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JENNA CHESTER EVANS « Un jour nous vivons, mais le lendemain, la mort nous appel... NOM : Evans PRÉNOM : Jenny EMPLOI : Étudie a l'université ORIGINE : Americaine STATUT : En couple secret DATE DE NAISSANCE : 24 Décembre 1986 Personnalité Franche Impulsive À l'écoute Caractérielle Compréhensive Fragile Amoureuse Entêté

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Son petit enfance n'a pas vraiment été des plus enjoué. Vous pouvez comprendre, naitre pendant une guerre de clan, on ne peut pas s'en sortir s'en y entrer. La petite fillette qui restait à la fenêtre attendant l'arrivée de son oncle et de son grand-père a tout les samedi soir, elle ne peut plus les accueillir avec chaleur et joie de vivre... Regardez ce qu'elle est devenue, une femme endurcie qui ignore complètement qui elle est tout au fond d'elle. Juste devant sa maison, une fusillade avec vivement éclaté. Par malheur pour elle, son côté paternel y était. Oncle Benny, Grand-Papa John et Papa Charlie. Sous les yeux de la fillette de six ans, Benny et John sont mort sous plusieurs coups de feu. Elle n'avait pas pleuré, elle ne croyait pas qu'ils étaient mort, elle croyait que c'était un jeux et qu'il se relèverait par la suite. Amusé, elle était sortie dehors. Charlie l'avait rapidement aperçu mettre le nez à l'extérieur. Il accouru vers elle entrant dans la maison sa fille dans les bras. Ma mère était la bousculé par les évènement. Ellena regardait les deux corps familier gisant sur le sol. Elle n'avait pas eu le temps de voir sa fille sortir, tel est la famille de sa mère, trop fragile, même Jenny en a hérité. Ce qui c'était passé avait brusquement changé la vie de la jeune fille, car ce ne fut que le samedi suivant qu'elle se rendit compte de ce que son père lui avait dit.

Comment parler de son adolescence, une étape plus dure encore. Trop dure peut-être. Un jour, elle marchait avec son père dans les rues. Ils s'amusaient comme des fous. Des vrai. Ils se bousculaient, faisait des idioties. C'était un hiver pas si froid que cela. On pouvait sortir avec une veste moyenne. C'est ce qu'elle avait fait. Elle courait afin que son père veuille la rattraper. Elle couru, mais glissa rapidement sur une plaque de glace. Elle ria avant que son père la relève d'un trait. Elle leva les yeux apercevant quatre hommes. Ils n'avaient pas l'air très content. Ils avaient des battons de base-ball et regardaient mon père d'un regard malvaillant. Elle n'aimait pas ça du tout. Son père la retourna contre lui plongeant brusquement son regard dans le sien. Il la supplia, la pria et l'obligea a retourner a la maison. Il la poussa a partir. C'était son père, elle ne voulait pas le laisser, mais il l'obligeai encore et encore donc elle se mit a courir entendant de moins en moins la voix de son père hurlant sur les hommes. Tout ce qu'elle a retenue de ça c'est : « Je vous préviens, vous touché a ma fille, je vous tue! » Ces paroles l'avait gravement marqué. Comment pouvez-vous résister au que votre père peut tuer pour vous. Elle avait les larmes aux yeux. Ce ne fut qu'en arrivant cher elle qu'elle éclata en sanglots. Personne pour la consoler, sa mère n'était pas la, comme toujours. Quelques heures plus tard, cinq heure plus tard... Son père n'était toujours pas rentré. Elle s'inquiétait de plus en plus donc elle se mit a courir vers ou elle avait laissé son père. A sa surprise, a son malheur, il gisait sur le sol. Jenny se mit a hurler alertant un passant qui se précipita sur la scène. L'adolescente c'était jeté sur son père tentant de le réveiller, même si elle savait qu'il était mort.

Après ces catastrophe, elle c'est refermé sur elle même. Elle a apprit a vivre avec ces décès. Elle continu c'est études sans ce soucier du reste. Elle vivait seule dans sa grande villa. Elle faisait ses journées, les enfilait une après l'autre. Elle affichait de faut sourire parfois, mais quand elle était en compagnie de sa meilleure amie, c'était complètement différent. Elle s'amusait comme une folle, tout comme avec Kristen, son amie d'enfance. Jamais elle n'a sut cacher qui elle était avec elle. C'était les seule qui connaissait tout de sa petite vie jusqu'au moment ou les Attwood lui livre l'amour impossible. À la Roméo et Juliette. Lui le montaigue et elle la Capulet. Le premier regard semblait rude et haineux. Haineux d'être attiré l'un par l'autre. Elle ne pouvait pas se passer de se regard. Mais a se croiser dans le corridor, ou ailleur, dans les bois c'était comme des amants, les plus fous qu'ils soient. Ils tenaient tête a leurs sentiments. Ils savaient que l'autre était l'ennemi, mais ils n'ont pas résisté a leurs sentiments longtemps. Elle s'était jeté sur lui et il n'avait pas bronché. Depuis, c'est le secret incarné...