En catimini || PV <3

Invité

« I remember what you wore on the first day
You came into my life and I thought
Hey you know this could be something »

La journée était bien entamée, il devait être environ six heure du soir et je n’avais rien à faire dans mon petit appartement. J’avais quitter la maison familiale à l’âge de 20 ans. J’avais envie de quitter cet univers plus féminin que masculin, pouvoir vivre comme je le voulais avec mes propres règles. J’étais plutôt satisfait de ma vie jusqu’à présent, malgré que je ne vive pas dans la richesse, j’ai appris à me satisfaire de ce que je possède. J’ai aussi rapidement appris à prendre la place de mon père, sans pour autant être comme lui. Je me fais un devoir de protéger mes trois sœurs et ma mère, de faire en sorte qu’elles ne soient jamais impliquées dans une des batailles qui oppose les Ferguson aux Attwood.

Parlant de ces deux clans rivaux depuis quoi, quelques dizaines d’années, si ce ne sont pas des centaines. Pour quelle raison est-ce important? Car j’ai trouver l’amour dans le clan ennemi. Je sais, ce n’est pas juste, moral, bien, tout ce que vous voulez, mais j’ai tenté de faire comme si rien n’était et pourtant. J’ai essayé de l’haïr de tout mon être, mais au final, j’ai échoué. Nos regards se sont croisés un jour alors que nous étions à l’école puis avons tout fait pour nous voir en catimini, dans un endroit à l’abris des regards, v’est à dire la forêt, car nous savions pertinemment que si on nous voyait ensemble, nous n’étions pas mieux que morts. Depuis ce jour, la forêt est devenu notre lieu de rencontre. Il y a une sorte de clairière, parmi tous ces arbres, un endroit où les arbres n’ont pas poussés et c’est dans ce lieu précis que nous nous rencontrons Jenny et moi.

Il y avait un moment que je n’avais pas vu Jenny et elle me manquait. Je ne pouvais l’appeler directement où même prononcer son nom lorsque d’autres membres du clan auquel j’appartiens sont autour de moi. Dieu merci, les messages texte existent! C’est la façon la plus sure pour moi de communiquer avec Jenny. Je sortis alors mon cellulaire de ma poche et commençai à écrire.

Citation :: On se retrouve dans la forêt?

Tu me manques. Je t’aime

Puis j’appuyai sur le bouton envoyer. Je restai assis sur mon lit, attendant sa réponse. Je me doutais qu’elle accepterait, mais j’attendis tout de même sa confirmation.

Invité

Jenny && Matthew
I just wanna tell the world I love you
I just wanna tell them who realy you are

Aujourd'hui, je m'étais réveillé aux dernière heures de l'avant-midi, j'avais la grasse matiné a rêver de tout et de rien. À certain moment c'était le noir total, a d'autre c'était son visage qui m'apparaissait. Je ne pouvais résister a rester en sommeil, mais après que j'ai dépassé le onze heure et demi, me corps avait assez dormis. Je devais me lever, même si je ne voulais pas. C'était rare que je puisse sortir de cher moi sans que Sean n'y soit pour aller le voir. J'avais mal a ne pas pouvoir le voir comme je le voulais, en ce moment même, le désir de sentir ses lèvres contre les miennes me démangeait brusquement. Je voulais être avec lui, mais je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose, j'avais peur de le perdre, c'était ma phobie et il le sait...

Je descendis a l'étage, Sean y était, tout endormi, il avait du faire la grasse mâtinée aujourd'hui. J'affichai un sourire me glissant a la cuisine. J'attrapai rapidement une pomme me donnant un élan pour m'installer sur le comptoir face à la télé. J'affichai un sourire voyant que mon collocataire s'endormait encore, il devait avoir passé une dur nuit. Je restai sur mon perchoire une bonne heure et il faut le dire, après ça tu as mal au fesse! Mes muscles était tout endormis, donc je me levai et me dirigeai vers le salon pour déranger Sean en le brassant par les épaules. A le voir sursauter, je me mis a rire avant de tourner les talon vers les escaliers. Je remontais trenquillement vers chambre. Y mettant un pied, j'allumai mon stéréo laissant la musique envahir ma chambre. La musique était douce, tout était calme, elle me rappelait Matthew, ça me faisait mal. Je fermai les yeux avant qu'une larme coula de ma joue. Je l'essuyai aussitôt éteignant la musique. Je me dirigeai vers mon lit me collant à la fenêtre pour regarder à l'extérieur. Je restai ainsi jusqu'à trois heures de l'après-midi. A cette heure, j'ouvrai mon ordinateur pour me mettre a écrire, peu importe ce que c'était du moment que je l'oubliais durant un minuscule moment, car je sais très bien que c'est impossible.

Durant trois heure et demi, j'avais écris plus de trois cents page sur mon ordinateur. N'aller pas croire que c'est du n'importe quoi, je raconte une histoire, une histoire d'amour, pas la mienne, trop risqué que Sean tombe dessus. Je m'étirai enregistrant avant de fermer l'horreur qui me servait d'ordinateur! Mais elle fonctionnait, c'était l'important non? Soudainement, j'entendis de la musique, Oh merde! Mon portable! attend, c'est... C'est? C'est lui! Je me précipitai sur mon cellulaire me jetant sur mon lit. J'ouvris rapidement le message texte souriant a ses mots. Rapidement je flippai mon téléphone au clavier et lui répondis rapidement:

Citation :: J'arrive Tu me manque trop
Je t'aime de tout mon âme Matt

J'attrapai un jean et un T-shirt me changea pour mettre des vêtements au lieu de se pyjama trop confortable et douillet. Je me précipitai a l'étage du red-chaussez avant d'aller vers la porte, ce ne fut qu'a cet instant que je pensai a Sean, je regardai autour de moi, partout dans la maison, il était déjà partie. C'était mieux pour moi! Je sortis de la villa courant pour le centre-ville direction la fôret. J'y arrivai assez vite et j'aperçu Matthew au loin, il arrivait toujours avant moi. Je repris ma course l'appelant avant de lui sauter dans les bras. j'étais tellement contente de le voir.

Invité

« Cause everything you do and words you say
You know that it all takes my breath away
You make it hard for breathing »

À peine venais-je d’envoyer mon message qu’elle me répondit, comme je l’avais cru, par l’affirmative. Un large sourire fendit mes lèvres. Je me levai d’un bond, attrapai ma veste et sorti de mon petit logement en claquant la porte. J’enfilai ma veste avant de me mettre à marcher rapidement, puis, une fois près du lieu de notre rencontre, je me mis à courir. J’arrivai avant elle, comme à l’habitude. Je m’adossai à un arbre, reprenant mon souffle lorsque je la vis s’approcher, criant mon nom. Je m’approchai d’elle lentement, avant qu’elle ne se retrouve dans mes bras. Je la serrai tout contre moi, tentant de ne pas l’étouffer x) J’enfouis ma tête dans ses cheveux, respirant son odeur, un parfum aux subtiles arômes de fleurs et de fruit, se mariant à la perfection. C’est d’ailleurs de cette odeur que je m’ennuyais quand j’étais loin d’elle. En fait, tout me manquait, toujours. Un simple contact, un simple regard, c’était ce que je demandais, malheureusement, je ne pouvais pas. Alors quand j’avais la chance d’être à ses côtés, j’en profitais, je ne la laissais pas s’éloigner, pas une seconde.

Je ne sais pas combien de temps je passai à la tenir ainsi dans mes bras, mais il me sembla trop court. Je tentais de profiter pleinement de chaque seconde que je passais en sa compagnie, elles m’étaient si précieuses et si rares. Je reposai donc Jenny au sol, plongeant mon regard dans le sien. Mes mains rejoignirent rapidement les siennes pour un court instant puisqu’elles les délaissèrent afin de se poser sur les hanches de la brunette. J’appliquai une légère pression et la rapprochai de moi le plus possible avant de déposer mes lèvres doucement sur les siennes. Ainsi prit naissance un baiser tendre mais passionné. Je tentai de le faire durer aussi longtemps que je le pouvais, mais comme toute bonne chose doit avoir une fin, je décollai à contrecœur mes lèvres des siennes.

Les histoires à la Roméo et Juliette tels qu’on les connait sont magnifiques quand elles sont racontées dans de vieux bouquins, mais quand on les vit, il en est tout autrement. C’est terriblement difficile de devoir se cacher pour vivre son amour, sa passion et ne pouvoir exprimer sa joie à personne, cacher qu’on est amoureux, c’est extrêmement difficile. Ne pas pouvoir sourire à pleine dent sans devoir inventer de fausses raisons, toujours mentir, on finit par s’y perdre, s’y noyer. J’avais bien l’intention d’en parler à Zac, mon meilleur ami. Je savais, enfin j’espérais qu’il le prenne bien. Je reportai toute mon attention sur celle que je considère comme la femme de ma vie, prenant la parole.

Tu m’as terriblement manqué… dis-je à mi-voix avant de déposer une nouvelle voix mes lèvres sur les siennes.

Je glissai une main dans sa chevelure ondulée, ma main se stoppant une fois sur sa nuque, approfondissant ainsi le baiser. Je laissai ma main quitter sa nuque, tombant dans le vide, se plaçant aux côtés de mon corps. Je savais, depuis le premier jour où nos regards se sont croisés qu’elle me serait indispensable. Et le tout s’est confirmé quand j’ai pu me retrouver seul avec elle. Elle est rapidement devenue mon oxygène, ma propre marque d’héroïne. Si je devais un jour venir à me séparer d’elle, je ne sais pas si je réussirais à survivre. Sérieusement, je ne sais pas comment j’ai fait pour me passer d’elle avant, depuis qu’elle est entrée dans ma vie, j’ai l’impression que mon univers ne tourne qu’autour d’elle, même si elle est loin de moi, elle est celle qui occupe toutes mes pensées, la seule, l’unique.

Je t’aime

Invité

Jenny && Matthew
I just wanna tell the world I love you
I just wanna tell them who realy you are

Je m'étais brusquement précipité dans ses bras. Cela faisait très longtemps que je ne l'avais pas vu et il m'avait terriblement manqué, comme le dire a quel point. C'était l'homme que j'aimais, jamais je voudrais le laisser, jamais je ne voudrais m'en séparer. Si jamais il lui arrivait malheur, jamais je ne m'en remettrais, mais je pensais toujours au fait qu'il était du clan inverse, que devrais-je faire si on le découvrirait, rien sauf le protéger du pire. Comment les autres pourrait l'apprendre? je n'ai pas la langue pendant a se sujet. Je n'aime pas en parler. Comment je pouvais croire qu'un jour je pourrais lui faire du mal ou que quelqu'un lui fasse du mal par ma faute. Je n'y arriverais pas du tout, j'en pleurerais a me vider au complet. Me trouvant maintenant dans ses bras, toutes ses pensés sortait de mon esprit, je les oubliais ne faisant que penser a notre futur, seulement restant comme ça a profiter de l'instant que je voudrais qu'il dure tout une éternité. Sa voix vint caresser mes oreilles, seulement sa voix m'apaisait, et l'avoir a mes cotés me donnait envie de dévoiler a tout le monde a quel point je l'aimais plus que tout.

___ « Tu m'as tellement manquer que je me demandais se que je faisais encore cher moi en apercevant ton nom... »

Au contact de ses lèvres, je sentais la chaleur en moi grimper et je sentais mon coeur battre a tout allure. Je l'aimais, s'en était fou, c'était mon seul et unique amour... Et je n'avais pas l'intention d'en avoir un autre après lui, premier amour et dernier, c'était pour toujours cette phrase. Peu importe ce que les autre penseront de nous deux, c'est celui que j'aime et ce n'est pas des différents comme ceux qui sont supposé nous détester l'un autre qui va nous séparer a jamais. Mes yeux clos, je ne voyais que sont visage qui illuminait le mien. Jamais je ne m'en passerais pour une journée que je pourrais le voir. Pourquoi je ne peux pas poser mes lèvres contre les siennes a chaque fois? Pourquoi aie-je peur de montrer qui il est vraiment... Je l'aime... J'en suis completement folle, c'est mon amour, mon ange, mon échappatoire.

___ « Je t'aime Matt . »

Invité

« Maybe it's true that I can't live without you
And maybe two is better than one »

Je la serrai tout contre moi, respirant son parfum, profitant de ce moment de répit dans cette guerre sans fin. Je profitais de cet amour qu’elle avait à m’offrir, du contact de nos corps, de ses lèvres sur les miennes. Toutes des petites choses qui semblent anodines mais qui signifient tellement pour moi. Cette femme, elle est tout pour moi. Je n’arrivais pas à m’imaginer sans elle maintenant. Qui aurait cru que je tomberais éperdument amoureux d’une femme du clan ennemi? J’aurais été le premier à rire au nez de celui qui aurait osé l’affirmer. Je souris à l’écoute de sa première phrase puis je me sentis rayonner de bonheur lorsqu’elle me dit qu’elle m’Aimait à son tour. C’était d’un réel réconfort d’entendre ses mots. J’avais toujours eu peur qu’un jour, elle vienne à ne plus m’aimer, mais pas parce que c’était ce qu’elle voulait, mais parce qu’on lui aurait tellement dit que les gens du clan auquel j’appartiens sont des salauds ou des trucs du genre qu’elle finisse par les croire. J’espérais que ce jour n’Arrive jamais. Seulement, si jamais elle venait à ne plus m’aimer, ce qui je l’espère n’Arrivera pas de sitôt, je la laisserais partir, non sans un pincement au cœur. Bref, je la tint tout contre moi aussi longtemps que possible avant de desserrer mon étreinte.

Comment vas-tu?… m'enquis-je aussitôt.

C’était le minimum pour moi de poser cette question, de m’informer. Après tout, si elle n’allait pas bien, cela m’affectait dès lors.

[dsl vraiment nul T_T vais me rattrapper]