Jenny && Zac
'Cause this is thriller, thriller night
And no one's gonna save you from the beast about strike
You know it's thriller, thriller night
You're fighting for your life inside a killer, thriller tonight

Il faisait noir, La nuit brillait a la nuit, donant un aspect effrayant a la nuit qui planait sur le quartier est de la ville. Ne demandez pas pourquoi j'y suis, j'ai le sens de l'orrientation très nul. Je marchais trenquillement quand je me suis retrouvé dans un endroit que je ne connaissais pas du tout. Il faut le dire, j'avais la tête ailleurs, comme toujours. Je ne voulais pas m'arrêter, pour ne pas avoir l'air perdu. Je ne voulais tout de même pas qu'un Atwood me repère... C'était la dernière chose que je voulais. Je tournais a gauche, a droite. Revenait parfois sur mes pas croisant des petit groupes de saoulons qui voulait me prendre en chasse disons le comme ça... Je marchais, tête de basse je ne voulais pas croiser le regard de quelqu'un j'étais trop fatigué pour me laisser tomber dans des embêtements! Je finis toujours par tomber dans des de gros problèmes, c'est comme si je les attirais, je suis un aimant a troubles!

J'avais les deux mains dans les poches, mon Mp3 sur les oreilles. Je marchais au rythme de la musique. Elle semblait stressante et me donait la chaire de poule. Je marchais très vites, mon coeur palpitait, pourquoi? bonne question? surment au fait que je suis du quartier ouest et je suis en ce moment du côté Est. Ca me fait, un peu peur en ce moment... C'est pas facile durant une guerre d'aller ou on veut!

Je ne regardais pas ou j'allais, donc la suite de l'histoire est : Un jeune homme croisa ma route et je ne fis qu'empirer les choses... J'entrai en contact avec lui, mais d'une façon plutôt agressive. Je me reculai brusquement, mais il m'aggrippa le bras. Pris de panique dirais-je, je me retournai lui donant une bonne droite dans le ventre. Sur le coup je me mis a courir m'arrêtant a deux coin de rue.

La nuit était belle et étrangement fraiche. Ce qui n’était pas l’habitude des nuits de Floride. La lune brillait dans un ciel étoilé, illuminant les rues du quartier Attwood, faiblement éclairés par leurs lampadaires moyenâgeux. Habillé d’un Jean et d’une légère veste à capuche dont j’avais retroussé les manches, je me mis en marche en direction d’une superette encore ouverte. Serena avait envie de glace et de chocolat pour se soir, elle voulait me faire une surprise. J’adorais les surprises et j’adorais lui faire plaisir. Même si l’envie n’y était pas, je me résolus donc à sortir de chez moi, là où j’étais si confortablement installé dans mon canapé, blottis contre ma bien aimée.
Je marchais donc dans les rues du quartier Attwood, à la recherche d’un endroit où je pouvais encore trouver de la glace et du chocolat. A cette heure ci je désespérais de trouver une superette encore ouverte. Mais je voulais quand même chercher. Que je puisse par la suite rentrer à la maison en pouvant vraiment dire que tout était fermé. La voiture dormait au garage tranquillement. Je n’avais pas voulu la sortir pour si peu. Et j’avais bien fait. J’aurai certainement tourné pour rien et usé de l’essence pour rien du tout.
Je croisais quelques personnes encore debout, à zoner dans les rues du quartier. D’après ce que je voyais, la plupart d’entre eux étaient des jeunes de notre clan, entrain de boire un coup et de « surveiller » les lieux. D’autres étaient de jeunes adultes qui étaient chargé de vraiment surveiller quelques rues comme les rues principales de la famille Attwood. Etant un « ancien » comme ils aimaient nous appeler, ils me saluèrent gentiment et me laissèrent passer. La maison de Riley et Sasha était encore allumé. Ils devaient certainement être tranquillement installé devant leur télévision, entrain de se regarder un petit film. Continuant ma route, je pris l’intersection suivante, croisant au passage d’autres gardes, et repris ma marche en quête de la dit superette.

Désespérant de ne rien trouver, je commençais à retourner chez moi lorsque j’entendis, ou plutôt je vis, une jeune fille se prendre la tête avec un jeune homme. Ils étaient à plusieurs mètres de moi donc je ne voyais pas vraiment les détails. Je vis cependant très clairement la jeune femme partir en courant, suivit de près par l’homme qui avait l’air de se trouver légèrement mal. Il se tenait le ventre. Elle avait certainement du le taper. Et pour qu’une fille frappe un mec, quelque chose de pas vraiment net avait du se produire. Ce n’était pas vraiment mon problème, cependant je ne pouvais pas laisser quelque chose de mal se passer. On ne sait jamais, une agression, un viole. Je ne pouvais pas laisser ceci se passer alors que j’étais juste à coté. Surtout si ça se passait dans mon quartier.
Avançant rapidement vers la jeune femme, je la vis se planquer au coin d’une ruelle alors que le jeune homme arrivait vers elle. Elle n’était qu’à un mètre de moi lorsque ses yeux croisèrent les miens. Elle avait l’air terrorisé. Je ne la connaissais pas du tout. Venait-elle d’arriver en ville ? Etait-elle perdue ? Les réponses à ces questions pouvaient attendre, la voix sourde et forte du jeune homme se fit entendre alors qu’il arrivait sur moi. Il insultait la jeune femme à se que je pouvais comprendre. Oui, il fallait le dire, il n’était plus vraiment très net. Surement quelques verres dans le bidon.

« Allez mec rentre chez toi avant qu’il n’arrive quelque chose. »

Continuant à avancer et faisant comme s’il n’avait pas remarqué ma présence, il me bouscula à attrapa la jeune femme par le bras. Me ressaisissant rapidement je pris à mon tour le bras du jeune homme, attrapa sa main qui tenait le bras de la jeune femme et le tira vers moi en lui tordant le pousse. De cette façon il lâcha rapidement la jeune fille et je pus l’envoyer valdinguer à quelques mètres de nous. Il m’avait en colère. Sa façon d’agir, le fait qu’il veule du mal à une fille, qu’il n’hésite pas à e rentrer dedans. Tout ceci avait contribué à m’énerver. Mais il était dans un état second et je ne voulais pas lui faire énormément de mal. D’ailleurs j’étais parti pour ne rien lui faire. Je l’avais détourné de son but et c’est tous ce qui comptait.

« Vous allez bien mademoiselle ? »

Elle n’avait pas bougé de sa place, elle avait l’air encore tétanisé par ce qui s’était passé.