids plume et des personnes en face je ne pouvais pas lutter. Je ne pensais pas qu'une simple sortie chez une amie me prendrait une partie de moi-même car j'avais cette impression que de ne plus vraiment être celle que j'étais avant tout ça. Une part de moi n'avait pas survécu à cela, mais je préférais ne pas m'en poser trop la question pour le moment, mais j'appréhendais malgré mon envie de sortir de l'hôpital, le retour jusqu'à chez moi. Je ne sais pas pourquoi mais j'avais l'impression que de nouveau il m'arriverait quelque chose, d'ailleurs j'avais eu ma patronne au téléphone qui me disait de surtout prendre soin de moi, car elle ne voudrait pas perdre son meilleur élément. Cela m'avait touché d'un côté car même si je n'étais pas bonne à me défendre au moins je savais faire du bien aux gens et aux finances de mon centre de soins. Fallait dire que durant quelques jours j'avais oublié le travail, cela faisait une semaine et trois jours que tout ça s'était produit, et c'était qu'après son appel que je me souvenais que l'argent ne tombait pas du ciel. C'était comme si je m'étais enfermé dans ma bulle, et que mon homme en faisait partie mais où ne pénétrait que ce que je voulais y voir et apparemment cette bulle était assez restreinte.

    Ce que je regrettais c'était que mon homme au lieu de faire ce qu'il aime le plus dans son club de sport, il était là à perdre son temps avec une jeune femme qui progressait pas très rapidement, et qui n'était pas capable de récupérer en quelques jours. Il me disait sans cesse qu'il m'aimait et je n'en doutais pas mais je me demandais s'il ne pouvait pas avoir mieux qu'une femme toute mal peignée parce qu'elle est allongée et puis avec une mine pas très réjouissante. Pas que l'apparence comptait beaucoup pour moi mais j'aimais donner une image de moi, qui me plaisait et là je ne pouvais rien faire du tout, il me voyait et a pu me voir dans un des pires état depuis qu'on est ensemble. Soudain alors qu'on marchait dans les couloirs mains dans la mains, quelque chose me revint en tête, et j'avais un peu honte d'avoir oublié ça aussi.

    Tu comptes toujours faire de moi ta femme Zac ... après tout si on en est là c'est de ma faute, parce que je n'écoute pas tes conseils ... parce que j'en fais qu'à ma tête ...

    Je doutais du fait que je mérite à devenir sa femme surtout que pour moi ça n'était pas n'importe quel engagement ça signifiait vraiment tout ce que le serment prêtait aux époux, et j'y tenais beaucoup mais est qu'il en aurait un jour marre de ne pas avoir un contrôle sur moi comme un homme de clan le voudrait. Mon père avait tellement été ainsi avec ma mère et moi-même, au point que ma mère s'en était allée sans moi, et j'avais dû assumer à faire ce qu'il voulait de moi, une parfaite épouse d'homme de clan qu'il choisirait pour moi, heureusement il n'a jamais eu gain de cause. Je serrais fort la main de mon homme sans m'en rendre compte, je m'aidais du mur pour marcher et je laissais ma main défiler sur cette tapisserie. Et j'en tombais soudainement quand une porte claqua dans un des couloirs annexe et je sentis mon coeur battre, et je m'étais comme renfermé en un fœtus avant de revenir à moi et de rassurer mon homme.

    Ça va ... juste que ... j'ai dû mal à discerner un bruit normal de ... continuons d'accord ... je veux pas me laisser abattre même si ... c'est difficile ...

    Difficile ça l'était parce que je souffrais toujours physiquement, que les médicaments palliaient à cela mais moralement je refusais quoi que ce soit, et du coup c'était avec moi-même que je me devais de me sermonner que tout allait bien. Arrêtant un instant mon homme je me posas dans ses bras musclés tout en fermant un instant les yeux, je me sentais bien dans ses bras et d'ailleurs j'aimais m'endormir dans ceux-ci tout le temps. Un instant plus tard je relevais la tête pour l'embrasser tendrement avant de lui sourire pas pour le rassurer ou faire semblant juste parce que à ce moment là j'étais bien, et comme heureuse d'être tout contre lui.

    Avant d'avoir un Zac junior ... j'aimerais qu'on agrandisse notre famille autrement ... si tu veux bien ...

    Un regard des plus secrets mais dans mes yeux qui brillaient on pouvait deviner que l'idée me plaisait et que j'avais hâte d'en avoir son avis après lui avoir révélé de quoi je parlais.

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMer 10 Nov - 23:38

Si je m’écoutais, j’attraperai ma femme dans mes bras et je partirais d’ici en toute vitesse pour la ramener à la maison. Dans notre chez nous, notre petit foyer avec ses odeurs, son ambiance, sa chaleur et sa sécurité. Je n’en pouvais plus de la voir ici. Cela me donnait l’impression qu’elle était malade et passait ses derniers jours sur cette Terre dans ce lit d’hôpital. Et l’ambiance médicale de ce bâtiment tout blanc n’aidait pas non plus au moral de Serena. Même si physiquement elle allait de mieux en mieux, je ne pouvais dire la même chose concernant sa santé mentale. Elle avait l’air fatigué, détruite, ne trouvant plus vraiment goût à la vie. Je la comprenais. Très bien même. Personne d’autre ne pouvait la comprendre. Ce qui s’était passé était quelque chose d’horrible, d’atroce pour elle alors que je lui avais promis sécurité. Mes promesses n’étaient alors que du vent et je ne pourrai lui en vouloir si jamais sa confiance en moi s’était amoindrie. Mais pire que ça, la violence qu’elle avait subie avait peut être réveillé en elle des souvenirs marquant de son enfance. Des souvenirs qu’elle ne voulait pas vraiment partager avec moi. D’après ce que j’avais pu comprendre et emmagasiné dans nos différentes conversations, son père n’était pas vraiment quelqu’un de doux et sympathique. Nul doute que comme beaucoup d’enfant du clan elle avait du subir des choses terrible pour une enfant. Je n’en étais pas vraiment sûr cela dit. Je n’avais que des soupçons. Aucunes réelles preuves.

Sous ses pensées, je soupirais doucement, un mince filet d’air traversant mes lèvres pour s’évaporer dans les airs. Doucement, mes pas arpentaient le sol blanc du couloir de l’hôpital, ma main tenant celle de ma petite amie, de ma future femme. Tournant ma tête sur le coté, je posais mon regard sur son visage si parfait et la regarda alors avancer, s’aidant de temps en temps avec le mur, mais restant droite et humble. Comme si nous nous baladions tranquillement dans notre petit parc. Cela me faisait plaisir de la voir comme ça. Cela annonçait sa futur sortie, peut-être le lendemain si tout ce passait bien. Elle avait des petits tests et contrôles à passer avec les médecins mais j’étais persuadé qu’elle allait les passer haut la main. Je savais qu’elle n’aimait pas cet endroit et je savais qu’elle ferait tout pour sortir de ces murs et rejoindre notre petit chez nous. Un chez nous que j’avais hâte de retrouver avec ma femme. Un chez nous qui nous manquait. C’était impressionnant comme un petit lieu pouvait autant nous manquer. Tout n’était que matériel. Et pourtant tout cela nous manquait. Nous y avions mis tellement de cœur lors de notre aménagement et de notre vécu dans ses lieux, tellement d’amour et de nous qu’on ne pouvait pas ne pas être en manque de notre chez soit. Je sortis de mes pensées en entendant le son de sa voix. Cela me faisait toujours aussi plaisir, comme si c’était la première fois que je l’entendais, mon cœur s’affolait un peu et je souris. Cependant je perdis rapidement ce sourire pour la regarder et voir qu’elle doutait de quelque chose. Comment pouvait-elle douter de mon amour et de mon envie de faire d’elle ma femme ? Elle ne pouvait pas en douter, j’en étais sûr. Doucement, je m’arrêtais alors et l’attira à moi. je n’avais rien d’autre comme réponse que ceci. Ma main sur son visage, caressant sa joue d’un léger geste du pouce, mes lèvres percutèrent les siennes avec tendresse et je l’embrassai alors délicatement avec tout l’amour dont j’étais capable de lui transmettre.

Après plusieurs secondes, je lâchais ses lèvres et la regarda dans les yeux, lui souriant doucement. Je posais mon front sur le sien et ancra avec plus d’insistance mon regard dans le sien pour lui transmettre une nouvelle fois mes émotions et sentiments. Je voulais qu’elle comprenne une bonne fois pour toute que rien ne m’empêcherai de faire d’elle ma femme. Surtout pas ça. Bien au contraire. J’étais chanceux de l’avoir encore en vie et à mes cotés et je voulais qu’elle le reste jusqu’à notre mort. Elle était la femme de ma vie, celle qui porterait nos enfants. Je la regardais dans les yeux, caressant avec de petits gestes ses joues. Doucement, je lui murmurais alors :


« Tu es ma femme Serena. Et je veux que tout le monde le sache, je veux qu’on officialise. Que tu deviennes madame Winston et que tu sois la mère de nos enfants. Oui, je te veux et te voudrais toujours. Quoi qu’il arrive… C’est parce que tu n’en fais qu’à ta tête que je t’aime. Parce que tu es différente des autres. »

Je lui souris puis, percevant son sourire, nous nous remîmes à marcher aussi doucement que nous le faisions depuis quelques minutes maintenant. Soudainement, je sentis son corps se dérober sous ses jambes et je la vis se mettre en boule tout contre le mur. Que venait-il de se passer ? D’instinct, je m’agenouillais alors vers elle et l’enroula de mes bras, la regardant avec une attention déconcertante. Je ne comprenais pas trop bien ce qu’il s’était passé mais je la voyais mal et je ne pouvais la laisser seule dans cette situation. Après quelques secondes, elle se redressa doucement et j’en fis de même, la gardant dans mes bras tout en l’interrogeant du regard. Elle savait que je voulais savoir ce qui avait bien pu lui arriver et c’est pourquoi elle répondit à mon regard interrogateur. Si je comprenais bien, elle avait du mal à discerner un bruit normal à un coup de feu. Elle n’avait pas dit le mot, ce qui montrait à quel point elle était affectée de la chose.

« Je sais mon amour… on va surmonter ça… tout les deux. Je ne t’abandonnerais pas. »

Nous avions repris notre route puis d’un seul coup, Serena m’arrêta et me tira tout contre elle. elle passa ses bras dans mon dos et colla sa tête tout contre mon torse. Ses yeux se fermèrent et sa respiration devint plus lente et plus intense. Elle souriait tout doucement. Je la serrais tendrement dans mes bras, embrassant le haut de sa tête avant de recevoir ses lèvres et de l’embrasser de nouveau. Tendrement. Amoureusement. Je posais mon regard dans ses yeux et l’écouta me demander une faveur. Je ne comprenais pas ce qu’il en était exactement mais ses yeux brillaient de bonheur et de plaisir. Cela me suffisait. Elle m’intriguait cependant et même si j’étais d’accord, je voulais savoir de quoi il s’agissait.

« Je veux bien mon cœur… De quoi s’agit-il ? »
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyJeu 11 Nov - 16:31

    Je perdais rapidement pied dès qu'il s'agissait d'amour, car ça n'était pas quelque chose que j'avais déjà vécu auparavant, souvent les hommes enviaient mon corps et rien d'autres. Du coup je n'avais eu que des relations qui ne sortaient pas de la sexualité à proprement parlé, les sentiments n'y avaient pas de place et du coup j'apprenais aux côtés de mon homme. J'avais adopté quelques doutes, quelques mauvais réflexes comme la jalousie et ce côté possessif à ne pas vouloir trop le partager avec d'autres femmes. ▬ Je ne doute pas de toi ... je doute de moi et de l'image que je dégage de ma personne, comme le fait que mes agissements provoquent les choses à s'envenimer ... comme cette nuit là ... sans doute que je serais plus prudente quand on sera plusieurs ... Dis-je tout en l'observant car je voulais pas qu'il prenne mal les choses que je disais, c'était pas pour le blesser mais plutôt pour être sûr que c'était ce qu'il voulait. Pas que je lui donnais une chance de tout annuler mais c'était pour être sûr que je pouvais pleinement me mettre dans l'idée que j'aurais un mariage moi aussi et que je porterais une robe merveilleuse de princesse. Quelle petite fille devenue un jour femme n'a pas rêvé de son mariage, comme d'un jour magnifique où elle serait la plus jolie et celle que tout le monde regarderait avec envie. Aux côtés d'un prince charmant, qu'elle était sûre d'avoir trouvé en plus, un sourire à ses lèvres qu'il lui décrochait en lui disant tous ces mots, c'était si Zac que d'être comme ça avec elle, qu'elle savait dès lors qu'elle ne le perdrait jamais. Je me trouvais présentement un peu bête sur le coup car lui ne semblait pas douter de mon amour, ou bien d'une quelconque infidélité possible, et cela me faisait du coup de sentir mal de voir la confiance qu'il me laissait.

    Il fallait que je me reprenne un peu, il ne fallait pas que des bruits ou l'extérieur puisse nuire à ma personne, mais il fallait comprendre que malgré l'apparence que je laissais dégager, je n'étais pas sûre de moi, et j'avais la crainte que les hommes reviennent. On avait pas parlé de cela, à vrai dire on ne parlait pas du tout de la raison pour laquelle je suis ici, de cette nuit agitée qui nous a tous les deux remués sans doute plus moi que lui. Je n'osais pas en venir à ce sujet là car je ne savais pas ce que j'en pensais, comment je me sentais réellement et puis, reparler de ça c'était si récent que je ne me sentais pas encore prête. Je me rend compte depuis peu j'ai du mal à ne pas y penser, et je me rend compte du fait que j'ai été agressé et que ça ne m'était pas arrivé depuis des années maintenant, comme quoi tout finit par revenir. ▬ Les portes qui claquent comme celle là ... c'est un peu difficile pour moi, je ne me contrôle pas vraiment, et ça me rappelle trop de choses pour le moment ... Je tentais de lui expliquer que cela n'était pas voulu et que mes réflexes faisaient que je sursautais pour un rien, d'ailleurs je ne me souvenais pas de tout et ces zones noires me faisaient peur car l'ignorance est parfois pire que la connaissance. J'appréhendais le retour à la maison, pourtant j'en mourrais d'envie, ou alors c'était parce que fuir de cet endroit c'était ma priorité et que peu importait où il me conduisait. Je ne songeais pas à reprendre mon travail et pourtant il me manquait déjà, je ne sais pas pourquoi mais rester à ne rien faire, n'a jamais été quelque chose que j'adulais et là malgré moi je n'avais pas tellement le choix. Je n'étais pas rétablie pour aller travailler, j'arrivais à peine à me déplacer toute seule alors devoir tenir debout toute une journée en prenant soin des personnes sans faiblir une seule fois, c'était trop pour le moment.

    L'idée me trottait en tête depuis qu'on vivait ensemble mais on avait jamais vraiment parler d'animaux ensemble mais c'était peut-être un peu plus présent dans mes envies car j'avais le besoin de me sentir en sécurité. Un chien savait avant n'importe quel homme, que quelqu'un s'approchait du domicile, et il attaquerait avant même qu'on réagisse, enfin du coup cette envie se fait plus pressante depuis mon agression. ▬ J'aimerais avoir un ... chien, je sais que c'est pas l'endroit pour en parler mais j'aimerais beaucoup en avoir un en attendant le bébé ... Chose que j'attendais avec impatience depuis que j'avais arrêté tout moyen de protection, je ne sais pas si je suis prête à devenir mère mais j'ai l'envie d'une moitié de mon homme et moi, et je pense que les neuf mois d'une grossesse sont justement prévu pour se préparer à devenir parents. Je ne voulais pas faire les mêmes erreurs que les miens et je n'abandonnerais pour rien au monde les enfants que je mettrais au monde, car je ne compte pas leur infliger tout le mal que j'ai pu avoir. Et puis quand je vois la petite Mélisande cela me plait beaucoup de jouer avec elle ou tout simplement de lui coiffer les cheveux, quand elle me raconte ses histoires de petite fille. Et puis je crois qu'après le mariage ça serait la consécration de notre couple, car que ça soit l'un ou l'autre, les deux sont en principe un acte d'amour et s'il me faisait sa femme et la mère de ses enfants alors je n'aurais plus à m'en faire des autres femmes lui tournant autour. Je ne doute pas de lui, juste des autres autour et de leur intention à nuire dans notre bonheur, depuis l'agression j'avais encore plus peur que tout ça disparaisse sans que je ne puisse faire grand chose. Aussi impuissante que quand une arme est pointé en votre direction et que vous ne pouvez que laisser les choses se faire, mais ça serait mal me connaitre et d'ailleurs mon caractère m'a valu une balle dans le corps.

    Tu me paies un cappuccino, jeune homme séduisant ... finis-je par lui dire d'une voix sensuelle d'un seul coup avant d'en rire, car vu ma tête je savais que hormis ma voix et mon regard, le reste n'était pas du tout séduisant. Heureusement que le distributeur n'était pas trop loin car rien que le peu de pas qu'on avait fait, ça m'avait paru une impression qu'on avait marché dans tout l'hôpital alors qu'on avait fait qu'un seul couloir. J'avais mal un peu de partout mais je n'en disais rien, me plaindre ne faisait pas partit de ma personnalité, et puis j'étais si bien avec lui pas que l'endroit était merveilleux mais je sortais enfin de ma chambre glauque et de ces murs si sombres et sans joie aucune de décoration.

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyVen 12 Nov - 17:36

Bien que nous parlions de tout avec Serena, de choses insignifiantes comme de choses importantes, son passé et ses relations passées étaient quelque chose de presque tabou dont il fallait éviter de parler. J’essayais, doucement, de temps en temps, de lancer le sujet, de lui faire vider son sac et de me parler de tous ce qui s’était passé quand elle était petite, de son enfance, de son adolescence. De sa vie avant notre rencontre, avant que nous devenions amis, puis amants avant de former le plus beau des couples. Je voulais connaître l’entièreté de son histoire. Savoir tous ce qu’il s’était passé pour pouvoir être en mesure de la comprendre parfaitement et savoir les choses qui pouvaient être dite ou non. Souvent, j’avais peur de laisser ma parole glisser et entamer un sujet peu recommandé. Parfois je m’abstenais, surtout quand on parlait famille. Je voulais aussi et surtout comprendre pourquoi elle avait si peu confiance en elle dans cette relation amoureuse qui nous unissait. Que s’était-il passé pour qu’elle puisse avoir si peu confiance en sa capacité à aimer et être aimé en retour ? Je voulais comprendre. Je ne voulais pas qu’elle puisse douter de mon amour ni de la force à laquelle j’étais attaché à elle. je ne voulais surtout pas qu’elle puisse douter de son emprise sur moi mais aussi douter de sa propre personne. Elle était à mes yeux l’être le plus exceptionnel qui soit. Me tournant vers elle, j’exerçais alors une petite pression de mes doigts sous son menton et l’invita alors à lever la tête vers moi et à me regarder. Je voulais qu’elle puisse lire la sincérité dans mes phrases et mes mots.

« Je t’aime. Quoi que tu fasses, quoi que tu dises. Je t’aime pour ce que tu es. Je ne veux pas seulement le meilleur, je te veux toute entière. Tes qualités, tes défauts, tes attentions, tes gentillesses, tes prises de tête, ta façon de bouder… Je veux l’ensemble. Je veux Serena toute entière et pour toujours. Ne doute pas cela et plus important, ne doute pas de toi. »

Mes paroles étaient sincères, sérieuses. Je la regardais dans les yeux et déposa un petit baiser sur ses lèvres pour ponctuer la fin de ce monologue. Je voulais qu’elle arrête de s’en faire pour tout ça. Elle pouvait faire des erreurs. Elle était humaine après tout. Mais était-ce vraiment une erreur que de vouloir sortir et s’amuser avec ses copines ? Pas du tout. La seule erreur qu’il y avait eu ne venait pas d’elle. Loin de là même. Elle venait des deux personnes qui s’étaient décidés à l’agresser. Leur erreur était d’avoir pris ma femme pour cible. Ils avaient voulus jouer. Dommage pour eux. Ils avaient perdu. Aujourd’hui ils ne faisaient plus partis de ce monde. J’étais sûr d’en avoir éliminé un mais qu’en était-il du second ? Je n’avais aucune certitude. La seule chose que je savais s’était que quoi qu’il arrive, si je le recroisais dans les rues, demain, dans une semaine, une année ou une décennie, il deviendrait une victime de plus dans le tableau de chasse du clan Attwood.
Alors que je pensais à ces deux enfoirés, une idée, ou plutôt un flash, me traversa l’esprit. Rapidement, je fis le rapprochement entre les récents évènements télévisés et médiatisés et l’agression qu’avait subit Serena. Meurtres étranges, coups et marques similaires, enlèvement… j’avais des doutes mais bizarrement, la chose naquit dans mon subconscient. Tueurs en séries ? Existaient-ils réellement alors ? S’agissait-il des deux personnes qui avaient agressés ma femme ? Tout ce bouscula rapidement dans ma tête alors que je ne les avais pris que pour de simple sous-fifre des Ferguson. Alors ? Etaient-ils ennemis appartement à l’autre clan ou ennemis appartenant à personne et agissant de leur propre volonté ? Etaient-ils ses tueurs en série dont nous entendions parler depuis plusieurs jours maintenant ? Je doutais, aussi bien de l’une que de l’autre idée. Je ne savais plus où j’en étais.


« Ne t’inquiètes mon amour. Je comprends tout à fait. Je ferais attention et ne te brusquerai pas. Nous ferons les choses tranquillement. »

J’avais conscience qu’un simple petit bruit pouvait la déstabiliser et la faire sursauter. Je le savais mais je n’avais pas fait attention à cette porte qui avait claqué derrière nous. A vrai dire, je l’avais entendu, mais pour moi il ne s’agissait rien de grave. Le bruit en lui-même ne pouvait me faire peur, moi qui étais habitué aux armes à feux. Mais concernant ma femme, la chose était totalement différente. Elle qui ne s’était pratiquement jamais servis d’une arme à feu, venait tout juste d’échapper à la mort après avoir était tirée dessus à bout portant. Ce traumatisme ne s’éteindrait sans nul doute jamais et je savais qu’elle mettrait du temps à s’en remettre ne serait-ce qu’un peu. Mais je comptais bien l’aider et être là pour elle, dans ce moment difficile qu’elle traversait mais que je traversais aussi à ses cotés. Elle avait mal, j’avais mal. Elle avait peur, j’avais peur. Elle souffrait, je souffrais. Elle riait, je riais. Elle était heureuse, j’étais heureux… et ainsi de suite. Tout ce qu’elle pouvait ressentir, je le ressentais aussi. S’était sa notre couple. La force de partager et de ressentir les sentiments et émotions de l’autre et de l’aider, quoi qu’il arrive, quoi qu’il fasse.
Sa question m’interloqua et me mis l’eau à la bouche. Que voulait-elle ? J’avais hâte de l’entendre et après quelques secondes d’hésitation elle me la posa enfin. Je souris. L’idée ne me déplaisait guère. Bien au contraire. Mais d’un autre coté, je me demandais si elle ne voulait pas un chien pour avoir plus confiance en notre chez nous et en notre protection. Comment devais-je prendre cela s’il s’agissait bien de ce motif ? N’avait-elle plus confiance en moi et en mes capacités de la protéger ? Je pouvais le concevoir. Après lui avoir juré protection elle se baladait dans un couloir d’hôpital avec difficulté… Je n’avais pas pu la protéger. Mes yeux se plissèrent doucement puis je laissais un soupire s’échapper de mes lèvres. Pourquoi pas. Cela n’était pas une mauvaise idée.


« D’accord. Va pour un chien. On ira le chercher dans quelques jours. » lui répondis-je alors en souriant, souriant de plus belle en me rappelant la fin de sa phrase : « …en attendant le bébé… » Elle en avait alors envie. Tout autant que moi. je souriais comme un enfant à qui on avait promis le plus merveilleux des cadeaux. Et quel cadeau. Avoir un enfant avec la femme de sa vie et de ses rêves. Avoir un petit « nous », une moitié de nos deux êtres. J’en rêvais depuis quelques temps désormais et je savais que la seule qui pouvait m’offrir cela et avec qui je voulais vivre cette expérience de parent était Serena.
Entendant la suite de sa phrase que quelques secondes plus tard alors que je n’étais concentré que sur nos fortes chances de devenir parents dans un futur proche, j’hochais rapidement la tête avant de répondre.


« Tous ce que tu veux mon amour. » Je l’embrassais tendrement puis l’attira lentement vers les machines à café…
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptySam 13 Nov - 22:00

    Etre avec lui sans limite de temps, tout ça parce qu'il préférait le gaspiller avec moi en ce lieu, plutôt que de se régaler à être avec ses élèves, d'un côté j'en étais ravie mais de l'autre je grinçais des dents à savoir qu'il nuisait à son travail, sa passion pour moi. Je crois pas qu'un autre homme que lui serait capable de ça, il était du genre unique mon homme et ça je n'avais mais aucun doute sur ça, parce que si je me basais sur mes précédentes relations, rien ne se serait passé comme ça. Il me demandait de rester moi-même, ce que j'appréciais beaucoup parce qu'il ne me demandait absolument de changer, en devenant une de ces épouses zombies que sont la plupart des femmes de clan. Pas trop le droit de sortir, pas trop de parole à avoir, en gros elles ne servaient qu'à pondre des héritiers et à tenir une maison, et leur mari au mieux qu'elle pouvait. J'aurais été malheureuse dans une vie comme ça, car j'aspire à être une femme à part entière et pas juste un élément, construire ma vie comme je l'entends et pas par un homme qui dirigerait celle-ci. Quelle horreur de se contenter de cela, heureusement qu'il existait des femmes comme moi, qui ne se laissent pas embobiner par un destin qui ne sert à rien du tout, au moins j'avais l'estime de moi-même à me dire que je menais plusieurs fronts en même temps et que je m'en sortais pas si mal que ça. Je bossais chaque jour en aidant au bien-être des habitants de cette ville, je gérais ma maison avec un confort que je tentais d'apporter à mon homme, je vivais ma vie de femme sans limite hormis la fidélité et le respect de mon homme, et puis bientôt j'allais pouvoir avoir des enfants à éduquer sainement en tendant de les préserver de cette guerre.

    Un idéal que je savais que je pouvais atteindre, je demandais pas un côté parfait ou bien une réussite sans écorchure aucune, car ce que je souhaitais était, notre parfait à lui et moi, et malgré cette guerre, je savais qu'on pouvait avoir raison d'elle, qu'on pourrait l'oublier ne serait-ce que quelques heures dans une journée. Malgré mon agression je voulais garder toute cette envie intact, toute cette vie que je m'imaginais possible ancré en moi et ne pas perdre la fougue à vouloir y aller jusqu'au bout, affronter tous les obstacles peu importait comment ils étaient, je sais qu'on pourrait mon amour et moi vaincre à deux tout ça. Mon physique était douloureux mais je le combattais chaque jour en ne me laissant pas faire, j'avais la force de parvenir à me défendre du peu que je pouvais, comme lors de mon agression contre ces deux hommes où mon côté rebelle m'avait fait recevoir une balle car je les avais brutalisé en repoussant leur intérêt à me faire du mal.

    Je sais qu'on peut y parvenir car notre couple est et restera toujours le plus fort, face à tout ce qui peut nous arriver ... à deux nous sommes fort et on aura tout ce que l'on souhaite malgré les épreuves qu'on va devoir traverser ... et j'apprécie que tu sois à mes côtés chéri ... Un sourire aux lèvres, je pensais sincèrement ce que je disais même après avoir eu peur d'une porte qui claque, mais après tout la psychose est parmis tout ceux qui possèdent une arme sur eux ou bien tout autre moyen de défense, même si j'étais contre tout ça. Je me dis bien que si j'avais eu une arme alors j'aurais pu les tuer avant même qu'ils ne me touchent ou me brutalisent. Je sais bien que cette idée là avait pu traverser la tête de mon homme, car je refusais d'avoir même une bombe lacrymogène dans mon sac, et que ce n'était pourtant pas l'arme la plus dangereuse que j'aurais à trimballer. Les rares moments où mon amour n'était pas en ma compagnie, c'était de par nos boulots respectifs et nos moments de liberté mais les autres moments d'une journée je tentais de les partager auprès de lui et je ne m'en lassais jamais.

    Une moité de tous les deux, cela résumait un enfant, au départ je n'en avais pas eu l'idée ou l'envie voir un peu des deux, pas que ça ne m'intéressait pas du tout mais j'ai tellement eu des mauvais parents, et une enfance et adolescence difficile que je doutais encore de moi sur le fait de pouvoir faire d'un bébé un adulte accomplit et équilibré. Si Zac était prêt à partager ça avec moi, c'était qu'il voyait en moi un potentiel possible à parvenir à rendre la vie de nos enfants saines et puis le plaisir que notre enfant ne soit pas un accident, mais plutôt une attente et une envie ça me réjouissait encore plus. Il serait l'enfant de l'amour, celui qu'on attendait depuis peu de temps et celui qu'on aurait pas de mal à accepter entre nous, il ne s'imposait pas, c'était nous qui voulions nous l'imposer pour que notre amour soit remplit encore plus de bonheur et de joie. Auprès de la machine à café, je tenais entre mes deux le gobelet qui me réchauffait quelque peu, et en posant la tête sur l'épaule de mon homme je me prêtais à rêvasser un peu, en nous voyant moi et mon amour, le chien que je désirais avoir et puis le premier de nos enfants, un tableau merveilleux que j'accrocherais avec plaisir à l'intérieur de mon coeur. Pourtant je revenais de loin car jusque là les hommes qui furent à ma couche de lit, avaient été de mauvais exemples entre brutalité masculine, et côté trop macho qui faisait de moi quelqu'un que je n'étais pas.

    Je nous trouve très beau ... enfin ça se voit que je me suis pas encore vu dans le miroir mais de ce que j'imagine pour dans quelques mois c'est ... incroyablement magnifique je dirais ... et je ne m'envole pas trop haut en disant ça, ça serait notre parfait à nous ... Buvant quelques gorgées de ce gobelet que je tenais en mains, c'était un petit moment de bonheur dans cet endroit que j'aspirais à quitter le lendemain. Posant mon cappuccino totalement vide dans la poubelle je restais debout devant mon homme, avant d'avoir une idée et un sourire sur mon visage, rien qu'à me regarder je savais qu'il pourrait deviner ce que j'avais en tête.

    Tu sais j'aimerais repartir de cet endroit ... avec un bon souvenir et pas tout ce que j'ai pu endurer de pas vraiment terrible ... ce n'est peut-être pas l'endroit rêvé pour ... certaines choses mais ... même à moitié remise et un visage plus vraiment sexy ... je ne perds pas de vue le fait que tu es ... irrésistible finis-je par lui dire d'une voix mielleuse d'une envie soudaine d'autres choses que de la compassion ou de la peine pour moi, le prenant par la main je l'attirais donc dans les couloirs marchant à mon allure mais l'idée que j'avais me redonnait quelques forces superflues sur le moment et je décidais d'en profiter. M'arrêtant devant une porte grise et indiquant un placard, je posais mes mains sur le visage de mon homme tout en déposant mes lèvres manquant de gloss pour l'embrasser tendrement et de le regarder dans les yeux : ▬ Aide-moi à avoir un moment inoubliable ici ... fais-moi ressentir ton amour durant ce petit moment ... enivre-moi de ta douceur et de ta virilité d'homme ... Je ne le quittais pas dans les yeux en espérant qu'il accepte et qu'il ait envie de me donner ce plaisir autant que j'ai l'envie de ne faire qu'un avec lui, de conclure l'épisode de l'hôpital d'une manière que je souhaite garder ensuite.

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyDim 14 Nov - 18:38

Je savais que cette épreuve allait être un tournant dans notre vie. Un élément déclencheur dont je ne connaissais pas encore les conséquences. Une nouvelle vie se dessinait sous nos yeux et j’espérais que cela allait renforcer nos liens déjà bien ancrés entre nous, et le souder profondément dans nos chairs et nos âmes. Je ne voulais pas que ce qui s’était passé puisse nuire à notre couple, à notre futur, à notre vie de famille. J’étais conscient que cela allait être difficile, que les prochains jours seraient déterminants pour son bonheur et sa confiance, aussi bien en moi qu’en elle-même, et j’étais prêt à affronter tout cela pour qu’elle puisse continuer à vivre normalement, en étant la plus heureuse possible. Elle était tellement douce, tellement attentionnée, tellement adorable, tellement belle, que je n’aurai voulu qu’elle subisse ce genre de chose. Des choses qui arrivent dans cette ville bien plus qu’on ne le croit. Des choses qu’on essaye de mettre de coté en espérant que cela ne se produise pas chez nous. Des choses qui détruisent lorsque cela nous touchent et qui font des dégâts irréparables. Le corps se soignait. Pas l’âme. Pourquoi elle ? Qu’avait-elle fait ? Avait-elle était prise au hasard ou était elle la réelle cible ? Si c’était le cas, depuis combien de temps l’observait-elle ? Que savaient-ils d’elle ? Ses horaires au travail ? Son chemin préféré pour rentrer à la maison ? L’adresse de notre demeure ? Je m’en voulais de n’avoir rien pu voir d’étrange rodant autour d’elle ou autour de nous. S’ils avaient connaissance de tous ça, ils avaient alors du passer du temps à nous espionner et je n’avais rien vu. Si elle était vraiment leur cible alors je m’en voulais terriblement pour n’avoir pas su la protéger. Mais même si elle n’était pas leur cible, même si elle avait été prise au hasard, étant la malheureuse victime d’une envie foudroyante qui était passé dans leurs têtes, je m’en voulais aussi de n’avoir rien pu faire à temps. J’aurai du sortir plus tôt de la maison, partir plus rapidement à sa recherche au lieu d’attendre comme un imbécile. Cette ville ne se prêtait pas à l’attente.

Nous étions alors aujourd’hui, pratiquement une semaine après les évènements ayant marqué notre couple, dans les couloirs de l’hôpital à marché tout doucement, à faire en sorte qu’elle reprenne des forces et reprenne ses habitudes. Un pas devant l’autre, tranquillement, main dans la main. Le cadre n’était pas très idyllique. Des murs tout blanc, des brancards, des plateaux médicaments et des médecins et infirmières en blouse blanche allant et venant de toute part. Des malades plus ou moins grave, avec des mines décomposées. Rien de vraiment très idyllique dans l’ensemble, mais tant que j’étais avec elle alors le reste n’avait pas d’importance. Nous marchions, doucement, tranquillement, parlant vaguement de tout ça, préférant nous intéresser à notre avenir, notre futur, notre future vie de famille. Je devais la rassurer sur elle-même. Elle avait des doutes sur sa façon d’agir et c’est pourquoi je lui avais dit et prouver, encore une fois, qu’elle ne devait pas changer, que je l’aimais pour ce qu’elle était, pour l’ensemble, pour Serena dans son intégralité. Se ressaisissant elle m’annonça alors que notre couple pouvait tout endurer. Qu’elle savait qu’on pouvait parvenir à mettre tout ça de coté et à avancer ensemble, tout les deux. Je l’écoutais attentivement, souriant doucement sous ses paroles, la voyant reprendre des forces et des convictions. J’aimais la voir comme ça, battante, souriante, croquant la vie à pleine dents, ne se laissant pas démoraliser. Je voulais la voir comme ça. Tous les jours.
Nous continuâmes notre petit chemin dans les couloirs de cet hôpital que j’avais moi aussi hâte de quitter désormais, et nous parlâmes alors de notre avenir, notre future famille. Serena évoqua son envie d’avoir un chien. Même si cela m’avait fait soulever des doutes quand à mes capacités à la protéger, je n’y voyais aucun inconvénient. Certes, un chien demandait de l’affection, du temps et de l’argent et nous avions cela. Pourquoi pas alors, me mis-je à penser et c’est en souriant finalement que j’approuvais son idée et son envie, lui indiquant qu’on irait ensemble en acheter un dans les prochains jours. Alors que je lui payé sa boisson, elle me fit part de ce qu’elle imaginait, de ce qu’elle était entrain de voir pour nous deux et j’en souris, la regardant avec des yeux doux et pétillant.


« Oui… j’en suis sûr. Tout sera parfait, magnifique, comme dans un conte. »

Je ne la quittais pas des yeux. J’avais comme ce besoin presque vital de la voir, de la sentir tout près de moi. Depuis tout ça, je m’étais encore plus ancré à elle. Elle était ma vie et sans elle, je ne sais pas ce que je ferai. Je ne pouvais être sûr de ma survie. Je la regardais boire son capuccino, souriant toujours doucement en la regardant avant de poser ma main dans ses cheveux, les faisant glisser entre mes doigts avec délicatesse, jouant avec quelques unes de ses mèches. J’aimais la douceur de ses longs cheveux bruns. J’aimais les toucher, passer mes doigts dedans, tout doucement. S’était reposant, détendant. Soudainement, elle se retourna vers moi, plantant son magnifique regard azure dans le mien et me souris. Je ne pus que répondre à ce magnifique sourire qui me faisait tant fondre, tout en réfléchissant à ce qu’elle devait être entrain de penser. Seule quelque chose de réellement fantastique pouvait la faire sourire de la sorte. De quoi s’agissait-il ? La voir comme cela me mis l’eau à la bouche et je voulus alors savoir de quoi il en retournait. Nous étions justes à coté de la machine ç café, arrêtés, l’un en face de l’autre. J’attendais qu’elle se décide à parler et à partager avec moi ses pensées. Je la connaissais que trop bien et je savais qu’elle avait prévue de me faire part de ce qui la m’était tellement en joie. Je la regardais alors avec insistance, l’encourageant à se jeté à l’eau et à me faire part de ses pensées.
Sa voix résonna alors doucement, fine, tendre, terriblement mielleuse alors que ses yeux pétillèrent au fur et à mesure que son idée prenait naissance à mes oreilles. Je souris sous ses dernières paroles, la dévorant du regard avant de la laisser m’entraîner un plus loin dans les couloirs de l’hôpital. Arrivant près d’une parte devant laquelle elle s’arrêta, elle attrapa mon visage entre ses mains et déposa son corps si fin et terriblement bien formé tout contre le mien, m’embrassant tendrement. Déposant mes mains dans son dos, la serrant tout contre moi, je répondis à son baiser, laissant mes lèvres se mouvoir avec tendresse contre les siennes, fermant les yeux tout en profitant alors de ce moment, de ce baiser diaboliquement efficace qui fit naître en moi un désir intense d’émotion, de sensation, de ressentis. Se détachant doucement de mes lèvres, elle me susurra alors tendrement, avec un regard des plus provocateurs et envieux, l’envie qu’elle voulait que je comble en ses lieux, en cet endroit si glauque, pour qu’elle puisse se souvenir de quelque chose de plus agréable qu’une simple hospitalisation. Ses mots coulèrent en moi et s’y ancrèrent avec force, allumant un feu d’envie qui grossit de seconde en seconde quand à l’idée qui prenait forme dans mon esprit. Regardant rapidement autour de nous, voyant qu’il n’y avait personne susceptible de nous voir entrer dans cette pièce, je reposais mon regard dans les yeux de ma femme tout en en l’emprisonnant dans mes bras, tout contre mon torse, lui souriant en coin.


« Tu es sûre de te sentir capable de ça maintenant mon amour ? » Lui demandais-je, légèrement inquiet et soucieux de sa santé. L’endroit n’était pas très confortable et je ne voulais pas lui faire mal. Me penchant vers son magnifique visage, je l’embrassais alors du bout des lèvres, ma main remontant lentement le long de son corps, le frôlant du bout des doigts, jusqu’à m’emparer d’une de ses joues. Je n’eu comme simple réponse qu’un hochement de tête, un sourire franc et des yeux pétillants, ainsi qu’un baiser des plus fougueux. Posant ma main sur la poignée de la porte, je l’ouvris légèrement tout en souriant à ma femme. « Si c’est ce que tu souhaite mon ange, je t’arracherai de ce tombeau blanc pour t’amener tout au fond de ces abîmes passionnels que tu désirs tant. »

Sur ses derniers mots, j’ouvris la porte de ce placard, entraînant ma femme avec moi, et referma le tout, nous confinant alors dans un espace privé, à l’abri des autres, me concentrant uniquement sur l’objet de mon désir et de ma passion, l’objet de mon amour. Mes mains se baladant sur son corps avec délicatesse, je les passais tendrement sous sa tenue médicale que je déboutonnais lentement, mes lèvres ne lâchant pas les siennes, mon corps bouillonnant lentement du plaisir qui commençait à m’enivrer dans ses bras. L’attrapant par les hanches, je la décollé lentement du sol pour l’installer tout doucement sur un vieux bureau qui séjournait non loin de nous et me rapprocha de son corps, prenant doucement place entre ses jambes. Avec amour, je remontais doucement mes mains le long de son dos, y déposant de fine caresse jusqu’à frôler sa nuque, n’arrêtant pas ce bal naissant de nos lèvres, conductrice de notre passion et de notre amour…
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Serena Swank

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptyMar 16 Nov - 19:26

    Savoir que je pouvais compter sur lui, comme si j'avais une certaine confiance en moi, me rassurait car j'étais du genre méfiante et on m'a tellement trahit ou fait des coups en douce que maintenant la seule personne en qui je donne confiance c'est lui. Après tout nous formons un couple et la confiance est la chose la plus importante qu'il ne faut pas gâché car une fois que celle-ci est rompue alors il n'y a plus vraiment d'espoir de réussite, et j'avais déposé celle-ci en lui sans jamais espérer pouvoir la lui reprendre. C'est venu avec le temps car il avait été dans la peine durant des mois entiers, mais il me fallait être là pour lui et je n'expliquais pas pourquoi et encore moins pourquoi lui. Je n'avais aucune attache avec lui ou bien son ex amour morte, on appartenait juste au même clan et c'était sans me poser de questions que je m'étais joint à ses côtés et puis le temps passé et c'était devenu au sein de son lit, avant que ça devienne dans son coeur. On était ensemble depuis presque trois années et je devais avouer que c'était les plus réussies et les plus belles de toute ma vie. Je crois que même si ma jeunesse aurait été meilleure qu'elle ne l'a été, ça n'aurait pas changé à ce que je pensais maintenant des trois dernières de ma vie. Lui et moi et il ne manquait à notre bonheur que notre descendance que j'avais prit pour une idée d'avoir depuis quelques jours, il m'avait convaincu et même si je me sentais pas forcément à mon aise à m'imaginer parfaite dans ce rôle de mère, je voulais tenter l'expérience avec lui et pas un autre homme. Bien sûr que j'étais consciente de tout ce que ça engendrait notamment un engagement à vie que je ne pourrais pas rompre car malgré tout même si certains parents en viennent à renier leurs enfants, ils ne pourraient jamais nier qu'ils sont une part d'eux-même et qu'ils vivront à travers eux. On dit bien qu'on retrouve certains traits de famille des générations après, alors je suis pour ceux qui pensent qu'on vit pour toujours à travers nos enfants et leurs enfants, et encore les enfants de leurs enfants. Une partie d'un homme brave comme Zac et d'une bombe comme moi, je crois que nos générations vont faire cartonner notre famille et en pensant à cela j'en rigole car j'aime bien trop en dire sur mes idées ou imaginations.

    Capable de quoi ... de te résister ? ... je ne crois pas pouvoir encore une nuit de plus ... y arriver !

    Je jouais avec le feu mais malgré mes douleurs dans tout mon corps je voulais justement pas que celui-ci ait raison de mon état, je voulais reprendre une vie normale et même si je ne parierais pas sur ma réussite, je voulais au moins tenter. Après tout ne dit-on pas qu'en pensant positif la vie se trouve être bien mieux tout à coup, oubliant un peu tout ce drame derrière moi, je voulais m'accorder et donner à mon homme un peu de bonheur durant un petit moment passé ensemble. Je voulais pas attendre demain car j'avais peur que le médecin me dise que finalement je ne sortais pas pour une raison quelconque. C'était comme se donner un avant goût de ce que j'aurais une fois dehors, mais en prendre un petit morceau juste avant pour ne pas m'effondrer à savoir que j'aurais cela dans quelques jours et pas dès demain. J'avais envie de sentir le corps de mon homme tout contre le mien, sentir celui-ci vivre à travers le mien, avoir des sensations de pur bonheur et oublier la douleur qui s'emparait de moi dès que les médicaments ne faisaient plus aucun effet.

    J'ai vraiment envie de toi ... de nous deux ensembles ... et puis je me demande comment tu as pu tenir autant de jours sans ...

    Je disais ça sur un ton provocateur, pas pour le faire céder car je savais qu'il n'était pas contre l'idée à partir du moment où il ne me faisait pas de mal et que je voulais vraiment en venir à avoir un moment après tout ce qu'on a pu traversé, qui ne se résume pas au domaine hospitalier. Me mordillant les lèvres j'attendais qu'il se décide à franchir le seuil du 7 ième ciel si on pouvait dire ça, car dès que la porte de ce placard se fermerait alors les choses prendraient une direction que j'adorais et cela me réjouissait tellement que l'attente de réaction de sa part me laissait à penser que c'était depuis des minutes alors que ça se jouait en secondes. Faire l'amour ici voilà une idée qui m'avait déjà traversé mais j'avais jamais eu l'occasion d'en arriver à le faire, mais là ce petit recoin à l'abri des regards allait nous permettre de nous retrouver. D'être un couple qui ne traverse pas que du drame mais aussi du plaisir que je serais lui donner et qu'il serait me rendre sans doute aucun, et puis ce n'était pas mes blessures qui auraient raison de moi, pas cette fois. Sentant son odeur tout près de moi, cela me rassurait depuis qu'on était ensemble, et l'avoir si près de moi ça ne pouvait qu'éveiller en moi des sens que j'avais oublié depuis une semaine et quelques jours. Me collant tout contre lui je sentais ses gestes méticuleux et doux comme s'il tenait vraiment à ne pas me faire de mal, comme si j'étais une poupée de verre auquel il devait prendre soin pour ne pas me briser, je trouvais cela très réconfortant. Du coup je n'avais aucune crainte à avoir un acte passionnée dans ce moment, de toute façon il n'en était pas autrement entre nous, mais là c'était sûr que j'allais oublier complètement la raison pour laquelle j'étais ici.

    Encerclant son cou par mes bras chauds je me laissais aller tendrement dans la sagesse de la détente et de l'oublie total de tout le reste hormis de nous deux, un moment d'absence que je noyais sous des tendres baisers qui devenaient plus sensuels et surtout plus chaud. Comme on comblait un manque d'une éternité, alors que c'était souvent qu'on se retrouvait lui et moi mais comme au premier jour, à la première fois, l'envie était toujours là et cela n'avait pas bouger en trois années. Caressant du bout des doigts sa nuque, je glissais l'autre sous son haut pour caresser la peau brulante de son dos musclé et je l'aidais rapidement à se défaire de ce vêtement si inutile car j'allais m'occuper à réchauffer cette partie dénudée. Il me faisait reculer et je n'avais pas vraiment vu la présence d'un quelconque meuble jusqu'à ce que mes jambes le heurtent et où je me vois dans la suggestion de m'y asseoir dessus, ce que je ne refusais pas vraiment. Ayant laisser à l'abandon son vêtement plus loin j'avais à mes yeux un parfait torse musclé et mes mains ne se privaient pas à caresser, à toucher de leur peau saine chaque parcelle qui réagissait vivement à mes assauts de tendresse. Un contact plus intense se fit puisque j'enroulais mes cuisses autour des hanches de mon homme et je pouvais sentir nos deux intimités se frôler à travers ce qu'on portait encore. Cela me piquait un peu le bas du ventre et c'était la sensation agréable que je retrouvais toujours quand on était si proche lui et moi, glissant mes lèvres sur la peau de son torse, je laissais glisser ma bouche tout en déposant de doux baiser et j'usais de ma langue sur certains coins pour faire se rétracter ses muscles, j'aimais cette réaction là. Je me pensais légèrement en arrière quand je sentais ses tendres lèvres humides sur ma peau, et ses bouts de doigts virils qui glissaient sur la cambrure naturelle de mon dos. J'avais si chaud que je défie moi même cette blouse d'hôpital que je détestais tant, un vrai tue l'amour ce truc là et je voulais pas que ça lui coupe une quelconque envie de coup je n'avais pas tardé à la retirer et à la jeter loin devant nous. Moi en sous-vêtement un noir à dentelle d'ailleurs je n'avais pas de préféré, je laissais à mon homme le goût d'apprécier ou pas mes achats de ce genre là car si je m'écoutais moi même alors j'en rapporterais tout le magasin.

    Laissant un regard coquin à mes yeux, je laissais ma langue passer sur mes lèvres comme pour lui dire que j'allais faire quelque chose de pas très sage, en défaisant son pantalon par exemple, et déboutonnant celui-ci je le laissais glisser sur ses pieds. Pouvant sentir un peu plus la sensation d'envie sur mon homme et sa virilité qui prenait plus de place entre lui et moi, encore plus de picotement et de bien-être s'en dégageait de mon bas-ventre. Dévorant le bout de ses lèvres, mes doigts se faisaient plus malicieux et touchaient avec hâte à travers le boxer l'objet de notre plaisir, avant d'entrer mes doigts à l'intérieur pour comme me rassurer que tout était encore là depuis la dernière fois. Je connaissais ses zones sensibles parmis son service trois pièces, et j'usais rapidement de mon savoir pour le rendre encore plus fou de moi, pour le rendre un peu plus instable à ne me faire que du bien. Fermant les yeux je m'imaginais complètement ailleurs que dans un placard, c'est fou comme rien qu'un instant on peut s'imaginer n'importe où, mais tant que c'était avec mon homme alors tout endroit était possible à rendre grandiose. Me calant un peu plus contre lui, je tâtais du bout de mes doigts son fessier qui en ferait rêver n'importe quelle jalouse de Volusia, mais elles n'avaient aucun droit dessus, alors que moi je pouvais à la fois me rincer l'œil et encore plus toucher avec tout ce que je voulais, sans limite de temps. Mais l'envie de lui donner du plaisir me revint en tête et mes mains revenaient avec un certain intérêt devant, jouant un peu plus avec sa patience en titillant tout ce que je savais sensible et un sourire se faisait présent sur mon visage, plus joueuse que moi pas sûr qu'il y avait.
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Zac Winston

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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptySam 20 Nov - 20:37

Grâce à Serena, ma vie avait prit un nouveau départ depuis cette tragique période. Si elle n’avait pas été là pour me soutenir, pour m’aider, pour me redonner la joie de vivre et goût aux choses nous entourant, je ne serai certainement plus sur cette Terre de nos jours. Elle m’avait donnée un nouveau souffle de vie. Une nouvelle essence. Un nouveau goût désormais inestimable, dont les mots n’existaient pas pour le décrire réellement. Elle était mon tout. Mon existence, celle qui me faisait avancer, celle pour qui je donnerai n’importe quoi. Nous formions un des plus beau couple de Volusia, si ce n’est le plus beau pour moi. Nous étions complice dans tout ce que nous entreprenions et nous ne nous cachions rien, nous laissant une très grande liberté de mouvement et de pensé sans fixer de barrière entre nous. Après tout ce temps passé ensemble en tant qu’amis, nous nous étions sensiblement rapprochés l’un de l’autre, passant nos journées et nos soirées ensemble pour finalement plus se quitter de la nuit. Trois ans maintenant. Trois ans de pur bonheur passé dans ses bras. Trois ans de pur bonheur où nous avions battit de belle chose et où nous avions construit les bases pour un futur magnifique chacun aux cotés de l’autres. Je l’aimais et ça personne ne pourrais me l’enlevais. Jamais placé mon cœur dans ses mains et j’avais entièrement confiance en elle et en ses soins. Je savais que là, entre ses doigts, dans sa poitrine, dans son âme, mon cœur serrait en sureté pour le reste de ma vie. Notre bonheur gravissait les échelons de la perfection pour atteindre bientôt son apogée. Une apogée que je cueillerai alors de mes mains et que j’emprisonnerai au sein de notre famille pour que ce bonheur ne nous quitte jamais.
Il ne nous manquait alors qu’une descendance pour que notre famille et notre bonheur atteigne cet état de bien être totale et de symbiose parfaite. Une descendance. Oui, je voulais des enfants avec elle. Elle était la femme de ma vie, je l’aimais et voulais qu’elle soit la mère de nos enfants. Nous en avions déjà parlé et je savais qu’elle avait un peu peur de tout ça. Moi-même j’étais légèrement effrayé à cette idée. Peur du rôle de père, peur de ne pas être à la hauteur. Tout comme elle avait peur. Mais nous avions su nous redonner des forces et croire en cela. Croire en nous, en cette future belle famille. Après tout, Serena était une fille formidable avec le cœur sur la main, plein de tendresse et d’affection, capable de donner son amour sans compter. Je savais qu’elle ferait une parfaite mère et que nos enfants grandiraient avec tous l’amour que nous pouvions leur en donner. S’était un engagement à vie et je voulais le vivre avec elle.


« Pour ma part, je ne peux te résister… jamais. »

J’étais conscient qu’elle se remettait tout juste d’une hospitalisation avec des blessures grave. Mais je ne pouvais refuser ses demandes et ses envies, quitte à y aller doucement et faire extrêmement attention à elle. Et ses envies du moment, c’était moi, rien que moi. Elle voulait garder de ce lieu assez glauque un souvenir magique et je voulais l’aider dedans. Je ne voulais pas le dire, mais tous ces jours sans elle, sans contact physique, même rien que le fais de sentir ses bras autour de moi et ses petites caresses dans mon dos avant de dormir, m’avait manqué. Je voulais aussi et surtout qu’elle retrouve du plaisir et qu’elle oublie tout ça. Etre là pour elle, avec elle, dans un moment intime rien que tous les deux où le bonheur et le plaisir nous envelopperait dans une bulle inviolable. C’était ce que je désirai lui offrir. Elle avait certainement mal de partout et l’endroit n’était pas très confortable, mais je voulais qu’elle sache que je l’aimais toujours et que je lui réservais bien mieux lorsqu’elle retrouvera la forme. Que je serai aux petits soins pour elle.

« Mon amour… j’ai envie de toi, encore et toujours et cette envie ne cessera jamais. J’ai tenu simplement parce que je t’aime et parce que tu es la seule avec qui je peux avoir autant de plaisir et être autant en symbiose… Je t’aime Serena. »

Soufflais-je à quelques centimètres de ses lèvres, mes yeux ancraient dans les siens. Sur ces dernière paroles, je refermais doucement la porte du placard dans lequel nous nous étions enfoui, et me dirigea à l’intérieur de celui-ci, un peu au loin de l’entrée pour que nous puissions tranquillement consommer ce plaisir qui nous enivrait de plus en plus. Cette bulle c’était refermait tout autour de nous alors que l’ensemble de mes sens s’était redirigé vers ma femme, la mettant au centre de toute mon attention. Son corps épousant le mien, je dirigeais tout doucement mes doigts sur celui-ci, le frôlant avec délicatesse pour m’emparer tendrement de ses fesses et de son bassin, la collant d’avantage à moi. Ce contact fit naître alors la première étincelle visant à allumer le brasier de notre amour et de nos désirs. Un brasier dans lequel je me sentais totalement bien et où je me brûlais avec envie. Mes yeux quittèrent les siens et glissèrent doucement sur son visage, y redécouvrant sa beauté. Ses traits étaient parfaits, la courbure de son regard, la forme exquise de ses lèvres. Elle m’attirait toujours autant voir même de plus en plus au fur et à mesure que notre relation se soudait. Je cueillis alors ses délicieuse lèvres, les goutant de nouveau, avec amour et tendresse alors que mes mains qui avaient agrippés ses fesses firent en sorte de soulevé son magnifique corps avec autant de délicatesse que possible et de le poser sur un vieux bureau qui logeait dans la pièce. Ses bras noués autour de moi, je ressentais le frisson provoqué par ses caresses sur ma nuque et dans mon dos alors qu’elle s’empressa, après quelques secondes de retirer mon haut qui la gênait. Un sourire encore plus grand sur mes lèvres lorsque ses caresses s’intensifièrent en passant sur mon torse. Me rapprochant d’elle, je me plaçais tout doucement entre ses jambes alors qu’une de mes mains se posa sur sa cuisse, la grattant du bout des doigts et que l’autre s’appropria sa nuque, caressant la naissance de ses cheveux. Mes lèvres se reposèrent sur les siennes pendant que je soupirai mon plaisir de partager se moment avec elle, dans un lieu insolite et je pouvais désormais sentir la chaleur que provoquer le contact de nos deux corps, émanait du mien et embaumer toute la pièce. Un feu, un torrent de lave en fusion qui devenait de plus en plus chaud alors que ses lèvres parcouraient tendrement la peau de mon torse et que sa langue se faisait taquine. Une chaleur que je connaissais bien et que je ressentais à chaque fois que nos corps se cherchaient et se taquinaient. Elle savait exactement quoi faire pour me faire succomber et atteindre un plaisir intense et cette pensé me fit sourire alors que mon bas ventre prenait plus de forme, se collant entre ses jambes, séparait par le tissus de nos habilles. Mes mains attrapant sa blouse, Serena s’empêcha de la retirer me dévoilant ainsi ses sous-vêtements en dentelles noires. Je la dévorais du regard.

Son regard coquin et sa langue taquine humidifiant ses lèvres, je su à cette instant ce dont elle désirait et c’est alors que je m’approchais un peu plus d’elle, capturant ses délicieuses lèvres, la laissant déboutonner mon jean pour le faire tomber à mes pieds. Ma langue cherchant la sienne, je laissais celle-ci l’entraîner dans une magnifique danse sensuelle tout en l’attirant entre mes lèvres alors qu’un léger sursaut envahit tout mon être, le brûlant avec plus d’insistance, lorsque les doigts de la jolie brune attrapèrent notre objet de désir et notre source de plaisir. Un gémissement de ma part se cacha entre ses lèvres alors que ses caresses, passant de ma virilité a mes fesses, se faisaient plus passionnés, plus fougueuses et joueuse et que le plaisir augmentait. Mais mains attrapant son visage, je l’embrassais de nouveau pour pouvoir lui faire passer mes émotions, mes sentiments, mes envies et mes désirs, voulant les lui faire partager et les vivre avec elle alors que mon membre sortait finalement du tissus et se présentait à elle, la laissant libre dans faire ce qu’elle voulait. Je lui appartenais, corps et âme…
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MessageSujet: Re: Quand ça tombe mal ft mon homme    Quand ça tombe mal ft mon homme  EmptySam 20 Nov - 22:45

    Les choses intéressantes pour moi comme pour lui, commençaient réellement et après tant de souffrances que j'ai pu ressentir dans les murs de l'hôpital je pourrais enfin m'épanouir un peu. Pourquoi ne pas attendre un endroit confortable comme notre maison, tout simplement car je trouve plutôt excitant les moments imprévus et encore plus les endroits qui changent d'un ordinaire qui me lasse toujours un peu plus rapidement que le reste. Et puis faire l'amour dans un hôpital ça n'est pas donné à tout le monde et c'était une occasion qu'il ne fallait pas rater car je n'aimais pas cet endroit et je m'y rendais le peu possible. D'ailleurs je ne souhaitais à personne d'y rester ne serait-ce qu'une petite heure hormis pour venir voir un nouveau né car cela n'est que du bonheur mais pour tout le reste, cela ne reste jamais un très bon moment. Et le meilleur ici était la sortie que les gens s'empressaient de prendre avec un sourire qu'ils ne se forçaient pas du tout à avoir, comme un peu celui que j'aurais demain si, la sortie m'ait enfin offerte. Quand on a l'envie de quelque chose, il ne faut pas se faire attendre davantage quand on peut la satisfaire et comme on dit le meilleur moyen d'y résister c'est d'y céder. Ce que j'avais convaincu à mon homme de faire, car je savais bien qu'il oubliait ses envies avec mon état et tout ce drame autour de ça, et puis avouons que je n'étais pas si excitante que cela, il y a quelques jours en arrière. Je devinais que cela se voyait un peu moins mais malgré tout il devait encore avoir l'image de visage tuméfier de coups et d'un état qui aurait pu frôler la mort dangereusement. Au départ à mon réveil je ne me souvenais pas de l'accident volontaire et de mon agression, ce n'était que petit à petit que cela m'était revenu et que je savais au fond que ma vie ne tenait qu'à l'intervention de Zac contre ces deux hommes. Je me devais lui rendre son acte avec mon rôle de petite-amie qui irait parfaitement, je ne pouvais rien garantir mais me donner la peine de le combler autant sexuellement bien sûr que physiquement parlant. La petite pièce qui me semblait plutôt simpliste et puis dans un état apparent d'un vrai débarras je voulais la rendre un peu plus vivable, en faisant oublier à mon homme à l'endroit même où nous étions pour partir au 7 ième ciel. Et puis j'aimais tant explorer de nouvelles choses et vivre des expériences inédites avec lui, que peu importait ce que c'était en dehors des choses dégoutantes ou pas très glorieuses pour ma part, je voulais vraiment avoir un souvenir meilleur à chaque moment ensemble.

    Pressé sans l'être je laissais les gestes se faire et je ne le freinais surtout pas, car je voyais qu'il prenait un soin précis à ne pas me faire de mal et il anticipait même des endroits où je savais bien que s'il n'y prêtait pas attention j'aurais du mal à cacher une grimace de douleurs. Moi je m'occupais de lui sans aucune retenue, je savais où je devais aller pour lui dégager ce plaisir qui se traduisait par une contraction de ses muscles, et puis autre chose qui n'était même pas en peine de ne pas dire car cette réaction là, était des plus naturelles et je la sentais souvent chez lui, quand j'étais trop proche de lui. Je ne lui donnais pas tâche facile par moment car j'adorais le provoquer quand ça n'était pas le moment ou le lieu propice à quelque chose. La dernière en date c'était quelques jours avant mon agression, réunion de crises au sein du clan et tout le quartier avait été convié avec quelques excuses qui ne marchaient pas du tout pour ne pas être présent. Cela parlait de guerre encore et toujours et de tactiques pour les avoir ou bien pour défense le quartier en le rendant plus sûr et en niant l'éventuel tueur en séries dont les journaux parlaient tous. Je trouvais tout ça si ennuyant que même mon portable n'avait pas été mon fidèle allier pour m'occuper quelques minutes de plus, du coup j'avais misé sur mon homme et même s'il paraissait si sérieux à écouter Enzo et toute la compagnie Attwood, j'avais réussit à le détourner un peu du sujet. Plutôt tactile j'aime à me sentir rassurer du coup soit je touche mon homme ou bien je m'assure pour que ça soit lui qui ait ses mains ou ses bras tout contre moi, sauf que là j'avais eu quelque peu les mains baladeuses en tout discrétion bien sûr. J'aimais le provoquer dans des moments où il ne s'y attend pas du tout et cela se termine toujours très bien, d'ailleurs on avait tout juste eu le temps d'ouvrir la porte arrière de sa voiture. Ce que j'aimais avec lui c'est qu'on a toujours été un couple sans prise de tête pour si peu de choses, toujours avec un côté joueur dans nos comportements et puis des plus communicatifs quand ça ne va pas ou que quelque chose serait mieux autrement.

    Ma langue se faufilait un peu sur tout son torse que j'aimais tant, si je devais choisir ce que j'aimais chez un homme mais chez lui en particulier c'était en premier son torse, rien de tel qu'un torse musclé pour m'y blottir à la moindre occasion. Et puis j'aimais aussi le côté fessier qui souvent était tout aussi musclé et où mes mains de ne gênaient pas pour y tâter ou toucher un peu plus ces deux rebondis là, sans aucune gêne quelconque à le pincer parfois en public juste par amusement. Je touchais ce que le bout de ma langue caressait, descendant au plus bas avant de retrouver sa bouche et de me laisser embrasser avec une fouge que j'aimais ressentir. Cela me donnait tellement d'envie qu'il m'assouvisse que je faisais tout pour qu'il n'en puisse plus et qu'il me demande de ne faire qu'un avec moi, parfois j'avais vraiment envie et du coup on sautait quelques étapes et d'autres, c'était lui et du coup beaucoup plus d'étapes sautaient alors, cela n'était jamais pareil.

    Je sais que c'est toi qui doit ... me faire plaisir mais laisse-moi juste allumer la flamme un peu plus encore ... chuchotais-je à son oreille que je mordais tendrement tout en massant l'arrière de sa nuque, j'aimais toucher cet endroit quand je l'embrassais ou quand je le mordais au niveau du visage.

    Laissant mes mains plus bas je prenais à découvert ce morceau de plaisir auquel je caressais certaines parties, mieux qu'à travers le tissu ou bien recouverte par l'élastique mais je n'avais même pas besoin de regarder ce que je faisais, car je connaissais son corps en entier par coeur. Du bout des doigts j'étais tactile à un point que ce n'était pas sûr qu'il tienne debout si j'allais trop loin, et puis mon but n'était pas qu'il me cède dans les mains et que je n'ai du plaisir qu'à le voir en prendre. Passant d'une main à une autre et je changeais à mesure encore une fois et puis une autre, bougeant l'amas de chair de ce que j'avais entre mes doigts. Faisant gonfler un peu plus le côté sanguin de la chose, ça se voyait qu'il avait du plaisir à ce que je touche d'un peu trop près ce qui rendait un homme fébrile quand on y tapait dedans pour une quelconque défense ou vengeance. Sauf qu'il fallait que j'en prenne soin si je voulais de lui, du plaisir bien entendu mais des moitiés de nous car tout ça partait de là et je devais les stimuler à venir en moi et surtout à faire que cela nous donne un magnifique enfant.

    Je me sentais bien, pas si fébrile que ça sans doute que je le paierais après mais au moins j'aurais prit mon pied et j'aurais donné un pur moment à mon homme, et à ce moment là je ne pensais qu'à une seule chose en prenant entre mes lèvres ce que j'avais en mains depuis déjà un petit moment. Besoin d'un peu plus d'attention, après tout ce qu'il avait fait pour moi et je lui en donnais du mieux que je le pouvais, cela n'était pas souvent que j'en arrivais là mais là il avait bien le droit à un petit plus que je lui donnais avec un plaisir certain. Ma langue jouait l'ensorceleuse à s'enrouler autour et à s'en défaire sans un arrêt aucun et puis mes mains instables continuaient leur danse sur cet élément important d'un homme mais important pour une femme que d'avoir en soi à un moment donné. J'avais si chaud que j'en oublis à ne pas dépasser les limites de ma provocation et je stoppais rapidement les choses pour remonter sur le bureau et n'obtenir de lui que ce qu'il pouvait me donner. Promis de prendre soin de moi, je lui laissais à son tour l'occasion de me combler sans le guider pour autant, je tenais à voir ce qu'il entendait par tout ça.

    Je trouve qu'il fait ... chaud mon homme ... très chaud

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Quand ça tombe mal ft mon homme

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